Bonjour Aziz, je vous sens complètement désespéré.
Alors je veux vous donner un peu d’espoir. J’ai vu un reportage TV
sur ces jeunes français d’origine algérienne qui, touchés par le
chômage des jeunes, ’reviennent’ en Algérie pour créer leur
structure professionnelle, sans complexe, et y réussissent fort.
Puissent-t-ils montrer que là où personne ne croit plus à rien,
sauf à la violence, il y a d’énormes possibilités dans votre pays...
La notion de nation ne concerne pas les relations entre individus
(citoyens du monde, tous égaux et qui s’aiment tous), elle concerne les relations entre pays.
Si vous croyez que tous ceux qui croient dur et ferme à leur
nation, E.U., Japon, Chine, Allemagne, Russie, pays arabes, pays
émergents, etc., vont se soucier de vos emplois, de vos intérêts
ou de vos droits de petit français... et qu’ils vont bien s’occuper
de vous, de votre bonheur....
Le gros problème est que ces pays y croient, eux, à la
communauté culturelle, et même plus, à leur préférence et
expansion culturelle ; à la solidarité nationale, et même, à
la préférence nationale ; au moyen d’agir sur leur destin, et qu’importe que ce soit au détriment de ceux qui n’ont pas compris qu’ils ont
une nation.
Un ensemble d’individus ne peut rien contre les forces
impérialistes, économiques ou de dominations financières, surtout
si elles sont étrangères. Les événements actuels montrent que l’on
se bat encore aujourd’hui pour des territoires. La nation en est
bien le seul rempart. La nation ou l’esclavage, se faire respecter ou
se faire bouffer, il faut choisir... on ne nous laisse pas le choix.
Une
bonne idée à creuser : l’Institute
of Economic Affairs (IEA) lance
un concours d’idées pour sortir de l’Europe. Le prix « Brexit »
(Britain Exit). 100.000 € pour le meilleur plan de sortie.
A
quand un « Frexit » ? Intérêt : llibérer la parole motiver, encourager les débats sur la sortie de l’UE, et bien sûr
faire un point sur les meilleurs solutions.
Ce que je retiens, est que la civilisation occidentale
n’hésite pas à relater par écrit ses génocides et à en parler,
et que la religion chrétienne est la seule à les condamner comme les
pires crimes ; alors que dans le reste du monde c’est le
silence, et même que d’autres religions les gardent sous tabou.