dans le monde où je vie, les femmes y sont plutôt et choyée et
dorlotées. Alors que l’on me laisse être sexiste, si cela me chante.
Plus sérieusement, je pense que l’image du sexisme pour parvient selon le prisme des
médias et des politiques. Dans leur monde impitoyable, coupé du
notre, guidé par la soif de pouvoir, le carriérisme et l’argent,
tous les coups les plus tordus sont permis, même le sexisme. Le
pouvoir et l’argent broie les plus faibles, femmes ou hommes sans
distinction.
Pire, pour le législateur (lobbyisme, électoralisme ?), le
sexisme est clairement un sexisme dirigé contre les hommes.
Par exemple, si vous lisez le projet de loi « pour
l’égalitéentre
les femmeset
les hommes. »
il y a le TITRE III - DISPOSITIONS RELATIVES À LA PROTECTION DES FEMMES
CONTRE LES VIOLENCES ET LES ATTEINTES À LEUR DIGNITÉ Chapitre
IER - Dispositions relatives à la protection des femmes victimes de
violences. »
Les hommes y sont présupposés comme d’infâmes salopards, et les femmes leurs victimes. Alors
que de nombreuses études montrent que les femmes ne sont pas moins
violentes que les hommes ; les hommes cachent leur honte, se
taisent, ne portent pas plainte (même pas de numéro ’Hommes
battus’) pas de récit pour eux.
Après amendements, le texte
supprime ce titre III et parle depuis « de violences commises
au sein du couple ». Mais en relisant bien, il reste très
partisan contre les hommes. Comme ce : TITRE II (article 6) qui
« est relatif à la lutte contre la précarité. Il vise à
protéger les femmes seules confrontées à des impayés de pensions
alimentaires en créant progressivement une garantie publique contre
ces impayés. » Les femmes ont donc les droits, les ignobles
hommes n’ont que le devoir de payer leurs victimes ! (textes)
etc.
Nota : On arrive au site
par le Nord, la route monte ; au Sud du parking on aborde
une ’’réserve nationale de chasse et à la faune sauvage’’ et la
route ne deviens autorisée qu’aux riverains ou aux services
forestiers.
Ce qui ne colle pas dans l’hypothèse Mollier ’cible du tueur’ est
qu’il aurait été plus facile d’attendre qu’il passe à bonne
hauteur pour lui tirer une balle dans tête ou dans la poitrine... Or
il semble que le tireur a commencé à tirer sur Mollier de loin, le
ratant ou le blessant peu gravement, lui laissant le temps de
descendre de vélo et d’aller jusqu’au milieu du parking. Cela sent
la précipitation, et l’endroit me semble mal vu pour une
embuscade. D’ailleurs, le tueur à moto aurait auparavant doublé
Mollier en venant par la route, pour l’attendre plus loin, et en
passant, il aurait donc vu la famille Al-Hilli arrêtée sur le
parking !
Alors deux hypothèses :
A - Le tueur attend Mollier plus haut vers l’embranchement, depuis
suffisamment longtemps pour que la voiture Al-Hilli double Mollier et
s’arrête sans que le tueur ne les voit. Mollier s’arrête là où
la route n’est plus autorisée qu’aux riverains ou aux services
forestiers (au niveau du panneau l’indiquant), pose un pied ou deux à
terre, mais le tueur décide de l’attaquer quand même. Il n’en est
pas à ça près, il tue aussi la famille qui l’aurait forcément vu
repartir avec sa moto en redescendant la route. Dans ce cas, le tueur ne serait pas vraiment un super pro ?
B - Le tueur double Mollier à moto, plus loin il voit sa cible,
la famille Al-Hilli arrêtée sur le parking. Pour une raison X (il
doit faire vite, ne pas manquer une occasion...), ce tueur à la main
froide décide de ne pas attendre et de tuer tout le monde. Il
s’arrête plus haut et se précipite pour tirer sur Mollier qui
arrive avant qu’il ne s’éloigne trop du parking (donc d’Al-Hilli),
pour avoir tout le monde à portée de tir, etc. Dans ce cas le tueur
est-il un pro habitué des ’black ops’ ?
effectivement que foutait Mollier au
milieu du parking ? S’il fuit un tueur qui a garé sa moto au
Sud du parking vers l’embranchement des chemins, alors depuis son
vélo, c’est la seule direction qu’il a pour se cacher dans le
sous-bois, en traversant le parking ; à sa gauche il y a le ruisseau l’Ire en contre-bas
de la route, difficile à traverser. Le site
sur Google street. J’ai vu une illustration qui indiquait des
douilles du côté du vélo ?
« normalement, un assassin commandité ou non tire
d’abord sur celui qui a été désigné, et ensuite sur d’autres si
le scénario s’envenime et non l’inverse. » Pas sûr !
Si c’est un fou acharné, oui ! Si c’est un tueur méthodique,
en sachant que sa cible ne peut lui échapper rapidement, il peut
tuer d’abord un témoin qui fuit ou une menace qui s’interpose. Mais
il est vrai que si Mollier a laissé son vélo sur le bord de la
route en haut du parking, que faisait-il derrière la voiture au
moment où il est gravement atteins ? Il fuit ou il veut
courageusement s’interposer ? Les douilles relevées en bas du
parking, au Nord, feraient penser que le tueur ne poursuivait pas
Mollier depuis un poste d’embuscade au Sud du parking (en haut), ou du moins n’a pas commencer à y tirer.
Ce qui m’interpelle est pourquoi Al-Hilli aurait fuit en
laissant sa fillette, s’il ne le la croyait pas morte ni persuadé de
la détermination du tueur ? Le tueur aurait-il donc gravement
touché d’abord la fillette avant qu’Al-Hilli monte en voiture et ne
recule en trombe.