Ces outils ont un but simple, mais terriblement efficace. La vocation de Twitter est (pour les entreprises) de faire circuler l’information. Facebook ne s’utilise pas pareil du tout, il s’agit d’un réseau pour rechercher des personnes partageant les mêmes aspirations. Quelle Energie est sur Facebook et sur Twitter, et nous rentrons totalement dans ces catégories. La démocratisation des réseaux sociaux est à la fois un bien et un mal, car cela permet de se relier à une partie du monde, mais encore faut-il savoir à qui se vouer et où chercher...
Les énergies renouvelables sont en plein essor, c’est une excellente chose ! Cependant, il faut faire attention et être conscient de certaines réalités sur l’aérogénération. Notamment sur le fait que l’éolien individuel n’est pas mis en avant, et que l’avenir se situe dans les champs. Offshore ou dans les prés, d’ailleurs. Le photovoltaïque à le vent en poupe également, et contrairement à l’éolien il bénéficie d’un réel coup de pouce de la part des pouvoirs publics. Une analyse des perspectives de l’aérogénération est disponible sur le magazine de Quelle Energie.
L’abandon de cette taxe signe effectivement le glas pour le Grenelle Environnement, mais l’espoir reste toutefois de mise. Le chemin déjà effectué et la mise en application prochaine d’une grande partie de ses lois incite à l’optimisme. Même si N. Hulot s’est retiré, la conférence de Bonn remotive les troupes, surtout avec le match retour prévu pour mai. L’écologie n’est pas morte en France. Au pire, les politiques se sont encore discrédités eux-même !
Je pense avant tout que toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Après il y a un problème de priorités. L’idée d’un péage urbain aux portes de Paris a été abordée, mais ne trouve pas grâce aux yeux des automobilistes. C’est vrai que payer pour aller au travail n’est pas une perspective attrayante, mais je suis toutefois pour... à condition de développer le réseau de transports en commun, et mieux que ça ! Il y a un réel effort à faire. tant du côté des pouvoirs publics que des usager. Les premiers devraient élargir les possibilités en mettant ces moyens à porté de tous via une extension du réseau, et une baisse de prix, ou si il n’y a pas de baisse de prix, une plus grande qualité de service. Les usagers eux, devraient voir l’intérêt collectif et surtout être civil... Mais la civilité et la qualité du service sont intimement liées. Ainsi, le vélo est surtout pour le fun et pour noyer le poisson. Le réel problème se situe dans les infrastructures et dans le désengorgement des villes.
Je pense qu’il ne faut effectivement pas confondre principe de précaution et principe de sécurité. Mais là c’est bien du principe de précaution dont il est question, car on ignore les effets de ces particules sur les avions. Le calcul des taux aurait effectivement été une bonne chose dans la mesure où les rares expériences de ce type auxquelles ont été confronté les avions se sont révélées assez dangereuses. C’est le cas d’un boeing en Alaska, qui a traversé un nuage de cendres volcaniques près d’Achorage il y a quelques années. Il n’en est pas ressorti indemne !
Ainsi, le réel soucis est au niveau de la réactivité face à l’imprévu. Le principe de précaution évite le danger mais ne résout rien.