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Rage

Rage

32 ans, originaire de Lyon et vivant à Poitiers
Ingénieur territorial en Région Poitou-Charentes (chez une certaine Ségolène R), diplômé du DESS Aménagement de Lyon III, je m'intéresse particulièrement aux questions qui animent notre société. 
"Spécialiste" des questions liées aux transports et à l'urbanisme, ma vision est forgée par de multiples expériences en entreprises et une curiosité personnelle : j'essaye modestement d'analyser les décisions et faits majeurs de notre monde dans leur globalité.
Je pense que mes propositions peuvent apporter des éléments intéressant pour ce type d'initiative louable qu'est Agoravox !
Contactez moi : [email protected] ou 06.24.21.40.37

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  • Premier article le 20/10/2005
  • Modérateur depuis le 07/11/2005
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Derniers commentaires



  • Rage Rage 22 octobre 2005 15:03

    Très bon sujet d’article. Cela mérite sans doute beaucoup plus que quelques lignes.

    L’essentiel est dit je pense. En effet, les démocraties (le moins pire des systèmes comme on dit) ont vécues : elles trouvent aujourd’hui leur limites. Ces limites viennent de ce qu’elles sont et du moment où on les a créé. Reliquat des monarchies, les démocraties sont très vite détournées au profit des groupements les plus forts économiquement. La véritable assemblée du peuple, c’est celle qui est représentative au delà des clivages, des niveaux de vie, des pensées, des travails etc...

    En somme, la constitution même de l’assemblée est faussée (d’où l’émergence de syndicats ou de patronats). De plus, le système créé à la hâte par certains ne peut être qu’imparfait, inachevé. L’inadpatation que nous voyons aujourd’hui clairement dans les pays cités relèvent de la toute puissance du président et de sa garde personnelle (ministres) sur l’assemblée et sur les décisions à juger. Par conséquent, la démocratie doit évoluer... ou disparaître sous la forme que nous connaissons.

    Espérons que sa disparition nous permette d’accèder à mieux, et non à un retour perfide -mais réel- à l’obscurantisme d’un pouvoir religieux (US), mafieux (Italie) ou pécuniaire (France-Allemagne). Pour cela, il faudrait que nous tournions nos regards vers l’avenir, de façon lucide, et non toujours vers le passé (même si cela est toujours utile pour trancher et juger un choix).

    Ce qui ne tue pas, rend plus fort. Démocraties malades, vous devez évoluer, c’est le sens de l’histoire.



  • Rage Rage 22 octobre 2005 14:52

    Bienvenue dans le monde de Big Brother. Un monde où le politique est partout, un monde où le politique vous observe, vous sanctionne, vous taxe et surtout un monde où il ne fait rien.

    Big-Sarkozy-Brother, ta volonté de faire de nous des esclaves de ta communication sera la cause de ta perte. A en faire trop (et surtout rien dans l’action), tu comprendras ce vieille adage : Rien ne sert de courrir, il faut partir à point.

    Je ne suis pas un esclave, je ne déduis pas de mes impôts des « DONS » (à voir la reduc de 66% des impôts pour un don fait à l’UMP sur le dos de l’Etat => détournement de fond indirect), et surtout, j’ai un cerveau qui fonctionne.

    Non, pour le respect de la liberté et du droit de penser autrement, je n’accepte pas ce genre de tracts. Surtout quand on est acteur de la perte du pays, que l’on s’y prend 2 ans avant une échéance et que l’on ne fait plus rien après l’élection.

    Franc, mais clair au moins.



  • Rage Rage 20 octobre 2005 12:11

    Vis à vis du propos précédent plusieurs remarques :

    Tout d’abord la dette ce n’est pas un joujou sur lequel on peut se permettre de passer l’éponge comme ça. Le problème, c’est que des banques ou des créanciers (Japon) n’ont pas forcément envie de voir leur petit pécule partir en fumé. Du coup, pour le moment, personne n’en parle aux USA, mais au premier pépin de l’économie US, cela risque bien de faire très mal.

    Il est cependant vrai que le pacte de stabilité est un lourd fardeau. Mais dois-je rappeler que nous en sommes (VGE entre autre) les premiers à l’avoir mis en place pour faire le gendarme (contre l’Espagne) et assurer notre position... A force d’être arrogant envers toute l’Europe, aujourd’hui on ne fait plus les malins quand nous même nous avons du mal à respecter nos propres règles...

    De plus, il semble nécessaire de mettre des gardes fous pour réguler les excès. Le pacte en est un, à nous aussi de savoir gérer et investir à bon escient, mais n’est pas là notre grande incapacité gouvernementale ?



  • Rage Rage 20 octobre 2005 10:14

    Je partage complètement l’analyse. Ceci dit, le soucis majeur, c’est que la même logique s’applique à l’ensemble des EPIC, c’est à dire EDF, SNCF, etc... Les soultes versées ne compenseront en aucun cas les salaires de retraites à verser. Le pire est surtout d’accepter la réalité : en payant les retraites, les travailleurs ont financés l’Etat dans le temps présent. Mais rien n’a été mis de côté pour l’avenir sous couvert que les générations futures pourraient couvrir à leur tour dans une situation de l’immédiateté les dépenses. Cela ne se vérifie pas, et les erreurs du passé nous rattrappent, toutes en même temps.

    Il sera difficile de combler ce type de gouffre si on ne change pas les règles du jeu. Mais comment les changer quand cela fait 30 ans que l’on occulte volontairement ces erreurs de gestion ?

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