Oui, cela permet de former de bon petits producteurs-consommateurs, bien formatés au contexte professionnel dans lequel ils vont pouvoir s’insérer comme des engrenages. Faisons une croix sur l’ambition universelle de l’éducation. Ce dont le marché a besoin, le marché doit l’avoir. Et si d’aventure Google et IBM coulent, je ne saurai plus rien faire avec ma formation spécialisée, mais ce n’est pas grave. Gloire au grand capital, gloire aux emplois précaires ! Alléluia !
Je soumets à la réflexion commune le texte suivant Is Big Brother a Big Deal ? de l’expert en sécurité informatique Bruce Schneier.
Je pense que s’il y a totalitarisme aujourd’hui, il passe par une autre voie que la surveillance de _1984_. C’est un totalitarisme du cause-toujours et non du ferme-ta-gueule, comme souvent mentionné. Par conséquent un dissident n’a pas à craindre qu’on le surveille. Ce qu’un dissident doit craindre aujourd’hui, c’est qu’on ne l’entende pas.
En quelque sorte, au lieu d’y avoir manque d’information, qui justifierait un organe de récupération de cette information (genre ministère des recoupements de Brazil), il y a trop plein d’information. C’est le résultat de la transparence apportée par internet. Comme déjà évoqué, tout le monde peut tout savoir sur tout le monde, mais le problème c’est qu’on s’en fout. Au contraire, notre désir le plus ardent est d’être connu, nous et ce qu’on a à dire au monde.
On peut mentionner également ceci : En vidéo : Comment fabriquer du positronium « La possibilité théorique d’une telle synthèse avec des faisceaux de positrons envoyés sur la surface d’un cristal de quartz ouvrirait la voie à de nombreuses applications pratiques de l’antimatière, comme un laser à rayon gamma, moins encombrant et moins gourmand en énergie pour réaliser la fusion inertielle. »
« Pakistani President, Pervez Musharraf, in his book In the Line of Fire stated that Sheikh was originally recruited by British intelligence agency, MI6, while studying at the London School of Economics. He alleges Omar Sheikh was sent to the Balkans by MI6 to engage in jihadi operations. Musharraf later went on to state »At some point, he probably became a rogue or double agent« »