Différence avec la banque centrale suisse. Cette dernière n’a jamais demandé à l’Etat suisse de couvrir ses pertes quand elle en a fait et elle en a fait. « En 2022, la BNS avait affiché une perte record de 132 milliards de francs suisses (à peu près l’équivalent en euros). L’essentiel de ce résultat négatif provenait cette fois de pertes sur les réserves de change accumulées par la banque centrale pour tenter d’éviter une appréciation du franc suisse. Les quelque 400 millions de francs de plus-value sur ses réserves en or n’avaient pas suffi à compenser. Cette même année, la Banque centrale européenne (BCE) avait, elle aussi, affiché une perte, mais seulement de 1,6 milliard d’euros. Un bilan qu’elle avait pu renflouer en piochant dans ses réserves. Au final, les comptes de la BCE étaient sortis à l’équilibre. Sur le papier, un déficit de la BNS n’est pas catastrophique : l’institution n’a pas intrinsèquement besoin d’équilibrer ses comptes. Mais cela prive la Confédération et les cantons de ressources, car l’établissement leur reverse habituellement une partie de son bénéfice » (ce qui est interdit dans l’UE à ma connaissance).
Une banque centrale qui crée de la monnaie n’a, en effet, pas besoin d’être renfloué par l’Etat en cas de pertes, sauf si on craint une perte de crédibilité de ladite monnaie provoquant la chute du taux de change de celle-ci et une hausse de l’inflation en résultant.
Il est peu probable que ces plongeurs ukrainiens aient eu les moyens, l’équipement requis, la connaissance précise des choses à faire pour être les responsables de ces sabotages. La théorie d’un yacht loué pour réaliser l’opération est peu crédible. Voir le lien ci-dessous pour les détails des moyens requis et des compétences requises : « Sabotage des gazoducs Nord Stream : un expert militaire suisse dissipe le brouillard » :
Extrait : « Je reçois de nombreux jeunes pour des problèmes cardio-vasculaires, reconnaît ce médecin cardiologue de Lorraine qui préfère rester anonyme pour éviter les foudres du Conseil de l’ordre. Mon cabinet ne désemplit pas. C’est la même chose chez mes confrères. Les effets du vaccin ? Forcément, mais il ne faut pas le dire ! »
3) Ils tuent ou rendent des gens gravement malades. Ceux qui font l’effort de se renseigner un peu sur le sujet le savent. Un exemple parmi une quantité d’autres : En Nouvelle-Zélande, les médecins demandent à la police « d’enquêter sur les décès consécutifs aux vaccinations contre le Covid » :
En fournissant de multiples exemples de gens morts peu de temps après avoir reçu l’injection d’un vaccin Covid. Il s’agit souvent de personnes jeunes :
En France, le gouvernement et la haute autorité de santé, ignorent toujours, semble-t-il, que les vaccins expérimentaux actuels contre le Covid sont dangereux. Il y a un certain nombre de gens qui n’ignorent plus que ces vaccins sont dangereux parce qu’ils en ont, personnellement, fait l’amère expérience. En particulier les cas de sportifs dont la carrière a été abrégée par la vaccination contre le Covid s’accumulent dans indifférence générale. Récemment, après d’autres, le tennisman français Jérémy Chardy a suspendu sa saison après une réaction au vaccin contre le Covid-19. Le pauvre, au moindre effort physique, il ressent désormais de violentes douleurs partout dans le corps :
Le triathlète Antoine Méchin a mis un terme à sa saison à cause de problèmes pulmonaires (embolie) suite au vaccin Covid Moderna. Le cardiologue l’ayant pris en charge signale qu’un nombre croissant de patients sportifs sont dans le même cas :
Moi je ne suis pas encore dans le même cas car je ne me suis pas encore injecté l’un de ces poisons qui font office de vaccins. Mais je sais qu’un jour ou l’autre on me « mettra le pistolet sur la tempe » pour m’obliger à me vacciner.