• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Rémi André

Enseignant en sciences physiques

Tableau de bord

  • Premier article le 23/05/2011
  • Modérateur depuis le 02/01/2015
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 4 36 192
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Rémi André 27 décembre 2012 18:28

    S’il s’agit d’évacuer efficacement un bouchon en aval de l’hélice je dirais que le mûr cône est plutôt un obstacle.. Donc ce mur ralentit la vitesse de rotation de l’éolienne....

    Sinon pour revenir au cœur du sujet vos suggestions pédagogiques sont pertinentes mais il y a un sacré chantier ! Faire réfléchir les élèves par eux-mêmes est même à l’opposé de la politique du programme actuel.
     
    Vous soulignez, à juste titre, que l’empilement de savoir ne fait pas l’intelligence mais savez vous ce que l’on demande aujourd’hui à nos candidats bacheliers ? Et bien je vais vous le dire : il s’agit pour eux « d’extraire et exploiter » des informations contenues dans des textes pré-digérés au travers « d’activités » formatées où les réponses sont dans le texte. Voilà.

    On peut reprocher aux anciens programmes de tuer la créativité, de castrer les esprits anticonformistes. Il n’empêche. Je suis de ceux qui pensent qu’avant de composer une symphonie il faut apprendre à faire des gammes. Et là, le problème avec ces réformes à la %*# ! c’est que nos jeunes n’auront que de vagues « idées » sur ce qu’est un raisonnement logique....

    Quand j’ai commencé d’enseigner dans les années 90 je n’écrivais quasiment que des équations au tableau. Aujourd’hui j’ai presque l’impression d’être un prof de français tellement je dois faire de détours pour expliquer des concepts qui seraient si simplement écrits en langage mathématique.



  • Rémi André 27 décembre 2012 16:02

    Le flux est donc laminaire la vitesse de rotation de l’hélice ne change pas (je suppose que les pales sont suffisamment éloignées du bord du trou pour éviter les turbulences entre l’extrémité des pales et le bord du trou circulaire)....

    Bon ceci dit je rejoins l’auteur sur le fait que ces discussions sont un peu hors sujet ici....



  • Rémi André 27 décembre 2012 15:30

    Bon, Ok pour le pneu j’ai été chercher trop loin mais je pensais que l’élasticité du caoutchouc du pneu pouvait jouer...Il faut savoir être bon perdant....(j’ai plussé Hélios)
    Pour votre problème d’éolienne j’entrevois deux possibilités suivant que le vent reste « régulier » (flux laminaire) en arrivant sur le mur ou suivant que le vent devienne « irrégulier » (flux turbulent).

    La vitesse de rotation de l’éolienne dépend du débit volumique d’air brassé par l’hélice.

    Donc

    soit le flux est laminaire et dans ce cas le tube d’air arrivant sur l’éolienne n’est pas modifié par les couches d’air adjacentes et donc la vitesse de rotation de l’hélice ne change pas qu’elle soit dans un mur ou pas,

    soit le flux est turbulent et le volume d’air brassé diminue parce qu’une partie du tube d’air initial n’arrive plus sur l’éolienne mais est dévié vers le mur. Donc dans ce cas la vitesse de rotation de l’hélice diminue.

    J’ai bon ?

    Ceci dit bonne chance pour construire un mur de 1 km sur 1 km....

    Quant à vos remarques sur le « formulisme » je partage votre point de vue. Utiliser les « outils à penser » forgés par nos ancêtres ne devrait pas nous dispenser de réfléchir de manière originale : c’est toute la difficulté de « savoir sortir du cadre ».



  • Rémi André 27 décembre 2012 00:33

    @easy

    Si la pression de l’air augmente au sein du pneu alors le volume de l’air dans le pneu diminue (si on considère la loi de Mariotte applicable ici). Chaque élément dS du pneu est soumis aux contraintes suivantes :
    - forces de rappel élastiques exercées par tous les éléments de pneu adjacents,
    - force pressante exercée par l’air atmosphérique extérieur au pneu,
    - force pressante exercée par l’air emprisonné dans le pneu,

    Etant donné la forme torique du pneu je ne pense pas que les forces de rappels se compensent vectoriellement deux à deux. Chaque élément dS étant à l’équilibre (principe d’inertie oblige...) l’ensemble de toutes ces forces s’annule vectoriellement....Maintenant que dire.... Ma foi l’application de la loi de Hooke sur la relation de proportionnalité entre le tenseur déformation et le tenseur de contrainte me parait délicate à appliquer ici vu l’assymétrie de la contrainte exercée sur le pneu. Donc répondre à votre question : « l’écrasement du pneu influe-t-il sur la longueur de la bande de roulement  ? » ne m’apparaît pas évident.

    Il resterait peut être la solution de calculer la longueur de la bande de roulement en passant par le principe de moindre action (équations d’Euler-Lagrange) mais là honnêtement il est tard et demain je me lève tôt donc, si j’ai le temps, je reviendrais réfléchir sur ce sympathique problème...



  • Rémi André 26 décembre 2012 22:47

    @krokodilo (suite)

    Et en classe de seconde il n’y a rien qui ait trait à l’électricité (si on exclut la petite présentation des phénomènes périodiques illustrée par le courant alternatif vu en 3ème). Donc je maintiens ce que je dis : il n’ y a plus d’électricité enseignée au lycée général.

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Tribune Libre Energie Nucléaire Technologies

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv