Ancien prof de math en Lycée Professionnel, j’ai été Adjoint au Maire à Lille pendant deux mandats, de 1989 à 2001. Responsable associatif dans les domaines de l’action sociale collective et l’insertion.
Y a comme un bug dans mon message ! Après « clavier d’un téléphone », il faut lire : Des linguistes ont déjà montré que les différents niveaux de language (affecté, académique, familier, argotique, jargonnant, etc.) qu’un même individu peut pratiquer, selon les circonstances et ses correspondants, n’affecte pas la langue de référence, mais au contraire l’enrichit. Si la langue française est bien en danger, il est inutile de s’en prendre aux SMS, les coups viennent d’ailleurs : les anglo-saxons cherchent à nous imposer leur langue. C’est là qu’il faut résister !
La dévotion de l’auteur devant l’orthographe, l’empêche de percevoir l’essentiel : l’écriture SMS n’est pas une orthographe dégradée, mais une autre transcription de la langue. C’est une question matérielle qui fonde cette autre transcription : le clavier du téléphone, avec deux ou trois lettres par touches. Cela permet une nouvelle codification du message, avec une maîtrise de la chose qui va de l’apprenti au virtuose, comme pour la transcription manuscrite chère à l’auteur. Cette nouvelle transcription n’affecte pas, pour l’individu qui la pratique, une bonne transcription académique lorsque les conditions matérielles changent, par exemple, devant à un clavier d’ordinateur, qui offre des fonctionnalités bien supérieures au clavier d’un téléphone.
Des linguistes ont déjà montré que les différents niveaux de langage (affecté, académique, familier, argotique, jargonnant, etc.) qu’un même individu peut pratiquer, selon les circonstances et ses correspondants, n’affectent pas la langue de référence, mais au contraire l’enrichit.
Si la langue française est bien en danger, il est inutile de s’en prendre aux SMS, les coups viennent d’ailleurs : les anglo-saxons cherchent à nous imposer leur langue. C’est là qu’il faut résister !
Cher Internaute, ne regardez pas la mulleta, mais visez le toréador ! Vous n’êtes pas un taureau ? J’ai effectivement participer à la gestion de la Ville de Lille pendant douze ans, aux cotés de Pierre Mauroy. Il y avait des adjoints socialistes, mais aussi des communistes, et des "personnalités". J’ai toujours approuvé la façon dont Pierre Mauroy gérait sa ville, sans qu’il exige de moi d’être socialiste et de soutenir la politique de son parti. Je crois savoir que, lui-même, parfois, ralait ! Puis, en 2001, Martine Aubry s’est passé de mes services !
Je ne suis pas le porte parole du Parti Socialiste qui a, en effet, de lourdes responsabilités : il soutient le capital contre le travail, et cette stratégie s’affirme chaque jour un peu plus.
Essayons de comprendre la situation actuelle sans porter d’accusation incertaines !
Excellente vidéo : ma grand mère a adoré ! Le but est de comprendre ces mécanismes, certes un peu complexe, sans avoir recours à de soi-disant experts qui monoplisent l’espace médiatique et embrouillent les choses pour montrer que tout va très bien Madame la Marquise. La pédagogie est un réel besoin.