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Richard Schneider

Richard Schneider

 
"La politique est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde."
Paul Valéry.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/09/2011
  • Modérateur depuis le 14/11/2011
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Derniers commentaires



  • Richard Schneider Richard Schneider 30 avril 2015 15:54

    à l’auteur,

    Dans l’ensemble d’accord avec votre thèse : depuis qq années, les politiques se mêlent beaucoup trop de l’Histoire - on dirait qu’ils veulent la réécrire !
    Quand les Historiens - sérieux, objectifs et d’horizons divers - auront établi de manière incontestable des faits, alors seulement les politiques devront s’en emparer. Depuis plusieurs années, c’est le contraire : on légifère, on décrète et cela devient une vérité historique au mépris de l’objectivité.
    On marche sur la tête !


  • Richard Schneider Richard Schneider 29 avril 2015 17:48

    à l’auteur,

    Votre « contre-réforme » est trop ambitieuse.
    Que vous mettiez l’accent sur les fondamentaux (Français, Math), d’accord.
    Mais « forcer » TOUS les élèves à faire 4h de Latin par semaine ... C’est trop ... 
    Exclure l’EPS au Collège n’est pas très judicieux.
    Mettre le paquet sur l’Hist.-Géo (6h), je suis pour, mais peut-être est-ce déraisonnable.
    Bref, je suis de votre avis pour regretter cette nième réforme qui mélange tout et qui continuera à niveler par le bas des centaines de milliers de collégiens.
    Selon moi, il faudrait surtout que l’école primaire apprenne aux gosses les fondamentaux : lire, écrire et compter. Au Collège, on fixe dans les jeunes esprits certaines données de base (par ex., en 6°savoir se repérer dans l’espace et le temps en Hist. Géo, ce qui dès la 5° leur donnerait la possibilité de réfléchir)
    Évidemment, cela va à contre-courant des idées de nos « pédagogistes » : (Ré)apprendre aux enfants la patience et surtout le goût de l’effort, quelle hérésie pédagogique ! 
    Mais on ne pourra pas revenir 60 ans en arrière.
    Bonne soirée,
    RS.


  • Richard Schneider Richard Schneider 29 avril 2015 17:18

    Bel article, remarquablement illustré. Par les temps qui courent un peu d’air frais, ça fait du bien.

    Amicalement,
    RS


  • Richard Schneider Richard Schneider 19 avril 2015 10:15

    Texte très intéressant. Racine et Molière (et Corneille) formaient un trio « infernal » ...

    Le « tendre » Racine ? Il n’avait rien de tendre : c’était un arriviste et un cynique. Pourtant c’est un de nos plus grands poètes dramaturges - Gide dit de lui que l’alexandrin de Racine est incomparable. Corneille, dégouté et amer, a été évincé par Racine et par Molière - qu’il a pourtant aidé à « se lancer ». Et Molière, l’aimable et sage Molière, n’hésitait pas à entretenir la zizanie dans son entourage - « diviser pour régner » aurait pu être sa devise.
    Mais, ils restent, avec La Fontaine et La Bruyère peut-être, les phares de la littérature et de l’esprit français - cf. Voltaire « Le Siècle de Louis XIV ».
    Encore une fois, Ariane, même si on ne partage pas certaines de ses idées, a une bien belle plume.


  • Richard Schneider Richard Schneider 17 avril 2015 17:02

    @Christian Labrune
    Certes, les enseignants eux-mêmes sont peut-être responsables de la dégradation de notre école : la plupart - surtout nos leaders syndicaux et les « pédagogistes » qui pullulent au Ministère depuis les années 70-80 - ont voulu appliquer les thèses de Bourdieu à l’institution. On sait ce qu’il en est advenu. La lecture de l’article est édifiante à ce sujet.

    Il faut aussi reconnaître que la « massification » sans précédent dans le secondaire, a rendu obsolète l’enseignement que nous avons connu dans les années 50, avec exam. d’entrée en 6° et Latin, puis éventuellement Grec (en 4°). De plus, avec le baby-boom et l’arrivée massive d’enfants étrangers ou issus de l’émigration, de culture et de traditions complètement différentes de ce que la France, pourtant accueillante, a connu, a fait que le système éducatif et scolaire s’est trouvé complètement débordé - je me rappelle la période de la construction d’un CES par jour à partir de 1965. Où trouver les enseignants formés ? Comment enseigner à cette masse d’élèves hétérogène ? ... etc ....
    La création du Collège unique a semblé la solution - en 1975. Mais au nom de l’égalitarisme, ce modèle a conduit à une multitude de réformes que l’Institution a été incapable de gérer.
    Aujourd’hui, le système demande aux profs - du moins à ceux du Primaire et du Collège - d’être plutôt des AS et des éducateurs (il ne leur manque que le BAFA) que des enseignants. Ce que certains regrettent d’ailleurs ; mais ils sont bien seuls dans les salles des Profs.
    Enfin, mal considérés par l’establishment qui leur reproche les mauvais classements PISA, mal payés, ils se sentent en fait abandonnés, surtout par leur hiérarchie qui exige qu’ils appliquent les consignes du Ministère. Or, ces consignes veulent « coller » au plus près des souhaits des parents et des acteurs économiques : alors l’étude du Latin et du Grec ...
    Bonne fin d’après-midi,
    RS
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