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Romain Baudry

Adulescent de 28 ans, sciences-potiron, esclave en droit international et européen, écrivain imaginaire, girouette chronique, apérivore, voyageur statique, angéliste sceptique, asianisant, dilettante diversifié, photodépendant mais vespéral, quelque peu gynocentrique, partageant de nombreux traits de caractère avec le requin-baleine. De façon générale, complètement inutile.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/10/2006
  • Modérateur depuis le 14/11/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Romain Baudry 2 mai 2008 18:09

    ouallonsnous, je n’apprécie pas plus que vous l’équipe en place, mais vous racontez n’importe quoi. Par quel miracle pensez-vous qu’il soit possible d’écarter le gouvernement, le Président et le groupe parlementaire majoritaire des prises de décision concernant l’évolution institutionnelle de notre pays ? D’un point de vue un tant soit peu réaliste, j’entends.



  • Romain Baudry 2 mai 2008 18:03

    J’avoue que votre logique m’échappe complètement. Basiquement, vous dites : le système actuel est désastreux, les réformes proposées ne corrigeraient pas ses principaux défauts et il est donc essentiel de conserver ce système désastreux actuel parce que le système réformé n’y changerait rien et serait donc pire.

    Pour moi, la question est simple : objectivement, est-ce que les réformes proposées amélioreraient le système actuel ?

    En imaginant qu’il y ait un référendum et que la réponse soit "non", vous pensez que la réaction immédiate du gouvernement serait de préparer un nouveau et meilleur projet de réforme ? Bien au contraire, la rénovation des institutions serait renvoyée aux calendes grecques !



  • Romain Baudry 2 mai 2008 14:24

    Je comprends parfaitement qu’on puisse considérer (c’est mon cas) que cette révision ne va pas assez loin. Mais, en revanche, je ne saisis pas pour quelle raison vous voudriez voter contre. La révision proposée comprend des améliorations indéniables par rapport à la situation actuelle, telles que le partage égal de l’ordre du jour ou l’exception d’inconstitutionnalité. Je suis mécontent que certaines mesures - comme le référendum d’initiative populaire et le cumul des mandats - ne figurent pas dans le projet de révision, mais ce n’est pas une raison pour rejeter le reste, que je trouve essentiellement positif. J’ajoute que je ne vois pas bien en quoi la révision "accordera davantage de pouvoir au Président de la République".

    Le référendum n’est pas l’expression parfaite de la volonté populaire parce que le peuple ne fait que répondre par oui ou par non. Il ne peut pas modifier la proposition qu’on lui soumet mais seulement l’entériner ou la rejeter. En attendant l’invention des Référendums à Choix Multiples, organiser une consultation populaire sur la réforme des institutions ne pourrait produire qu’un débat assez borné. Sans compter que Nicolas Sarkozy est actuellement à peu près aussi populaire que Jean-Pierre Raffarin l’était en 2005...



  • Romain Baudry 1er mai 2008 18:17

    Merci pour cette série d’articles intéressants.

    En ce qui concerne le référendum d’initiative populaire, je pense qu’il serait tout à fait possible de l’instaurer en France. Il faudrait bien entendu l’encadrer (mais pas autant que le proposait le comité Balladur, ce qui le rendrait extrêmement difficile d’emploi). Je pense, malheureusement, que nos gouvernants ne tiennent pas particulièrement à ce que le peuple puisse leur imposer directement sa volonté sans ambiguïté.

    Dans un article de novembre dernier, j’avais remarqué que Sarkozy avait rejeté deux mesures proposées par le comité Balladur et qui auraient quelque peu bridé sa communicationnite aiguë :

    - La possibilité pour le Conseil Constitutionnel de rejeter une loi qui n’apporterait rien à la législation.

    - Le fait que temps de parole du Président serait comptabilisé avec celui du gouvernement.

     



  • Romain Baudry 30 avril 2008 18:13

    Individuellement, il est certain que les députés manquent de visibilité. Mais les partis sont quant à eux bien connus des électeurs, ce qui revient un peu au même (la discipline interne des partis étant ce qu’elle est). Et les députés réalisent bien que, si les électeurs sont mécontents de leur parti pour une quelconque raison, ils risquent de payer les pots cassés.

    J’ajouterai que la domination écrasante de l’exécutif que nous connaissons n’est guère préférable à celle du Parlement sous la IVème République. Un certain équilibre entre les pouvoirs est nécessaire.

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