"L’attractivité résidentielle est un facteur de développement
économique, dans la mesure où elle contribue à augmenter les besoins de
services"
Si Toulouse est une ville attractive, c’est grâce au succès de son industrie aérospatiale. Y en a marre des services. Si le LGV permet un essor industriel, c’est bien le mieux que l’on puisse faire. Par ailleurs, je n’aimerais pas voir l’écologie être un argument au sous-développement. Abandonner le réseau TER pour les grands axes, je partage votre opinion que cela s’avèrerait une mauvaise chose. Mais bon, si on a une dynamique de développement des infrastructures, peut-être que l’on pourra installer des trains sur coussins d’air (invention de Jean Bertin dont il ne reste qu’un souvenir près d’Orléans, c’est marrant que cette ville apparaisse dans votre article pour desservir les Midi-Pyrénées justement !) et desservir toute la région bien mieux que des TER vieillots.
Ajaccia et Bastia ? C’est bien le dernier endroit où je souhaiterais vivre. Enfin, cela ne regarde que moi mais je suis sûr que ça veut rien dire vos soi-disants résultats. S’agigirait-il de résidences secondaires ? Y a du boulot là bas à part du tourisme à la con ?
J’espère que vous n’êtes pas un ennemi du développement Coopain des bois. mais une chose est sûre, il faut le faire intelligement. Vous avez raison, pas de lignes LGV mais du coussin d’air !!!!
arrêtons la discussion mais je ne suis pas inactif comme vous le dîtes. Je soutiens ces initiatives auxquelles je crois, et je souhaite que ces sujets soient abordés dans la sphère politique.
J’aurais bien aimé parler de ces projets plus dans le détails mais avec vous, l’effort a déjà été juste de ramener le nucléaire sur le tapis, c’est pour vous dire comme on est parti de bas. La prochaine fois, on entrera dans le concret de ces solutions.
Il n’en demeure pas mois très malhonnête de ne pas parler du nucléaire vu la prétention de compréhension de votre article. Nos retraites dépendent de ce sujet également, c’est un miracle énergétique que cette ressource même si vous le niez.
Je passe toutes les solutions locales, en ayant son petit panneau solaire pour sa petite production à soi et s’économiser des pertes dans le réseau etc bref vos solutions de gros bourges qui marchent très certainement.
la solution des pas bourges est écrite noir sur blanc dans les conclusions : se passer d’énergie abondante. Merci :). Quant à moi je prends juste des douches, j’allume mon ordi, je peux me chauffer au fioul si ça vous chante mais bon c’est pas abondant ce que je consomme. Et si l’industrie consomme, je pense pas que cela soit pour le plaisir (mais on désindustrialise à bon train donc ça va dans votre sens).
Je retranscris le dernier paragraphe : « Encore une fois je suis pour l’utilisation des centrales existantes et de l’énergie qu’elles produisent pour mettre en oeuvre le projet de société de demain. Mais ce projet doit être celui de la résilience, de l’énergie maîtrisée et décentralisée , de l’efficacité ... tout l’inverse du nucléaire » POINT FINAL
Je souffle un coup, je réprime mes pulsions aggressives. D’une, à part l’austérité et solutions à la con éoliennes panneaux solaires pour pays riches vous proposez RIEN. Et puis c’est pas original c’est le moins que l’on puisse dire. C’est quoi ces centrales que vous voulez utiliser au final ?
En Afrique du Sud, y a des excellentes recherches pour des centrales plus petites, non basées sur la technologie nucléaire pour une production locale (réacteurs à boulets) mais en fait y a plein de projets possibles pour les réacteurs de 4ème génération. Y a pas que l’uranium mais le thorium également, bcp plus abondant.
Je ne m’étends pas, je réitère ma question : alors on va utiliser quoi comme énergie si plus de pétrole ni de nucléaire ?
pourquoi nous n’avons pas de voitures électriques Monsieur (pour ne pas dire tracteur électrique pour reprendre votre exemple de mauvaise foi)
Vous estimez que nous n’avons pas assez d’uranium et de thorium ? Quelle sont vos estimations (vous remarquerez que j’en reste à la fission que nous maîtrisons bien si je ne m’abuse).