Pour comprendre l’initiative contre les minarets, il savoir ce qui suit :
Les musulmans sont en train de multiplier leurs revendications en Suisse et
sont confrontés à une résistance de la part de la majorité chrétienne qui ne
comprend pas pourquoi par exemple les femmes musulmanes portent le niqab voire
la burqa dans leur pays. Même la Jordanie http://www.ammonnews.net/article.aspx?articleNO=42114
veut l’interdire parce que des voleurs s’y cachent, et à Londres http://www.debbieschlussel.com/2886/more-burka-clad-crime-the-burka-terrorist/
des terroristes s’en sont servis. Plusieurs demandes de construction de minarets
(avec l’aide de l’Arabie saoudite qui ne respecte pas la liberté religieuse des
chrétiens) ont été déposées, et la population y est hostile parce qu’elle ne
veut pas que ces minarets soient utilisés pour lancer l’appel à la prière. Les
musulmans disent qu’ils ne vont pas s’en servir, mais en fait ils s’en sont
servi en Allemagne malgré leur promesse de ne pas le faire. C’est la raison pour
laquelle une initiative a été lancée contre la construction des minarets.
La question qui se pose est celle-ci : est-il nécessaire d’avoir des minarets
pour pratiquer la religion musulmane en Suisse ? La réponse est non. La mosquée
Al-Aqsa à Jérusalem n’a pas de minaret, et pourtant on y prie. Il existe en
Suisse plus de 200 lieux de culte, et les musulmans (en majorité des étrangers)
pratiquent librement leur religion en Suisse, contrairment au chrétiens en
Arabie saoudite qui construit les mosquées en Suisse. Aucun lieu de culte
musulman n’est attaqué en Suisse alors qu’en Egypte pratiquement chaque semaine
les lieux de culte des chrétiens (des citoyens égyptiens !) sont attaqués par des
musulmans. Si les minarets ne seront pas utilisés - comme le promettent les
musulmans -, et si les minarets ne sont pas nécessaires pour pratiquer le culte,
pourquoi dans ce cas les construire ?
Si demain l’initiative contre les minarets échoue, les musulmans vont
réclamer des minarets partout, et il y aura des oppositions de la part de la
population, avec des recours à des tribunaux à ne plus finir. La paix
confessionnelle sera troublée, et les musulmans en seront les premiers perdants.
Si la paix confessionnelle est au prix de la renconciation à des minarets
inutiles et inutilisables, il vaut mieux renoncer à ces minarets dans l’intérêt
même des musulmans. Pour cette raison j’invite les musulmans de nationalité
suisse à voter en faveur de l’initiative contre les minarets, parce que c’est
dans leur intérêt d’avoir la paix confessionnelle en Suisse. Sans paix
confessionnelle, la vie sera infernale en Suisse.
Je pense qu’une des choses qui gêne les musulmans en Suisse concernant l’initiative contre les minarets c’est qu’on puisse mettre en discussion des questions religieuses. Pour eux, les questions religieuse ne se discutent pas. On obéit ou on se tait. Et si aujourd’hui on soumet les minarets au vote populaire, demain ce sera une autre question de religion musulmane qui se posera et le peuple suisse y tranchera. Imaginez des « mécréants » décider pour les musulmans. Scandale. Malheureusement c’est l’aléa de la démocratie. Tout se discute. Et tant pis si Allah ou ses adeptes n’en sont pas contents. Il faut faire avec. Les catholiques aussi ont fini par s’adapter, eux qui voulaient être enterrés séparés des « infidèles protestants ». Aujourd’hui les musulmans réclament des cimetières pour eux.... et certains cantons cèdent lâchement. Mais cela ne durera pas longtemps. Les musulmans devront aussi accepter d’être enterrés à côté des « infidèles ». Ce sera l’objet de la prochaine votation. Puis viendra la question de la circoncision masculine et féminine, du port du voile et de la burqa, des cours de natation, de la formation des imams qui devront accepter les normes suisses. Tout y passera.
« A Rome, fais comme les romains », conseillait Saint Ambroise au jeune et futur Saint Augustin.
Si l’initiative contre les minarets est rejetée, les musulmans vont
faire des demandes de construction de minarets dans chacune des 2636
communes où se trouvent des musulmans, aidés en cela par l’Arabie
saoudite. Et il y aura des recours contre de telles constructions à ne
plus finir, occupant les avocats et les tribunaux, et envenimant les
relations entre les musulmans et les non-musulmans.
Il faut fermer préventivement cette porte de discorde, une fois pour
toutes. Les musulmans ont le droit à des lieux de culte pour prier,
mais pas de minarets pour crier. Sans la paix confessionnelle, tout le
monde y perdra, et en premier lieu les musulmans.
Et qu’on ne se fasse pas d’illusion. Il ne faut pas prendre les
minarets pour des sapins de Noël. Ils finiront par être utilisés,
quelles que soient les promesses données par les musulmans, comme ce
fut le cas ces derniers temps en Allemagne. Les promesses n’engagent
que ceux qui y croient. C’est la politique du saucisonnage.
Alors, disons-le clairement : prier, oui ; crier, non.
Et qu’on ne vienne pas me dire qu’interdire les minarets viole la
liberté religieuse. Les musulmans en Suisse (majoritairement étrangers)
bénéficient de toute la liberté de pratiquer leurs cultes en Suisse, et
sont bien mieux lotis que les chrétiens d’Egpyte dans leur propre pays
où les lieux de culte chrétiens font l’objet d’attaques pratiquement
chaque semaine. Les minarets ne sont nullement nécessaires pour
pratiquer le culte musulman. Et en tout cas, les musulmans sont mille
fois mieux lotis en Suisse que les centaines de milliers de chrétiens
en Arabie saoudite qui leur interdit tout culte chrétien sur son sol,
même si le culte a lieu dans des maisons privées.
Si l’initiative contre les minarets est rejetée, les musulmans vont faire des demandes de construction de minarets dans chacune des 2636 communes où se trouvent des musulmans, aidés en cela par l’Arabie saoudite. Et il y aura des recours contre de telles constructions à ne plus finir, occupant les avocats et les tribunaux, et envenimant les relations entre les musulmans et les non-musulmans. Il faut fermer préventivement cette porte de discorde, une fois pour toutes. Les musulmans ont le droit à des lieux de culte pour prier, mais pas de minarets pour crier. Sans la paix confessionnelle, tout le monde y perdra, et en premier lieu les musulmans. Et qu’on ne se fasse pas d’illusion. Il ne faut pas prendre les minarets pour des sapins de Noël. Ils finiront par être utilisés, quelles que soient les promesses données par les musulmans, comme ce fut le cas ces derniers temps en Allemagne. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. C’est la politique du saucisonnage. Alors, disons-le clairement : prier, oui ; crier, non. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’interdire les minarets viole la liberté religieuse. Les musulmans en Suisse (majoritairement étrangers) bénéficient de toute la liberté de pratiquer leurs cultes en Suisse, et sont bien mieux lotis que les chrétiens d’Egpyte dans leur propre pays où les lieux de culte chrétiens font l’objet d’attaques pratiquement chaque semaine. Les minarets ne sont nullement nécessaires pour pratiquer le culte musulman. Et en tout cas, les musulmans sont mille fois mieux lotis en Suisse que les centaines de milliers de chrétiens en Arabie saoudite qui leur interdit tout culte chrétien sur son sol, même si le culte a lieu dans des maisons privées.