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Sans buffet ni culotte

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  • Sans buffet ni culotte 13 octobre 2007 10:19

    « espérantistes, anti-corridas, khmers verts, 911... »

    Ce n’est rien du tout, à côté de l’avalanche de pamphlets pro-Bayrou et (à un moindre dégré) pro-Royal et pro-Sarko qu’on nous a assenée pendant la campagne présidentielle.



  • Sans buffet ni culotte 1er octobre 2007 23:42

    Désolé Snoopy, mais je trouve normal de rappeler des articles qu’Agoravox a refusés et de les comparer avec ceux qui sont acceptés. La comparaison est édifiante. Que des lecteurs rappellent des cas de censure politique évidente, c’est très légitime. Ce sont les modérateurs d’Agoravox qui se sont ridiculisés.

    D’autant plus que les liens fournis par ces lecteurs ne sont pas hors sujet. Bien au contraire, ils répercutent un point de vue pertinent, mais censuré.

    Quant à soumettre les articles ici... Apparemment, ça a déjà été fait par l’auteur du blog ! Alors ?



  • Sans buffet ni culotte 1er septembre 2007 13:33

    Sur Agoravox, les choses sont relativement simples : un « petit groupe compact » proche de deux trois partis politiques a l’air de bien contrôler la modération et de pouvoir sabrer ce que bon lui semble. Mais bien sûr, les « trolls » sont ceux que l’on censure.

    Sur Wikipédia, c’est devenu plus complexe et on en apprend de bonnes pour ce qui est du noyautage des médias « citoyens ». Par exemple, dans cet article sur le site du Journal du Dimanche :

    http://www.lejdd.fr/cmc/blogs/200735/la-wikibataille-est-entamee-_50001.html

    Blog internaute Mardi 28 Août 2007 - 17:40

    La Wikibataille est entamée !

    (...)

    Souvenez-vous. A l’occasion du débat qui a opposé les candidats à la présidentielle Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, un jeu de yo-yo avait pris place sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia concernant la polémique sur le réacteur nucléaire de troisième ou quatrième génération. Tout au long de la soirée, le texte a été matraqué à coup de modifications et de mises à jour par des internautes désireux de favoriser l’un ou l’autre candidat. La polémique est lancée.

    Déjà fortement critiqué sur la pertinence de ses informations, je rappelle que le site est uniquement alimenté par les internautes, Wikipédia se trouve une seconde fois mis à mal. Et la dérive fait froid dans le dos. Certaines définitions du site ne seraient que de propagandes et publicités mensongères mises en ligne par des manipulateurs. Et quels manipulateurs ! Monsieur X peut aller se coucher, là c’est du lourd. Je parle du Vatican, de l’ONU et de la CIA. Je parle d’entreprises, de groupes influents et de personnalités politiques...

    (...)



  • Sans buffet ni culotte 31 août 2007 23:04

    Jacques Attali a été le fidéle serviteur de Mitterrand dans des besognes pour le moins contestables. Lire : « La main droite de Dieu », Seuil 1995.

    A présent, il continue à travailler pour les intérêts de la grande finance, comme il l’a toujours fait. Lire, par exemple :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=235

    Nicolas Sarkozy, capitalisme de choc et alliance impérialiste Europe-USA

    (...)

    1. L’allocution de Nicolas Sarkozy du 30 août devant le MEDEF

    « Si l’on taxe trop le travail, il se délocalise, si l’on taxe trop le capital, il s’en va », vient de dire Nicolas Sarkozy. Autrement dit, pour le nouveau Président de la République Française, le « travail » et le « capital », c’est la même chose. A savoir, les capitalistes. Les travailleurs n’existent tout simplement pas. Car, qui « se délocalise », si ce n’est les capitaux ? Le décor est bien planté.

    La nouvelle phase de la « réforme fiscale » consistera donc à développer encore les avantages accordés aux riches et aux capitalistes. « Il faut avoir le courage de le dire : la question de la taxe professionnelle, la question de la taxe sur les salaires, la question de l’assiette des cotisations sociales doivent être posées », clame Sarkozy qui attend avec impatience le rapport que doit lui remettre le « mitterrandiste historique » Jacques Attali au nom d’une Commission pour la libération de la Croissance Française (CLCF).

    Pour le reste, c’est tout du même acabit. Souvent joliment dit, mais avec un contenu constant et la déclaration de principe : « Comment réformer si l’on ne veut pas prendre le risque de la rupture ? Le mot rupture ne m’a jamais fait peur ». Ou encore : « ... l’on ne peut pas durablement dépenser plus que l’on produit », et pas un mot sur la recherche des très bas salaires qui se trouve à l’origine des délocalisations financières.

    (...)

    Le miroir déformant de Nicolas Sarkozy nous présente un monde où, comme dans les clichés bourgeois du XIX siècle, il existerait : une « liberté d’entreprendre » ; une « économie de marché » qui ne serait pas sous le contrôle des multinationales et de la grande finance ; des légions d’ « entrepreneurs » indépendants des financiers... Bref, la grande opportunité pour tous de s’enrichir à condition de « travailler plus » pour « gagner plus » et « vivre mieux », en tordant le cou à la « culture de la contestation ».

    Parler de « dictature des marchés » n’embarrasse pas Nicolas Sarkozy, car dans la propagande du système les « marchés » financiers sont des entités impersonnelles qu’on nous présente comme « incontrôlées », avec des « crises » qui « ne sont la faute à personne » et dont « tout le monde est victime », capitalistes compris. N’a-t-on pas vu, il n’y a pas si longtemps, une partie de la « droite » française se prononcer pour la taxation des transactions financières ? Les mots que le discours de Sarkozy évite sont autres : « oligarchie », « classe capitaliste », « grand capital », « impérialisme »... Pas question, non plus, de parler de la stratégie de domination militaire de la planète par les puissances capitalistes.

    En somme, un discours véhiculant des flots de démagogie, qui se veut « proche du peuple » alors qu’il occulte la véritable nature du système capitaliste et impérialiste ainsi que les objectifs réels de sa machine économique et militaire.

    (...)



  • Sans buffet ni culotte 31 août 2007 18:29

    Le MEDEF veut faire la peau à tous nos acquis sociaux de l’après-guerre. Les sourires de sa présidente sont pour les journalistes et pour les directions des syndicats. A présent, Parisot s’en prend déjà à l’âge de la retraite.

    Il me semble qu’une analyse assez bonne de la situation se trouve dans ces deux articles :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=228

    Sarkozy, Bush, médias, lobbying... et ce qu’on nous prépare (1)

    On parle partout d’une prétendue « crise économique ». Les médias, même « citoyens », s’emploient déjà à nous expliquer en quoi, d’après eux, cela consiste. Apparemment, nous n’étions pas au courant, mais il faudra semble-t-il que « Sarkozy intervienne » à la rentrée, voire même tout de suite. L’intéressé a déjà « interpellé le G7 ». En même temps, les manœuvres militaires de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et l’annonce par Vladimir Poutine, le 17 août, de la reprise effective des vols de bombardiers stratégiques russes, semblent être exploitées pour créer une ambiance permettant aux « experts » occidentaux de « justifier » une militarisation rapide de l’Europe et un renforcement de son alliance avec les Etats-Unis. Cependant, cette propagande ne saurait résister à une analyse tant soit peu sérieuse. D’abord, parce que le pouvoir des lobbies financiers dans ce début de siècle est tel, qu’aucune crise économique ne saurait avoir lieu sans leur « consentement » et sans présenter un avantage pour eux. Ensuite, parce que les manœuvres militaires de l’OCS ressemblent étrangement à des essais de répression d’émeutes et de soulèvements populaires.

    (...)

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=230

    Sarkozy, Bush, médias, lobbying... et ce qu’on nous prépare (2)

    On entendait dire jadis : « attention, dans les périodes de calme apparent, le capitalisme finit toujours par reprendre ce qu’il avait dû céder sous la pression des mobilisations populaires ». Après plus de trois décennies d’activité intense des réseaux capitalistes et impérialistes, et de dégénérescence des organisations ouvrières et citoyennes, le bilan est très sombre et le sursaut citoyen plus nécessaire que jamais.

    (...)


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