Les femmes pakistanaises sont très défavorisées et font l’objet de discriminations. Elles sont privées de droits économiques, sociaux, civiques et politiques et se voient souvent refuser celui de décider elles-mêmes de questions relatives à leur mariage ou à leur divorce. Elles sont victimes de violences dans le cadre familial et communautaire sans avoir les moyens d’obtenir réparation. Le statut juridique et social des femmes a évolué défavorablement au cours de l’histoire du Pakistan. Ce statut a été décrit comme étant défini par « l’interaction des codes tribaux, du droit musulman, des traditions judiciaires indo-britanniques et des coutumes … qui ont créé un climat d’oppression dans lequel tout avantage ou toute possibilité offerts aux femmes par une loi sont annulés par une ou plusieurs autres lois ».
Depuis l’accession du Pakistan à l’indépendance en 1947, le débat entre les partisans d’une démocratie parlementaire moderne et les Ulémas sur le rôle de l’Islam dans la vie politique de la nation a dominé le processus de construction de l’Etat pakistanais. Pendant les vingt-cinq premières années, les citoyens ont acquis quelques droits. La Muslim Family laws Ordinance, MFLO, portant code de la famille musulmane, adoptée en 1961, a poursuivi l’oeuvre de codification entamée à la période britannique pour lutter contre les coutumes tribales et garanti aux femmes un certain nombre de droits relatifs au mariage et au divorce.
autre exemple dans le monde du statut de la femme enfin on voit que le mensonge n’étouffe pas l’auteur, qui veut faire croire que les femmes ont signées pour être assignés à résidence et être dans le rôle de pondeuse et femmes de ménage
Les femmes considérés comme inaptes à la vie politique
Les difficultés naîtraient si les épouses votaient en opposition à leur mari, ce qu’elles feraient en général. De surcroît, le droit de voter ne “protégerait aucunement les femmes contre la brutalité des hommes”. Si les hommes se trouvaient “anoblis” par le droit de vote, les femmes, elles, “en seraient rabaissées et même dégradées. Elles couraient le risque de perdre... leur douceur, leur affection et leur attachement au foyer”. Enfin, les femmes se montraient indifférentes à cette question. Un député écossais mit en avant d’autres différences entre les hommes et les femmes. Les hommes étaient faits pour les travaux pénibles et faisaient preuve d’une stabilité de caractère et d’une intelligence supérieures” tandis que les femmes dépassaient de beaucoup les hommes dans les situations qui demandaient “douceur, affabilité et amabilité”. Les femmes étaient donc tout à fait inaptes à la vie politique, comme la plupart d’entre elles le reconnaissaient d’ailleurs (Parliamentary Debate, 1867, op. cit.). Tous deux s’accordaient à dire que les “différences” naturelles entre hommes et femmes seraient modifiées si les femmes obtenaient le droit de vote.
en fait voilà ce que l’on peut lire comme délire, si la femme vote c’est mal, on remarque l’auteur est dans le même trip, d’une certaine façon, lui aussi n’arrete pas dans ses articles d’affirmer que les femmes ont un probleme car elles veulent se liberer car tout allait bien à part quelques petites histoires et les hommes sont de pauvres victimes
en 757, le capitulaire de Compiègne stipule (article 10) : « Si quelqu’un s’étant marié, trouve que son épouse n’est pas vierge, il a le droit de la renvoyer et de prendre une autre femme, mais si celle-ci n’est pas vierge, il ne pourra la renvoyer car lui non plus ne l’est pas ayant connu sa première femme ».
la légende du Concile de Mâcon veut que l’existence d’une âme chez la femme ait été discutée lors d’un concile : il s’agissait en réalité de clarifier la distinction entre les termes homo (être humain) et vir (homme mâle), ce qui fut fait.
1405 - France : Christine de Pisan, première femme française de lettres à vivre de sa plume, dénonce dans La Cité des dames lamisogynie des clercs et s’insurge contre les discriminations dont les femmes sont victimes.
Marie de Gournay réclame, dans son « Égalité des hommes et des femmes », un meilleur accès à l’instruction pour toutes les femmes. Elle prend position dans le débat naissant sur la place de la femme, soutenant que celle-ci n’est pas inférieure à l’homme par nature mais du fait de son éducation.
Les femmes tiennent salon. Ces petits comités essentiellement masculins se réunissent souvent sous la protection de femmes qui leur garantissent une certaine liberté. Certaines femmes appartenant aux classes privilégiées se posent en effet en protectrices et rien, ou pas grand-chose, ne peut leur interdire une telle attitude. Ces « salons particuliers » reprennent la tradition des cercles des reines et des princesses à la cour qui émergent dès le xve siècle. C’est dans le cadre de ces salons que les Lumières prennent leur essor en favorisant les libres débats.
l’auteur ment sur le statut juridique de la femme on peut lire rien que sur wiki que le statut de cette dernière est inférieur à l’homme peu importe la condition sociale et les époques, la femme a été toujours considéré comme inférieure
enfin c’est quoi ce délire sur dsk, il ne représente que lui, et pas l’humanité ni les hommes mais comme vous êtes un manipulateur de 1ere, vous cherchez à niez la violence qu’est le viol et dire que c’est une chose sans gravité puisque selon vos délires, les féministes se sont liguées contre dsk qui est un saint d’homme, se comportant comme un être civilisé, bien entendu...et donc les féministes sont les méchantes pas les violeurs, vos articles sont dignes des propos que l’on peut trouver dans les heures sombres...
comme quoi, certains sont vraiment des vieux dans tous les sens du terme et d’autres sont jeunes dans l’âme vous en êtes la preuve d’un côté nous avons l’auteur un vieillard aigris né ainsi et de l’autre des natures jeunes et aimantes
sauf que si vous allez voir les propos d’hachei il est surtout d’accord avec le timbré norvégiens, c’est mot pour mot ce que l’on trouve dans le manifeste de l’auteur de l’attentat