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Amateur passionné par les arts visuels, je suis aussi intéressé par les rapports de l'art avec la politique et les connexions entre la science et la philosophie.Tableau de bord
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@ Philippe Vassé,
merci de votre réponse, je suis tout à fait dans votre ligne qui pour moi est un idéal.Mon propos provocateur est motivé par la complexité des problèmes qui mélangent tous genres d’acteurs et qui dépassent le tout petit enjeu des frégates (je ne veux en rien manquer de respect aux éventuelles victimes). Je pousse en allant jusqu’à penser que le règlement de compte que vous décrivez avec les autorités suisses, n’est qu’un épisode du commerce international et que cela n’a rien à voir avec la justice. Ma « métaphore » de mauvais goût est une évidemment une mauvaise réponse et votre médiation va dans une responsabilisation de chacun, mais au niveau politique, je ne vois plus l’idée de démocratie, pour ce qui est des médias, internet est devenu un refuge.Attention, je ne dis pas qu’il a pas d’hommes et de femmes politiques de confiance, mais la perversion est devenu tel qu’elle est devenue structurelle. Cela va bien au-delà des frégates, dans tous les compartiments de notre société. Le gentil mot de démocratie parait bien malingre face à l’histoire et la mentalité actuelle(le deni comme valeur).Alors soyons comptant de payer une partie de ces rétro-commissions à tort, les « gens » qui s’occupent de tous cela, nous permettent finalement de nous en sortir pas si mal. -
« Il n’y aura pas de pourvoi en cassation à la demande de Thales », a précisé le ministre de la Défense Gérard Longuet. Payant ainsi pour les magouilles des uns et des autres, avec l’argent du contribuable.
ça résume tout, Longuet en train de se couvrir en nommant Thales ! le mépris nous amène à tes températures inégalées !Toute cette péripétie reste une affaire de business, inhérente à la conception de la politique concernant une politique cloisonnée( un « milieu »).On en vient à rêver d’un gentil dictateur qui nous débarrasse de toutes ses sangsues. Ceux-ci profitent de leur connaissance de l’âme humaine pour monter les gens les uns contre les autres afin de régner en toute impunité. -
Jluc,
à rennes, j’ai été témoin de la même scène que la première vidéo dans une pharmacie avec 15 personnes autour, pareil pour rien ! une querelle ! Americans and the way of live Gone Wild. -
Je n’ai pas bien compris, de quelle démonstration parlez-vous, le terme est-il bien choisi ?
Un commentaire peut-être une remarque tout au mieux.La contradiction est autorisée et les liens, que chacun peuvent mettre, deviennent acte d’influence et participent de notre bonne mère la science (j’ai cru comprendre l’effet Boomerang du votre). -
Dans les deux cas, peut-on faire confiance aux Mayas ? à l’interprétation des analystes ?
A mon avis, le concept de fin du monde n’a aucun intérêt puisqu’il ne nous concerne pas, il n’y aura pas d’après , aujourd’hui, demain, plus tard, ça ne change rien.Après si tout le monde veut accélérer l’inéluctable, je m’en fous, ce comportement est très anciens, directement liés aux différentes écritures, un pressentiment naturel conditionné par notre propre programmation génétique qui fait de nous des mortels en rébellion, se sentant immortels. Je crois que les vanités remportent de grand succès de nous jour, et j’en suis malheureux pour les japonais que j’ai rencontré à Tokyo et les autres évidemment.
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