Ce qui est encore plus choquant que la situation tragique des stagiaires est la litanie amorale et cynique du journaliste qui écrit l’article de Capital. Normalement, ce genre de conseils, tant ils sont honteux, devraient tout juste être susurrés à l’oreille de celui qui veut bien écouter.
Le papier glacé de « Capital » n’accroche pas la merde, il l’étale.
Critiquer le système suppose un minimum de conscience politique et de culture. Ces gens ne sont que des idiots utiles d’un capitalisme dont le but est de détruire et de casser les identités nationales.
En tout cas, ces gens qui « niquent la France » prouvent que la misère intellectuelle n’est pas consubstantielle à la misère pécuniaire.
Non mais on rêve ! Oui la Marseillaise est chant guerrier, celle d’une guerre où la liberté du peuple et non celle d’intérêts privés est au centre. Certes, il y a eut des exactions durant la révolution française mais la révolution est loin d’être un diner de gala mais un soulèvement, un acte de violence comme l’affirmait Mao Tsé Toung. Ces exactions étaient bien moindres que celles commises envers le peuple sous l’Ancien Régime. Pendant que le peuple crevait de faim depuis près de 10 ans suite à des récoltes désastreuses, l’aristocratie continuait à vivre dans le faste en assommant de plus en plus la populace d’impôts et de taxes.
Oui la Marseillaise est un chant de rage, la rage d’un peuple qui veut vivre libre et affranchi, la rage d’un peuple qui ne veut pas se faire spolier par une minorité.
Nous pouvons être fiers de ce chant et fiers de nos ancêtres dont l’immense courage les a amené à couper la tête d’un monarque élu par Dieu dans une époque où les questions d’enfer et de paradis étaient primordiales pour le petit peuple.