Allez-vous avoir le courage et l’honnêteté intellectuelle d’expliquer publiquement en quoi le commentaire de popov (11 février 07:48) lui a valu d’être interdit de séjour sous votre article ?
Donc vous ne pouvez pas dire « comme un parent » puisque les parent sont civilement responsables de leurs enfants et que vos associations ne le seraient pas pours les migrants dont elles se portent « garantes ».
En cas de crimes commis par le migrant, l’association responsable de son installation dans le voisinage ne sera pas inquiétée quelles que soient les nuisances encourrues.
Vos propositions qui font appel au sens humanitaire ne sont en fait qu’un outil pour créer un appel d’air à l’immigration illégale. Devant l’échec de l’immigration massive, les élus n’osent pas prendre trop de risques en essayant d’en imposer encore plus. Mais le système en veut plus. Il se rabat donc sur les associations.
Je vois d’ici la pègre maghrébine de connivence avec les passeurs se constituer en associations qui se porteraient « garantes » des clandestins sans encourrir de risques légaux en cas de crimes.
Excusez mon ignorance, mais les parents ne sont-ils pas responsables civilement de leurs enfants en France ?
Si un gosse allait peindre des moustaches à Mona Lisa (bon, vous me direz qu’elle est sous verre), les parents n’auraient-ils pas intérrêt à avoir une bonne assurance familiale ?
Le Japon tout comme l’Europe « souffre » d’un déficit de natalité. Contrairement à l’Europe, il ne tient absolument pas à y remédier par une immigration massive. En 2016, sur 10 901 demandes d’asile politique, il n’y a eu que 28 admissions, les autres étant considérés comme des migrants politiques et renvoyés chez eux par charters.
Dans une économie aussi diversifiée que celle du Japon, il y a bien sûr des professions où l’offre d’emploi est supérieure à la demande (exemples : profs de langues ou traducteurs). Dans ce cas, une entreprise peut recruter un étranger. Le visa est lié au contrat de travail. L’entreprise se charge de trouver un logement pour le travailleur et sa famille et se porte garante auprès du propriétaire. Si le locataire dévaste les lieux, c’est l’entreprise qui payera. L’entreprise est aussi implicitement responsable du migrant, en ce sens que s’il se conduit comme une racaille, l’entreprise risque d’avoir des difficultés pour obtenir un visa pour son remplaçant
Pour les métiers qui ne demandent pas de spécialisation particulière (exemple : la construction) et où il y a un manque de main d’œuvre, les entreprises sont autorisées à recruter à l’étranger dans le cadre d’un programme de formation. À la fin du contrat, le stagiaire doit retourner dans son pays d’origine et peut ainsi le faire profiter de son expérience au Japon.
La solution à long terme est là comme l’a senti Jean-Louis Borloo.
La solution serait là si vous choisissiez les migrants en fonction de leur capacité à recevoir une formation qui les rendrait utiles dans leur pays d’origine, et de leur motivation à y retourner pour en devenir une chance.
Ce n’est absolument pas les cas actuellement. La politique d’immigration massive n’a pas le but idéal que vous faites miroiter.
Elle a pour but de remplacer une population européenne encore trop lucide malgré le lavage de cerveaux opéré par les médias par une population qui fera ce que leurs imams conrôllés par le système leur ordonne de faire. On en a vu un début avec les mosquées appelant à voter Macron.
Après l’échec du nazisme, la finance mondiale a cette fois parié sur l’islam pour fonder le IVe reich.
Je ne sais pas si vous êtes un grand naïf, un idiot utile ou un collaborateur à cette machination diabolique.
PS : vous avez le bonjour de popov que vous avez bloqué.