Dans le cas où une association se porte garante pour un migrant et que celui-ci commet un crime, que se passe-t-il si la victime se porte partie civile et réclame un dédommagement financier ?
Le migrant étant évidemment insolvable, l’association va-t-elle devoir débourser à sa place ?
Si ce n’est pas le cas que signifie « se porter garant » ?
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Vive la censure !
C’est ça la gauche bobo. Elle essaye de vous prendre par les bons sentiments, mais elle ne supporte pas la critique, surtout si elle est argumentée et documentée.
Inutile d’attendre une réponse argumentée de l’auteur : il n’en n’a pas, il préfère faire taire.