Je voulais simplement dire, gérer de façon responsable, pas contrario l’ETAT dépense sans compter dans des projets idiots et pas indispensable. Y a qu’a voir les conseils généraux et autres bâtiments, le ministère de la culture etc... le fric fous dépensé à faire des travaux inutiles et à payer des architectes hors de prix... et ce n’est qu’une goutte d’eau dans un océan de dépenses inutiles. Cela une entreprise bien gérée ne se le permet pas.
Supprimer les Conseil généraux, les conseils régionaux, gérer le pays aussi bien qu’une entreprise tout simplement, rendre les hommes politiques responsables de leurs actions devant des tribunaux.
Embrouille, raisonnement sophiste, résignation, intellectualisation de problèmes simples, citation d’économiste pour opérer son nuage de fumé, votre discours est archétypique et révélateur. C’est à cause de gens comme vous que nous en sommes là.
J’enverrai les gens comme vous se changer les idées en Sibérie.
Pour le Sophisme :
"il ne faut pas oublier que les charges sont aussi une ressource de la
nation. C’est redistribué, cela génère de la consommation et de la
croissance."
Doit-on augmenter le nombre de chômeurs pour ne pas faire chuter la consommation ?
ET ou vous prendrez l’argent pour financer cet allègement d’impôt demandera madame Michu ?
Et bien qui dit allègement d’impôts sur les PME et sur le travail dit, redémarrage de l’activité, hausse de la consommation et augmentation du nombre consommateurs, voir des salaires... autrement dit on entre dans une dynamique économique vertueuse et non de repli et d’asphyxie comme c’est la cas aujourd’hui.
Mais qui dicte cette conduite d’économie à l’ETAT et d’imposition à outrance ?
L’Europe.
Car la Dette court et ces gens là n’ont pas confiance... ils veulent leur argent et tout de suite.
Derrière l’Europe : les banques.
Elle finiront par mourir de leur cupidité quand le résultat de leur politique aura tout foutu par terre.
Il faut tout changer. C’est pas compliqué. TOUT. Le chômage et « la crise économique » ne sont pas une fatalité, c’est le résultat normal de l’organisation de nos économies.