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@OMAR : prenez en de la graine !!!!!!!!!
Être Juif selon une romancière sud-africaine, militante sociale non Juive,
Olive Schreiner,
"De fait, il est difficile pour toutes les autres nation du monde de vivre en présence des Juifs. C’est irritant et très inconfortable. Les Juifs embarrassent le monde parce qu’ils ont fait des choses au-delà de l’imagination. Ils sont devenus des étrangers moraux depuis le jour où leur
patriarche, Abraham, a introduit dans le monde les standards éthiques les plus élevés et la crainte de Dieu. Ils ont apporté au monde les Dix Commandements, que de nombreuses nations préfèrent défier. Ils ont violé les règles de l’histoire en demeurant vivants, contre les probabilités du bon sens et de l’évidence historique. Ils ont survécu à tous leurs anciens
ennemis, dont de vastes empires tels que les Romains et les Grecs. Ils ont mis le monde en colère avec leur retour dans leur patrie après 2000 ans d’exil et après l’assassinat de six millions de leurs frères et sœurs.
Ils ont exaspéré le genre humain en construisant, en un clin d’œil, un Etat démocratique que d’autres n’ont pas été capables de créer même en plusieurs centaines d’années. Ils ont construit des monuments vivants tels que le devoir d’être saints et le privilège de servir les fidèles de l’Un.
Ils ont participé dans tous les efforts du progrès humain, que ce soit dans la science, la médecine, la psychologie ou toute autre discipline, et cela dans une disproportion totale avec leur nombre réel. Ils ont donné au monde la Bible et même leur « saveur ».
Les Juifs ont enseigné au monde à ne pas accepter le monde tel qu’il est, mais à le transformer, et pourtant peu de nations ont voulu écouter. De plus les Juifs ont introduit dans le monde le Dieu unique, dont pourtant seule une minorité a accepté de tirer les conséquences morales. Ainsi les nations du monde réalisent qu’elles auraient été perdues sans les Juifs. Et pendant que leur subconscient essaie de leur rappeler combien la civilisation occidentale est encadrée en termes de concepts d’abord articulés par les Juifs, ils font tout leur possible pour les supprimer.
Ils nient que les Juifs leur rappellent un but plus élevé de la vie et la nécessité d’être honorable, et ils font tout leur possible pour échapper à ses conséquences. C’est simplement trop à gérer pour eux, trop embarrassant à admettre, et par-dessus tout, trop difficile de vivre avec.
Ainsi, les nations du monde ont décidé de nouveau de quitter ’leur’ voie de manière à trouver un bâton pour frapper les Juifs. Le but : prouver que les Juifs sont immoraux et coupables de massacre et de génocide, comme certains d’entre eux le sont.
Tout cela de façon à cacher et à justifier leur propre échec à simplement protester quand six millions de Juifs furent conduits au massacre d’Auschwitz et de Dachau, pour effacer la conscience morale que les Juifs leur rappellent, et ils ont trouvé un bâton.
Rien ne pouvait être plus gratifiant pour eux que de trouver les Juifs en lutte avec un autre peuple (complètement terrorisé par ses propres dirigeants) contre qui les Juifs, malgré leurs vœux les plus chers, doivent se défendre pour survivre. Avec grande satisfaction, le monde permet et initie la réécriture de l’histoire pour alimenter la rage d’un autre peuple contre les Juifs.
Cela malgré le fait que les nations comprennent très bien que la paix entre les parties pourrait être intervenues depuis longtemps, si seulement les Juifs avaient disposé d’une chance équitable. Au lieu de cela, ils ont sauté avec joie dans le train de la haine pour justifier leur jalousie des juifs et leur incompétence à prendre en charge leurs propres problèmes moraux.
Quand les juifs observent le jeu bizarre qui se tient à La Haye, ils ne peuvent que sourire alors que ce jeu artificiel prouve une fois encore combien le monde admet paradoxalement le caractère unique des Juifs. C’est leur besoin de miner les Juifs qui les fait en réalité les élever.
L’étude de l’histoire de l’Europe au cours des siècles passés nous enseigne une leçon uniforme : que les nations qui ont reçu et d’une certaine manière ont traité avec justice et clémence les Juifs ont prospéré, et que les nations qui les ont torturés et opprimés ont tracé eux-mêmes leur propre fléau."
@simazou
Les ennemis jurés du sionazisme ont fait leurs débuts sur la scène internationale en août 2001. Au cours des forums qui ont précédé la Conférence mondiale des Nations Unies contre le Racisme à Durban, en Afrique du Sud, l’ordre des avocats arabes a fait circuler des bandes dessinées ou l’on pouvait voir des soldats israéliens aux dents de vampires avec des drapeaux nazis claquant au dessus de leurs casques. Un de ces soldats montait la garde devant la porte condamnée d’un bureau palestinien. Les planches qui condamnaient la porte formaient une croix gammée.
Un autre tract pro palestinien superposait la croix gammée et l’étoile de David. Le poster le plus malveillant qui circulait à Durban montrait Hitler méditant : « Et si j’avais gagné ? ». Sous le titre « Bonnes Choses », ce poster faisait dire au Führer : « II n’y aurait PAS d’Israël et PAS de sang palestinien répandu. A vous d’imaginer le reste. » Comment, toutefois, prétendre combattre le nazisme en faisant cause commune avec Hitler ? A vous d’imaginer la réponse.
Je suis révoltée par le fait que ces tacticiens trouvent en Hitler d’autres sources d’inspiration. Ce n’est pas un hasard si, dans ces bandes dessinées qui circulaient à Durban, les soldats israéliens ont les dents sanglantes. Trop d’intellectuels, de journalistes et d’hommes politiques arabes et musulmans racontent à leur public que les Juifs sont des nazis parce qu’ils siphonnent le sang des enfants non juifs pour leurs cérémonies religieuses. Connue sous le nom de diffamation du sang, cette fiction était une des calomnies préférées contre les Juifs, propagée dans la publication nazie Der Stürmer. Par ce biais aussi, des calomniateurs d’Israël couchent avec Hitler. Ils copient les nazis afin de s’opposer à ce qu’ils appellent le nazisme.
Je ne comprends vraiment pas. Et leur absence de logique est tolérée aux échelons les plus élevés de la diplomatie. Un ministre de la Défense syrien publie des livres et produit un film dans lesquels il qualifie les Juifs de vampires. Pas en un sens métaphorique, figurez-vous ; des vampires, au sens littéral. Toutefois, loin d’avoir à s’ en expliquer à la Conférence mondiale des Nations unies contre le Racisme, la Syrie siège à la commission des droits de I’homme. Cela en plus du prestige acquis avec sa nomination au Conseil de Sécurité des Nations unies. Prêt pour le coup de grâce ?
Israël a été le seul pays au monde critiqué dans les documents officiels de la Conférence des Nations unies contre le Racisme. Pourquoi un décrochage moral aussi renversant ? Quelqu’un peut-il m’expliquer ? En fin de compte, je suppose que cela tient à la façon dont vous définissez le sionisme.
Pour ses défenseurs, le sionisme représente le retour dans sa patrie d’un peuple historiquement persécuté et démographiquement déclinant. Mais pour ses adversaires, le sionisme est un racisme - une idéologie fomentée par de riches Juifs d’Europe qui ont investi sur l’idée que le « peuple élu » de Dieu pouvait voler la propriété d’autrui et la peupler grâce à la discriminatoire Loi du Retour. La loi s’applique à ceux qui partagent un trait exclusif : l’ascendance juive. Tout connue le Troisième Reich avait vanté la pureté de la race aryenne, Israël n’existe que pour entretenir le privilège biologique des Juifs.
Essayons de comprendre ce qu’il en est. David Matas, le célèbre avocat international des droits de l’homme, trouve qu’il est bizarre de rapprocher le sionisme et le racisme. « Les Juifs sont de toutes les couleurs, rappelle-t-il. Il y a des Juifs - les Falashas - qui, grâce à la Loi du Retour, ont pu être transportés d’Ethiopie en Israël. » (note personnelle : ce qui leur a sauvé la vie !… car leur communauté en Ethiopie était menacée d’extinction par les persécutions qu’ils subissaient.) Ce qui me fait brusquement penser que si les militants pro palestiniens se souciaient d’être précis, leurs bandes dessinées diaboliseraient des soldats israéliens noirs. Pourquoi les méchants seraient-ils toujours les Blancs ? Ma question ramène à celle, plus importante, posée par Matas : la Loi du Retour qui inclut toutes les races peut-elle être légitimement qualifiée de « raciste » ? Bonne question. (…)
Sur la question de la citoyenneté, Israël opère une discrimination. De la même façon que le fait une politique de discrimination positive, Israël donne l’avantage à une minorité qui a connu historiquement l’injustice. En ce sens, l’Etat juif est un régime de discrimination positive. Les libéraux devraient adorer ça.
Est-ce que la discrimination positive des Israéliens en fait des nazis ? Soyons sérieux. (…) Israël est un des rares pays qui ait accueilli, puis donné la citoyenneté aux boat people du Vietnam qui demandaient l’asile politique à la fin des années 70. Je n’ai même pas à me demander ce qu’a fait la Syrie dans ce domaine.
Venons-en maintenant à la preuve ultime concernant les accusations ridicules qui voudraient faire d’Israël un bunker hitlérien de la haine : c’est le seul pays du Moyen-Orient vers lequel les Chrétiens arabes émigrent volontairement. Ils y prospèrent, ils sont plus nombreux et plus diplômés dans les universités que les citoyens arabes d’Israël, et ils sont même globalement en meilleure santé que les Juifs. (…) Israël apporte, je trouve, plus de compassion dans la « colonisation » que ses adversaires n’en ont jamais apportée à la « libération ». L’Etat juif négocie les tensions ouvertement. C’est la matière même d’une démocratie authentique. Peut-on observer une démocratie sensée dans n’importe quel Etat islamique d’aujourd’hui ? ”
Irshad Manji : “MUSULMANE MAIS LIBRE “, Pages 174 à 183.
L’édition originale de son livre « The Trouble With Islam » est traduite en français sous « Musulmane mais libre » Essai (poche). Paru en 03/2006.
@OMAR
Musulmane mais libre par Irshad Manji
Dans la veine de la démystification de la question sioniste, dans son livre “Musulmane mais libre”, la journaliste d’origine indienne et de nationalité canadienne Irshad Manji, musulmane de religion, (entre de nombreuses autres questions passionnantes abordées) témoigne sur quelques pages du séjour qu’elle a effectué en Israël, et y démonte dans une analyse saisissante la propagande anti-sioniste en l’opposant tout simplement à la réalité israélienne, loin des fantasmes. Pages 174 à 183.
” (…) pourquoi percevons-nous, de façon croissante en Occident, Israël comme la vipère ? Ceux qui militent en faveur de la Palestine font grimper la teneur émotionnelle de leurs arguments. Peu désireux d’exorciser les petits démons de la conscience palestinienne, ils sont obligés de concocter des monstres toujours plus actifs autour d’elle. Voyez simplement le succès de la campagne qui a consisté à comparer Israël à l’Afrique du Sud de l’apartheid.
Avant mon passage à Ramallah, je cherchais des informations sur Promises, un documentaire nommé aux Oscars qui montre la vie des enfants arabes et juifs à Jérusalem. Plongés dans une rhétorique de l’affrontement, certains enfants changent néanmoins d’attitude après s’être rencontrés. Un partisan de la Palestine ne pouvait pas supporter une telle exhibition d’affection - ou le fait que deux des trois réalisateurs du film soient des Juifs américains. « Propagande de Sionistes de la deuxième génération, fulminait-il sur arabica.com. Si un documentaire avait été produit en Afrique du Sud pour mesurer l’intensité des sentiments entre Noirs et Blancs pendant la période de l’apartheid, peu de gens auraient décrit les mots de colère des Noirs contre les Blancs comme le signe d’un racisme noir. »
Comme vous le savez, à Ramallah, j’avais de nouveau entendu parler de l’Afrique du Sud. A mon retour à Toronto, j’ai appris qu’un groupe de soutien à la Palestine finançait un universitaire d’Afrique du Sud qui faisait savoir sur les campus des universités d’Amérique du Nord que Israël pratique l’apartheid. Au cours d’une conférence à l’université de Toronto - au Reichmann Family Lecture Hall - l’universitaire en question a fait un parallèle entre l’époque de l’apartheid et l’interdiction des mariages mixtes en Israël. (En réalité) Des couples mixtes, mariés ou non, peuvent vivre ensemble en Israël. C’est le mariage, en tant que cérémonie religieuse, qui ne peut avoir lieu dans le pays. Ce qu’il n’a pas mentionné, comme je l’ai découvert par la suite, c’est qu’un parlementaire juif avait récemment déposé une proposition de loi visant à introduire les mariages civils - et que les législateurs musulmans s’étaient alliés aux Juifs orthodoxes et ultra orthodoxes pour rejeter la proposition.
Dans un Etat où règne l’apartheid, des députés arabes musulmans auraient-ils eu un droit de veto sur quoi que ce soit ? Avec 20 % seulement de la population, des Arabes seraient-ils éligibles pour un poste électif quelconque, s’ils étaient écrasés sous l’apartheid ? Est-ce qu’un régime d’apartheid accorderait le droit de vote aux femmes et aux pauvres dans les élections locales, ce que Israël a fait pour la première fois dans l’histoire en faveur des Arabes palestiniens ? Est-ce que la vaste majorité des citoyens israéliens arabes partíciperaient aux élections nationales, comme ils l’ont régulièrement fait ? Est-ce qu’un régime d’apartheid tolérerait plusieurs partis politiques arabes, comme le fait Israël ? Est-ce que le pouvoir judiciaire serait libre de toute interférence politique ? Aux élections d’avril 2003, deux partis politiques arabes furent disqualifiés pour avoir expressément soutenu le terrorisme contre l’Etat juif. La Cour suprême d’Israël a annulé la disqualification dans les deux cas.
Est-ce qu’un régime d’apartheid accorderait son meilleur prix littéraire a un Arabe ? Israël a honoré Emile Habibi en 1986, avant qu’une Intifada ait pu laisser penser que c’était une ruse politique. Est-ce qu’un régime d’apartheid encouragerait des écoliers qui parlent l’hébreu à apprendre l’arabe ? Est-ce que les panneaux indicateurs seraient dans les deux langues dans tout le pays ? Même le Canada, si fier de son bilinguisme, n’y est pas parvenu.
Est-ce qu’un régime d’apartheid abriterait des universités où Arabes et Juifs peuvent se rencontrer comme bon leur semble, ou des immeubles dans lesquels ils vivent côte à côte ? Est-ce qu’un régime d’apartheid accorderait des protections et des avantages sociaux à des Palestiniens qui vivent en dehors d’Israël mais travaillent à l’intérieur de ses frontières ? Est-ce que des organisations humanitaires pourraient travailler en toute liberté dans un régime d’apartheid ? Elles le peuvent en Israël. En fait, chaque année, le Premier ministre répond sous serment au rapport fait par le plus important organisme des droits de I’homme en Israël.
Par-dessus tout, dans un régime d’apartheid, les médias pourraient-ils discuter de la justesse morale de la politique du pays ? Est-ce qu’un journal hébreu, dans un régime d’apartheid, publierait l’article d’un Israélien arabe se demandant pourquoi « l’aventure sioniste a été un échec total » ? Publierait-il cet article le jour de l’indépendance d’Israël ?
Est-ce qu’un régime d’apartheid garantirait l’existence de la presse arabe la plus libre du Moyen-Orient, si libre qu’elle peut faire un usage abusif de ses libertés et perdurer ? Jusqu’a ce jour, Al-Quds, le quotidien de Jérusalem-Est, ne s’est pas rétracté en ce qui concerne une lettre antiisraëlienne, soi-disant écrite par Nelson Mandela, mais dont il est prouvé qu’elle a été écrite par un Arabe qui vit en Hollande. Même l’éminence grise du nationalisme palestinien, Edward Saïd, déclare sans ambiguïté que « Israël n’est pas l’Afrique du Sud… ». Comment le contraire serait-il possible, alors qu’un éditeur israélien a traduit en hébreu l’œuvre de Saïd, L’Orientalisme ? le conclurai ce point sur une question que Saïd lui-même adresse aux Arabes : « Pourquoi ne pas nous battre plus intensément pour la liberté des opinions dans nos propres sociétés, une liberté, inutile de le dire, qui n’existe presque pas ? » .
Je ne suis pas d’accord - il est utile de dire à pas mal de gens que les « libertés » arabes ne sont en rien comparables à celles qui existent en Israël. Les gens à qui il faut le rappeler sont ceux qui, aujourd’hui, poussent la comparaison avec l’Afrique du Sud un degré plus haut - en traitant Israël de régime nazi. Selon eux, les Sionistes commettent des crimes de pure haine raciale, cauchemar totalitaire qu’ils désignent du terme « sionazisme ».
Suite...
@OMAR
Je te fais remarquer que les amérindiens sont tous sionistes, et certains font leurs Bar-Mitvah. D’autres part tu n’arrêtes pas d’insulter tous ceux qui te contredisent, alors que toi même tu es une superbe merde avec diplôme certifié Hallal.
@QAmonBra
Vous avez ce qu’on appelle une diarrhée mentale, votre cerveau s’est liquéfié et votre crane s’est aplati et vous a écrasé les yeux et malheureusement vous ne voyez presque plus !!!!
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