Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
---|---|---|---|---|
L'inscription | 0 | 202 | 0 | |
1 mois | 0 | 0 | 0 | |
5 jours | 0 | 0 | 0 |
Une irrationnelle folie mondiale court sur tous les hémisphères. Irrationnelle car aucune des accusations contre Israël n’est fondée. Il suffit d’un œil objectif et d’une connaissance des faits et de l’histoire pour comprendre que rien de ce qui est reproché à Israël n’est fondé.
La solution finale de la question juive, la destruction d’Israël est devenu le nouvel objectif. La réalisation de cet objectif constitue la « solution » de la nouvelle « question juive », résultat de l’islamisation du discours antisioniste. La haine totale d’Israël fait désormais partie du paysage idéologique mondial. Elle constitue un puissant mode de délégitimation de l’Etat juif et prépare les esprits à accepter sa destruction par tous les moyens.
L’antisémitisme n’est pas une opinion mais la volonté d’exterminer les Juifs. Avant-hier le bûcher, hier la chambre à gaz et le crématoire de masse, aujourd’hui l’étouffement d’Israël par le boycott et le soutien à toute forme d’antisionisme et la persécution soft des Juifs en diaspora. Soft qui progresse vers le dur ! L’objectif n’a pas varié.
La cause palestinienne cristallise aujourd’hui la voix des démunis, des miséreux, des délaissés, des sans espoirs mais aussi des frustrés et des victimes du libéralisme économique et de la mondialisation. On retrouve les mêmes peurs et craintes que celles ressenties pendant la crise des années 30 et l’on cherche des responsables, les mêmes responsables : les juifs.
Que reproche-t’on exactement aux juifs ? Leur réussite ? Est-ce un crime de vouloir s’enrichir, d’étudier, de travailler ? Est-ce peut être leur solidarité ? Peut-on reprocher à un peuple d’être solidaire ? Une solidarité d’autant plus justifiée par une histoire jonchée de souffrance, de pogroms et d’exterminations. Autre reproche que l’on retrouve dans de nombreux médias : le lobby juif. Le lobby juif existe certainement et regroupe des personnes influentes de confession juive pouvant influer sur certaines orientations économiques, financières ou politiques. Là encore, peut-on reprocher à une communauté de défendre ses intérêts ?
L’histoire nous apprend que les pays dans lesquels les juifs ont été opprimés, spoliés ou chassés ont tracé leur propre décadence, à l’inverse, ceux dans lesquels ils ont été traités avec tolérance et égalité ont vu leur économie et leur culture prospérer.
Notre pays a été construit dans la souffrance et la douleur, et on ne s’est jamais plaint, la vie est plus intéressante que la mort, nous devons cesser d’être des victimes passives.
Notre indescriptible souffrance nous poursuit, nous n’exhibons pas nos morts, nous portons notre deuil en silence.
Nous sommes comme des naufragés voguant vers les ténèbres sur un radeau, pas de terre en vue, et si terre en vue, elle est hostile, mieux vaut repartir vers le large vers l’infini, nous avons toujours bon espoir de pouvoir toucher la terre un jour, et de préférence la notre.
Mieux vaut souffrir de ne pas être aimé que disparaître sous les applaudissements de ses ennemis a dit Golda Meir.
Le Judaïsme n’est pas une religion, n’est pas une confession individuelle ; il ne se réduit pas non plus à une nationalité. Il est une vision de l’homme et de l’histoire qui transcende la dimension politique, nécessaire et insuffisante et la dimension religieuse qui n’est souvent qu’une fuite et un refuge contre l’angoissante responsabilité de l’homme devant l’histoire. Le Juif n’a jamais cessé de chercher l’étincelle de l’espérance, même dans les conjonctures dans lesquelles les autres ne discernaient que du désespoir, il laisse un grand vide en refermant la porte de sa vie.
Parce qu’un individu en bonne santé, voyant que moins de huit millions d’individus, extraits en lambeaux de la plus extraordinaire tentative d’avilissement de l’être humain, jamais tentée, aient pu en soixante ans se hisser dans le peloton de tête des nations les mieux placées, et qui ne se pose pas de questions, mais continue d’alimenter sa haine anti juive est d’abord un imbécile.
Je vous réfère ce petit texte du livre « pourquoi je suis juif » d’Edmond Fleg. Toi qui n’as jamais eu que des ennemis, toi qui n’as jamais rencontré sur cette terre que le regard de la méfiance, de la jalousie ou de la haine. Oh combien il est juste : « Vois-le traqué sur toute la terre, toujours prêt de mourir, et trouvant toujours quelque abri providentiel qui le soustrait à la mort. Vois-le portant sa vérité, et, parce qu’il veut la garder pure, la laisser se répandre sur le monde en flammes de lumière, où s’allument pour lui des bûchers. Et dis-moi si, dans cette histoire unique, tu ne sens pas l’éternelle présence d’une pensée et d’une volonté qui ont dicté à ce peuple sa tâche, qui en ont rendu possible l’accomplissement, en l’éprouvant par la souffrance, en le sauvant dans les épreuves, en le guidant pas à pas, de son passé douloureux à son triomphant avenir. Pour moi, qui ai si longtemps cherché la preuve de l’existence de Dieu, je l’ai trouvée dans l’existence d’Israël. Le Judaïsme est une religion d’éthique d’actes et non de croyance ».
Encore un texte étonnant de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) : « Mais un spectacle étonnant et vraiment unique est de voir un peuple expatrié n’ayant plus ni lieu ni terre depuis près de deux mille ans, un peuple altéré, chargé, mêlé d’étrangers depuis plus de temps encore, n’ayant plus peut-être un seul rejeton des premières races, un peuple épars, dispersé sur la terre, asservi, persécuté, méprisé de toutes les nations, conserver pourtant ses coutumes, ses lois, ses mœurs, son amour patriotique et sa première union sociale quand tous les liens en paraissent rompus. Les Juifs nous donnent cet étonnant spectacle, les lois de Solon, de Numa, de Lycurgue sont mortes, celles de Moïse bien plus antiques vivent toujours. Athènes, Sparte, Rome ont péri et n’ont plus laissé d’enfants sur la terre. Sion détruite n’a pas perdu les siens, ils se conservent, ils se multiplient, s’étendent par tout le monde et se reconnaissent toujours, ils se mêlent chez tous les peuples et ne s’y confondent jamais ; ils n’ont plus de chefs et sont toujours un peuple, ils n’ont plus de patrie et sont toujours citoyens »
Winston Churchill en 1920, a écrit : « Nous devons aux Juifs, un système d’éthique qui, même s’il était entièrement séparé du surnaturel, serait incomparablement le bien le plus précieux de l’humanité, valant en fait le fruit de la sagesse et de l’expérience réunies. »
Mark Twain a écrit : « le Juif s’est battu courageusement dans ce monde, à toutes les époques ; et il s’est battu les mains liées derrière le dos ».
Israël est un pays qui, en six décennies est passé de l’aridité du désert à l’émergence de champs fertiles, des villes modernes, d’entreprises innovantes, et Israël a fait cela par la simple créativité humaine. Israël était un pays socialiste : c’est maintenant un pays capitaliste cité en exemple dans les écoles de gestion des affaires les plus performantes. Israël est une démocratie, un État de droit, un pays de liberté de parole et de liberté de culte
BYE, BYE L’ONU (discours d’adieu 22 avril 2018) 6 Iyar 5778 (1ère partie)
Aujourd’hui est un grand jour pour Israël et son peuple qui fête ses 70 ans, il faut dire que ça n’a pas été facile, mais je peux vous certifier que nous avons réussi au delà de toute espérance. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet de mon discours, je souhaite vous expliquer en quelques phrases ce qu’est le Talmud.
Le Talmud ne contient pas de secrets, mais il contient une manière de penser suite aux nombreux fantasmes associés au Talmud. Le Talmud est un texte concis, d’ou la complexité des mots, et celui qui ne connaît pas le sens des mots ne pourra atteindre sa plénitude, car le Talmud vit du questionnement !! Le Talmud vous ouvre des portes et vous trace des voies, mais il ne vous persuade pas de passer par ces portes ou d’emprunter ces voies, et il suscite en vous l’interrogation tout au plus. Souvent il y a deux réponses à la même question, cela veut dire qu’aucune n’est suffisante ni parfaite, donc il faut continuer à approfondir les causes de cette imperfection pour parvenir à cette vérité. Le Talmud est le réceptacle de millénaires de sagesse juive et c’est en lui que s’exprime la loi orale. Extérieurement, le Talmud se présente sous l’aspect d’un traité juridique. Chez les Juifs, même les simples discussions sont une source d’inspiration et surtout d’enseignement.
Parce que ce qui unit les Juifs, ce qui les caractérise en tant que nation, c’est leur foi : « Nous nous reconnaissons comme nation à travers notre foi » ; « notre foi est la seule chose qui nous ait préservés ». C’est pourquoi la tradition juive est « sacrée ».
Au regard du patrimoine juif, le Talmud, la Bible, la Cabale, et les écrits de la philosophie juive, sont l’universalité du message juif et de l’urgence pour les générations à venir de ne jamais s’éloigner des préceptes qui font la force et la pérennité du peuple juif, qui conduisent doucement vers le message juif : l’humanisme. Le judaïsme a une mémoire ancestrale, il n’y a pas de doutes, car on ne l’apprend pas, mais on se la rappelle. L’exclusion a provoqué chez les juifs le travail intellectuel, on peut tout prohiber, mais non ce que vous pensez. Ils manipulent les émotions et non la raison.
Dans chacune de ces histoires bibliques, les Juifs étaient une minorité dans un autre pays. Il ne s’agit pas là d’une simple coïncidence, car celui qui est minoritaire dans un pays, quel qu’il soit, est par définition plus faible et plus vulnérable que les membres de la majorité, et risque donc davantage de voir colporter sur son compte des mensonges.
Le fait que l’Église parle de la Torah comme Ancien Testament et que les Écritures chrétiennes comme le Nouveau Testament un siècle plus tard, est un coup de Pub : car que dit la publicité, l’ancien est remplacé par le nouveau qui a une connotation de fraîcheur, de modernité, de jeunesse et de dynamisme. Et pour cela il faut dénigrer l’ancien par tous les moyens pour que le nouveau s’installe dans la tête du peuple, quitte à se contredire.
Dans les plus sombres jours de l’Exil certains penseurs juifs ont pu trouver le réconfort dans l’idée qu’ils étaient supérieurs à leurs voisins, cette supériorité se traduisait en termes spirituels et non ethniques ou physiques. Le Juif n’a jamais cherché à dominer, mais à enseigner, non pas par des méthodes coercitives, mais par l’exemple de leur vie nationale.
Vous découvrirez que personne n’a jamais, jamais, agi entièrement pour les autres. Tout acte est dirigé vers soi, tout service ne sert que soi, tout amour n’aime que soi.
Le désespoir est, à mes yeux, la rançon de la lucidité. Regardez la vie droit dans les yeux : vous n’y verrez que du désespoir.
J’ai compris il y a longtemps qu’il est plus facile de vivre avec une mauvaise réputation qu’avec une mauvaise conscience.
Devoir, propriété, fidélité, altruisme, gentillesse… Ce ne sont là que des somnifères qui nous plongent dans un doux et profond sommeil, si profond qu’on ne se réveille qu’à la fin de sa vie – pour peu que l’on se réveille jamais – qui plus est pour se rendre compte qu’on n’a jamais vraiment vécu.
La création de l’Etat d’Israël a été approuvé par cette même assemblée, afin de rassembler les juifs du monde entier pour finalement mieux les exterminer, car personne n’a donné la moindre chance de survie, entouré de plusieurs pays arabes hostiles (300 millions) contre quelques centaines de milliers de juifs, mais contre toute attente nous avons résisté et même gagné. La raison d’être d’Israël est de donner à tous les Juifs du monde l’Etat nation dont ils avaient été dépossédés depuis deux millénaires. Le Talmud dit que le désespoir n’existe pas. Le peuple juif a fondé un État sur la base d’un consensus et de traités internationaux, ce dont ne peuvent se prévaloir que très peu d’États.
A la création d’Israël, le monde entier était persuadé qu’il allait disparaître, et qu’il fallait se préparer à recueillir les survivants s’il en restait ! C’est une vieille histoire, qui à chaque siècle recommence, et la flamme de la vie brûlera toujours en nous, car cela dure depuis 2000 ans. Qu’est ce que vous allez encore nous trouver pour essayer de nous détruire ? Vous n’avez pas encore compris que vos dés sont pipés et que nous connaissons vos manigances et vos alliances incestueuses et schizophréniques, et qu’elles vous mèneront finalement à votre perte. Il n’y a pas de doute, vous avez un corps antisioniste et le sang antisémite !!
Nous étions un peuple sans espoir. Nous avons été saigné à blanc, non pas une fois, ni deux fois, mais de siècle en siècle, encore et encore. Nous avons perdu un tiers de notre peuple en une génération . Un million et demi de ses membres étaient des enfants, les nôtres. Personne n’est venu à notre secours. Nous avons souffert et sommes morts seuls. Nous ne pouvions rien faire. Mais maintenant, nous pouvons. Maintenant nous pouvons nous défendre nous-mêmes. » Combien de siècles croyez vous qu’un être humain puisse tenir, résister et subir en encaissant gifle sur gifle sans jamais se révolter ? Et puis vous êtes là, pour nous le rappeler qu’on ne doit jamais compter sur personne que sur nous même !!
Descartes a dit : « Je pense, donc je suis », et la logique juive dit : « Je suis, donc Je pense ».
Le peuple Juif devrait recevoir chaque année un Prix Nobel d’endurance et de résistance.
Un si petit peuple mais qui focalise tant de haine depuis plus de 2000 ans. Dans l’histoire de l’humanité, tant de peuples, de nations ont voulu détruire ce peuple, le réduire à l’esclavage, lui faire abdiquer sa foi. L’histoire de ce petit peuple est emblématique de ce que l’humanité est capable d’inventer dans sa folie meurtrière. Pensez donc 7 millions d’âmes au regard de la population de la planète estimée à 6,793 milliards. 0,25 % de la population mondiale…
Depuis plus de 2000 ans, la folie irrationnelle de l’esprit humain se focalise sur le peuple juif pour tenter de le faire disparaître. Cela relève de la psychanalyse de groupe. Le peuple juif est devenu le « bouc émissaire » par essence, coupable de tous les maux, de toutes les misères, de toutes les calamités qui s’abattent sur le reste de l’humanité.
BYE, BYE L’ONU (discours d’adieu 22 avril 2018) 6 Iyar 5778 (1ère partie)
Aujourd’hui est un grand jour pour Israël et son peuple qui fête ses 70 ans, il faut dire que ça n’a pas été facile, mais je peux vous certifier que nous avons réussi au delà de toute espérance. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet de mon discours, je souhaite vous expliquer en quelques phrases ce qu’est le Talmud.
Le Talmud ne contient pas de secrets, mais il contient une manière de penser suite aux nombreux fantasmes associés au Talmud. Le Talmud est un texte concis, d’ou la complexité des mots, et celui qui ne connaît pas le sens des mots ne pourra atteindre sa plénitude, car le Talmud vit du questionnement !! Le Talmud vous ouvre des portes et vous trace des voies, mais il ne vous persuade pas de passer par ces portes ou d’emprunter ces voies, et il suscite en vous l’interrogation tout au plus. Souvent il y a deux réponses à la même question, cela veut dire qu’aucune n’est suffisante ni parfaite, donc il faut continuer à approfondir les causes de cette imperfection pour parvenir à cette vérité. Le Talmud est le réceptacle de millénaires de sagesse juive et c’est en lui que s’exprime la loi orale. Extérieurement, le Talmud se présente sous l’aspect d’un traité juridique. Chez les Juifs, même les simples discussions sont une source d’inspiration et surtout d’enseignement.
Parce que ce qui unit les Juifs, ce qui les caractérise en tant que nation, c’est leur foi : « Nous nous reconnaissons comme nation à travers notre foi » ; « notre foi est la seule chose qui nous ait préservés ». C’est pourquoi la tradition juive est « sacrée ».
Au regard du patrimoine juif, le Talmud, la Bible, la Cabale, et les écrits de la philosophie juive, sont l’universalité du message juif et de l’urgence pour les générations à venir de ne jamais s’éloigner des préceptes qui font la force et la pérennité du peuple juif, qui conduisent doucement vers le message juif : l’humanisme. Le judaïsme a une mémoire ancestrale, il n’y a pas de doutes, car on ne l’apprend pas, mais on se la rappelle. L’exclusion a provoqué chez les juifs le travail intellectuel, on peut tout prohiber, mais non ce que vous pensez. Ils manipulent les émotions et non la raison.
Dans chacune de ces histoires bibliques, les Juifs étaient une minorité dans un autre pays. Il ne s’agit pas là d’une simple coïncidence, car celui qui est minoritaire dans un pays, quel qu’il soit, est par définition plus faible et plus vulnérable que les membres de la majorité, et risque donc davantage de voir colporter sur son compte des mensonges.
Le fait que l’Église parle de la Torah comme Ancien Testament et que les Écritures chrétiennes comme le Nouveau Testament un siècle plus tard, est un coup de Pub : car que dit la publicité, l’ancien est remplacé par le nouveau qui a une connotation de fraîcheur, de modernité, de jeunesse et de dynamisme. Et pour cela il faut dénigrer l’ancien par tous les moyens pour que le nouveau s’installe dans la tête du peuple, quitte à se contredire.
Dans les plus sombres jours de l’Exil certains penseurs juifs ont pu trouver le réconfort dans l’idée qu’ils étaient supérieurs à leurs voisins, cette supériorité se traduisait en termes spirituels et non ethniques ou physiques. Le Juif n’a jamais cherché à dominer, mais à enseigner, non pas par des méthodes coercitives, mais par l’exemple de leur vie nationale.
Vous découvrirez que personne n’a jamais, jamais, agi entièrement pour les autres. Tout acte est dirigé vers soi, tout service ne sert que soi, tout amour n’aime que soi.
Le désespoir est, à mes yeux, la rançon de la lucidité. Regardez la vie droit dans les yeux : vous n’y verrez que du désespoir.
J’ai compris il y a longtemps qu’il est plus facile de vivre avec une mauvaise réputation qu’avec une mauvaise conscience.
Devoir, propriété, fidélité, altruisme, gentillesse… Ce ne sont là que des somnifères qui nous plongent dans un doux et profond sommeil, si profond qu’on ne se réveille qu’à la fin de sa vie – pour peu que l’on se réveille jamais – qui plus est pour se rendre compte qu’on n’a jamais vraiment vécu.
La création de l’Etat d’Israël a été approuvé par cette même assemblée, afin de rassembler les juifs du monde entier pour finalement mieux les exterminer, car personne n’a donné la moindre chance de survie, entouré de plusieurs pays arabes hostiles (300 millions) contre quelques centaines de milliers de juifs, mais contre toute attente nous avons résisté et même gagné. La raison d’être d’Israël est de donner à tous les Juifs du monde l’Etat nation dont ils avaient été dépossédés depuis deux millénaires. Le Talmud dit que le désespoir n’existe pas. Le peuple juif a fondé un État sur la base d’un consensus et de traités internationaux, ce dont ne peuvent se prévaloir que très peu d’États.
A la création d’Israël, le monde entier était persuadé qu’il allait disparaître, et qu’il fallait se préparer à recueillir les survivants s’il en restait ! C’est une vieille histoire, qui à chaque siècle recommence, et la flamme de la vie brûlera toujours en nous, car cela dure depuis 2000 ans. Qu’est ce que vous allez encore nous trouver pour essayer de nous détruire ? Vous n’avez pas encore compris que vos dés sont pipés et que nous connaissons vos manigances et vos alliances incestueuses et schizophréniques, et qu’elles vous mèneront finalement à votre perte. Il n’y a pas de doute, vous avez un corps antisioniste et le sang antisémite !!
Nous étions un peuple sans espoir. Nous avons été saigné à blanc, non pas une fois, ni deux fois, mais de siècle en siècle, encore et encore. Nous avons perdu un tiers de notre peuple en une génération . Un million et demi de ses membres étaient des enfants, les nôtres. Personne n’est venu à notre secours. Nous avons souffert et sommes morts seuls. Nous ne pouvions rien faire. Mais maintenant, nous pouvons. Maintenant nous pouvons nous défendre nous-mêmes. » Combien de siècles croyez vous qu’un être humain puisse tenir, résister et subir en encaissant gifle sur gifle sans jamais se révolter ? Et puis vous êtes là, pour nous le rappeler qu’on ne doit jamais compter sur personne que sur nous même !!
Descartes a dit : « Je pense, donc je suis », et la logique juive dit : « Je suis, donc Je pense ».
Le peuple Juif devrait recevoir chaque année un Prix Nobel d’endurance et de résistance.
Un si petit peuple mais qui focalise tant de haine depuis plus de 2000 ans. Dans l’histoire de l’humanité, tant de peuples, de nations ont voulu détruire ce peuple, le réduire à l’esclavage, lui faire abdiquer sa foi. L’histoire de ce petit peuple est emblématique de ce que l’humanité est capable d’inventer dans sa folie meurtrière. Pensez donc 7 millions d’âmes au regard de la population de la planète estimée à 6,793 milliards. 0,25 % de la population mondiale…
Depuis plus de 2000 ans, la folie irrationnelle de l’esprit humain se focalise sur le peuple juif pour tenter de le faire disparaître. Cela relève de la psychanalyse de groupe. Le peuple juif est devenu le « bouc émissaire » par essence, coupable de tous les maux, de toutes les misères, de toutes les calamités qui s’abattent sur le reste de l’humanité.
Les communistes ont fait plus de mort parmi leur peuple, que toutes les guerres réunies dans le monde. Fidel et Chavez, étaient millionnaires, ils se sont enrichi sur le dos de leur peuple qui vivait dans une misère totale et n’est pas près d’en sortir.
@Zolko
Israël est le pays le plus médiatisé du monde, deux fois plus de journalistes que sur toute l’Afrique. Le moindre événement qui s’y passe est immédiatement répercuté dans le monde entier en temps réel, alors qu’il y a tellement de « guerres oubliées » sauvages et meurtrières qui se déroulent à l’abri des caméras. Après avoir été exclu de l’histoire, le peuple d’Israël que l’on croyait fossilisé, demeure le point de focalisation de l’inconscient collectif de l’humanité. Tel un miroir, ce pays tant convoité, attire les regards du monde entier qui projette ainsi ses haines, ses angoisses et ses propres turpitudes dans l’espoir de les attribuer à l’Autre, cet Autre qui demeure toujours, le Juif, devenu aujourd’hui Israélien !. Mais ce petit pays porte en lui tous les espoirs d’un monde angoissé, traumatisé et déprimé.
L’antisionisme est devenu une mode, un business, une politique voire une religion dans le monde. Israël est un bastion d’inspiration, de curiosité, de diligence et d’excellence.
L’homme, lui, s’est simplement avéré être un outil : un Juif, lâche, instrumentalisé par des non-Juifs, avides de repentances israéliennes.
Chaque instant le confirme : l’antisionisme et l’anti-israélisme forment un consensus planétaire. Les télévisions, les radios, les journaux s’en font l’écho permanent. Ils semblent aussi naturels que l’air que l’on respire. La diabolisation sans nuances d’Israël est le pain quotidien des médias. Qu’Israël soit le Mal semble aller de soi.
Le leitmotiv : une rencontre entre un soldat de Tsahal et un Palestinien en général a toujours un des épilogues suivants : un assassinat (un massacre ou un martyre) ou une victoire héroïque. Le soldat fera de son mieux pour tuer ; le Palestinien fera tout pour lutter.
Un autre scénario, prêt à l’emploi, peu importe les faits, est lui beaucoup plus crédible, les soldats ont l’intention de tuer autant de personnes que possible.
Les médias européens s’acharnent à masquer la vérité. Il est vrai qu’ils sont aidés en cela par une certaine gauche israélienne sans tenir compte de l’intérêt primordial de leur propre pays.
Chez les ennemis d’Israël, la perversion caractéristique a fait fusionner la Shoah, le sionisme et Israël en un seul bloc de mal intégral, inacceptable dont il faut souhaiter la disparition.
La preuve : la fausse nouvelle du massacre de Jénine, qui ébranla l’opinion mondiale, permettant à tous les médias un déchaînement hystérique anti-israélien – avant que l’on ne découvre que ce massacre n’avait jamais eu lieu, pur mensonge palestinien. Ainsi contre la vérité, une part importante de l’opinion internationale accepte la tromperie selon laquelle les Palestiniens de la bande de Gaza seraient l’objet d’un génocide.
Le moyen de plus simple de rallier les foules est de lancer des paroles de haine contre Israël. ...
Depuis soixante ans, sans relâche, les médias du monde entier se focalisent sur ce conflit.
« L’antisionisme n’est pas l’antisémitisme », nous a-t-on répété sans cesse. Un tel slogan – repris d’ailleurs par des Juifs de gauche et d’extrême gauche – signifie en réalité, que l’antisémitisme peut se donner libre cours dès lors qu’il est drapé dans les plis du drapeau antisioniste.
L’effort de délégitimation fait valoir non pas qu’Israël se comporte mal ou qu’il devrait s’abstenir de telle ou telle activité, mais qu’il n’a pas le droit d’exister du tout et / ou que le peuple juif n’existe pas.
Le message du type de discours, qui commence par « Israël est un pays d’apartheid », passe par « Israël est un pays fasciste », « Israël est un pays nazi », « le sionisme a toujours eu des aspirations coloniales », est : Israël est si profondément diabolique que même l’assassinat de masse pouvait être justifié à son encontre.
Franchement, vous ne croyez pas que c’est TOO MUCH !! Les manifestants aujourd’hui dans le monde occidental se mobilisent pour les dictateurs, et contre les démocraties, c’est une réalité qu’il faut constater. Ecoeurant…..
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération