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simazou

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  • simazou 3 janvier 2017 14:09

    Bye bye l’ONU suite 6



    Le samedi 31 mars 1492, la reine Isabelle de Castille et son mari Ferdinand d’Aragon décident d’en finir. Forts de leur victoire sur le dernier royaume musulman de la péninsule, ils signent un édit par lequel ils laissent aux juifs d’Espagne jusqu’au 31 juillet pour se convertir ou quitter le pays. Ce qui a provoqué le massacre de plusieurs dizaines de milliers de Juifs, et l’exode de centaines de milliers en laissant tout leur bien. Avec le départ des Juifs, la descente en enfer de l’Espagne a commencé, et elle ne s’est jamais arrêtée !! 

    Avec la création de l’État d’Israël et sa réussite, n’a fait que multipliée cette haine. C’est le pays le plus antisémite d’Europe, bien qu’il n’y a que très peu de juifs dans le pays.

     

    Je termine avec la Suisse, voilà un pays qui se dit neutre, et où plusieurs dizaines de grandes entreprises Suisses et ont fait de bonnes affaires avec l’industrie allemande d’armement pendant la dernière guerre. Qui dit la Suisse dit Banques, où plusieurs milliards de dollars n’ont jamais été restitués à leurs héritiers, vu que les propriétaires de ses comptes ne sont plus revenus des camps de la mort.

    La Suisse, c’est également le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), organisation internationale humanitaire, créée en 1863 à Genève. Pourquoi le Comite international de la Croix-Rouge, n’a rien fait pour aider les victimes juives persécutées par les Nazis et pour informer le monde entier sur la Shoah, sur les conditions de survie dans les camps nazis d’internement et l’assassinat des juifs dans les camps nazis d’extermination ? Plus « la situation des juifs était désespérée, plus la Suisse durcissait sa politique a l’égard des Réfugiés Juifs ».

     

    Le 8 décembre 1949, est adoptée la nouvelle convention de Genève, mais l’entrée du Magen David Adom, organisation juive humanitaire est refusée. Encore une attitude discriminatoire a l’égard des juifs ? Le CICR a accueilli tardivement en 2006 le Maguen David Adom et l’a admis en son sein avec le Croissant-Rouge palestinien, et en refusant que l’étoile de David soit son troisième emblème encore une discrimination, une de plus.

    Aujourd’hui, il est prouvé, documents a l’appui, que certains membre du Comite étaient antisémites.

     

    Brecht disait : « Celui qui ne sait pas est un imbécile, mais celui qui sait et qui ne dit rien est un criminel. 

     

    L’Occident a en permanence démissionné de toutes ses valeurs au profit d’une tranquillité politique au service d’un hédonisme effréné, pour finir par cautionner la violence et les pires crimes. Cette attitude typique du posmodernisme est indéniablement le signe d’une démission.

    Les Européens, endormis par le confort de vie et abrutis par les discours angélisants de la gauche ont perdu la raison et l’instinct identitaire. Pour d’autres, la haine d’Israël sert commodément à évacuer leurs frustrations économiques, nationales ou personnelles. L’Europe est en phase de régression intellectuelle, parce que la vie scientifique suppose la liberté totale de critique et que cette liberté n’existe plus.

    « L’avenir de l’Europe est en train de ressembler de plus en plus à son passé ».

     

    Le pacifisme a, derrière lui, une histoire honteuse, allant de la non-opposition à Hitler aux amitiés particulières avec l’URSS. International, le Mouvement pour la paix, dans les années 1950, était actionné depuis Moscou. Il attaquait les Etats-Unis, vilipendait l’impérialisme, dépeçait le colonialisme, tout en protégeant le stalinisme, les camps, le goulag, l’exploitation éhontée des républiques sœurs, le totalitarisme. Du temps de la guerre froide déjà, les défilés pacifistes étaient des coups de boutoir de l’URSS contre le monde libre.

    Affirmant combattre l’impérialisme, le pacifisme (du moins dans sa forme occidentale) s’est généralement rangé aux côtés du pire – fascisme, nazisme, communisme -, se retrouvant, la plupart du temps, dans le camp des ennemis les plus résolus de la liberté. Le pacifisme s’est toujours couché devant les barbares.

    On sait à quel torrent de violence la faiblesse et la lâcheté des années trente ont conduit. Ce souvenir nous murmure que nous aurons la guerre à force de la redouter. Avec en prime le mépris de qui a perdu l’estime de soi. Georges Orwell avait dit, la dérive totalitaire d’une certaine gauche. Quand on vous dit universaliste : décodage = marxiste.

     

    Je terminerai par ce texte de Karl Popper : les totalitarismes du vingtième siècle sont tous nés de la tentative d’éliminer l’incertitude en politique. La violence utilisée par les totalitarismes du vingtième siècle constituait l’admission d’une faiblesse : s’il suffit de sortir de la grotte pour voir la lumière, pourquoi tuer les non-voyants ? J’ajouterai qu’ils sont bien représentés dans cette assemblée !!!!

     

    « La haine envers Israël », écrit Shepherd, car il faut bien parler de haine, doit être vue comme un symptôme : celui d’un dysfonctionnement global de l’âme, de l’esprit et de l’intelligence qui pourrait bien se révéler mortel et qui est, en réalité, « une maladie civilisationnelle  » : il s’y reflète et s’y précipite le pire et le plus suicidaire de la culture politique occidentale : déperdition des valeurs et de l’identité, pathologies idéologiques multiples et plus même définies, séquelles mal digérées de traumatismes historiques, relativisme généralisé, propension à l’apaisement et à la soumission devant ce qui vient nier ce qu’on est. Les hommes politiques européens, de gauche ou de droite, tiennent des discours qui représentent des facettes de la maladie et qui ne « proposent aucun remède pertinent », tant la maladie est avancée.

     

    « La transcendance juive renvoie à la racine même de l’idée de transcendance » d’où est née la civilisation occidentale. Les griefs des ennemis d’Israël apparaissent d’autant plus justifiés en Europe qu’ils sont formulés par des non Occidentaux qui prennent bien soin d’employer un vocabulaire où il est question de « colonisation », d’ « exploitation », d’ « impérialisme ».

    La guerre étant définie en Europe comme la pire des solutions, il est inadmissible aux yeux des Européens qu’Israël ose se battre ; et quand bien même Israël est agressé et mène des actions défensives, Israël est systématiquement dépeint comme l’agresseur, car des non Occidentaux, par définition, dans le schéma de pensée européen ne peuvent pas avoir tort.



  • simazou 3 janvier 2017 14:02

    Bye bye l’ONU suite 5


    Parmi les pays qui votent contre Israël à l’ONU quasi toutes les résolutions, nous trouvons quelques pays européens qui ont également été les collaborateurs des nazis pendant la deuxième guerre mondiale. Ne comptez pas sur l’Europe, sinon pour vous trahir. 

     

    La FRANCE, est un pays antisémite et raciste par excellence, la gauche, l’extrême gauche, la droite, l’extrême droite, les médias, les pseudos intellectuels, les bourgeois, chacun a une raison de haïr et détester les Juifs et Israël. D’ailleurs les premiers collabos des nazis étaient de gauche et de l’extrême gauche, vers la fin de la guerre ils sont devenus résistants et par la suite ministre ou président et même pseudo-rédacteurs de la déclaration universelle des Droits de l’homme !!! Les français sont des donneurs de leçons en puissance, et en plus les rois de la lâcheté. Le paradoxe français, d’un côté ils haïssent les arabes, et de l’autre côté ils sont leurs meilleurs amis par intérêt (la haine des juifs).  

    En 1967, de Gaulle a décrété l’embargo sur les armements commandés (et payés) par Israël, suivit d’une conférence de presse, où il a insultait le peuple Juif, avec cette phrase : « peuple d’élite sûre de lui même, arrogant et dominateur » était là pour éventuellement nous vexer et nous humilier, car il aurait préféré qu’Israël se laisse massacrer par les armées arabes, il n’est pas normal que les Juifs gagnent une guerre !!!!

    Pourquoi accepterions-nous une troisième guerre mondiale à cause de ces gens là ? disait Daniel Bernard (ambassadeur de France, après avoir qualifié Israël de « petit pays de merde », Londres, décembre 2001). Plusieurs diplomates anglais l’ont remis à sa place le soir même.

     

    L’ancien ministre français Huber Alles Védrine est connu pour sa co-responsabilité dans le génocide rwandais, et surtout pour son antisémitisme névrotique qu’il tient probablement de son père, secrétaire de Pétain, affirme « Les Juifs ont toujours éprouvé des difficultés à accepter le christianisme et l’islam en tant que religion postérieure à eux. Le christianisme a toujours eu des relations difficiles avec le judaïsme(…) et a considéré l’islam comme une imitation blasphématoire de la révélation. Le Coran en revanche perçoit positivement le judaïsme et le christianisme. Cette ordure a été le valet de plusieurs dictateurs arabes.

     

    N’oubliez pas les politiciens véreux, qui se risquent et font un voyage à Gaza comme d’autres naguère faisaient leurs voyages initiatiques à Moscou, à Cuba ou en Chine, pour rencontrer les dictateurs qui les fascinaient… La thèse est qu’une nouvelle religion, protégée par de nouveaux tribunaux d’Inquisition, règne au pays de Voltaire et de Beaumarchais, le rendant aveugle et incapable de penser scientifiquement son avenir.

    AFP (Agence France Presse) ou (Agence France Palestine), 90% des informations concernant Israël, sont fausses ou biaisées et reflètent la politique des gouvernements français depuis la création de l’État d’Israël. Au diable la neutralité, la morale, la déontologie pourvue qu’elle satisfasse ses clients arabo-musulmans.

     

    La BELGIQUE, prise de schizophrénie Flamingo-Wallonne développe bien d’autres syndromes inquiétants pour tenter d’évacuer sa crise de dissolution d’identité : ainsi, des bouffées d’antisionisme-antisémitisme virulent envahissent les tribunes des grands journaux, tels que la “Libre Belgique”, ‘‘Le Soir’’ et les chaires d’universités. Grâce à des politiciens véreux et des pseudo intellectuels ratés, impuissants, magouilleurs, démagogues, soudoyés, et surtout avides d’honneur, de gloire et notoriété éphémère, la Belgique est devenue la capitale mondiale de l’antisémitisme. Certains ont vidés les caisses dont ils avaient la garde, d’autres ont vidés la Belgique de la morale et de l’éthique, pour l’installer dans la liste des pays du tiers monde, et dans une islamisation galopante qui finira par avoir raison.

     

    Le quotidien de « référence » sur les ondes des chaînes de télévision belges : qu’Israël est un « Etat raciste, ségrégationniste et colonial » qui n’hésite pas instrumentaliser la mémoire des victimes de la Shoah pour couvrir les crimes de leurs enfants et petits-enfants en « Palestine occupée » et «  bâillonner les opposants à la politique d’expansion de l’Etat hébreu », un pays dont les soldats tuent par plaisir un enfant que couvrent les bras impuissants de son père à un carrefour de la bande de Gaza en 2001, un pays diabolique dont les soldats racistes violent (ou refusent de violer, c’est selon les humeurs du procureur du jour) les femmes palestiniennes !?

    Ils vous répondent qu’Israël, parce qu’il est la quintessence du mal et la figure la plus achevée de la cruauté et de la misère morale, trouble seul la respiration du monde. Avec cela je peux vous certifier que la Belgique est devenue la capitale du Tiers Monde. Visitez Bruxelles et verrez-vous même la déchéance de ce pays !!

     

    Le PORTUGAL, est le seul pays européen à avoir voté la résolution (3379) de l’Assemblée générale de l’ONU) assimilant le sionisme à une forme de racisme et de discrimination raciale en novembre 1975, et adopté par une écrasante majorité. Voilà un pays qui vit encore au moyen Âge, ne peut supporter la réussite d’un tout petit pays. S’ils croient qu’on a oublié l’Inquisition au Portugal (1492 à 1788) qui a instruit 40.000 procès depuis sa fondation. Plus de 30.000 se sont conclus par des condamnations et brûlés sur le bûcher et le reste converti de force. Toutes les résolutions condamnant Israël à l’ONU ont étaient votées par ce pays antisémite héréditaire. N’oublions pas que le Portugal a reçu en 10 siècles, 2 prix Nobel, un prix Nobel de Littérature par le nazi-antisémite José Saramago qui a été rejoindre son copain Arafat en enfer, et le deuxième prix Nobel en démagogie pathologique.  

     

    L’ESPAGNE : Au Moyen Age, les Juifs espagnols sont tolérés par plusieurs rois successifs et bien intégrés à la vie commerciale et intellectuelle. Cette réussite sociale leur vaut cependant la jalousie de la noblesse, du petit peuple et du clergé. Les prêches contre les « fausses doctrines juives » se multiplient et donnent lieu à des persécutions sanglantes. En 1391, les massacres font près de 50.000 victimes juives et au moins autant de baptisés de force.



  • simazou 3 janvier 2017 14:00

    Bye bye l’ONU suite 4


    Mais de quel droit les Européens, même Juifs, jugent-ils les qualités d’un pays souverain ?

    Ils sont grands et responsables, ils n’ont pas besoin de la tutelle morale de pays qui ont si longtemps maltraités les Juifs - et qui continuent d’ailleurs. « Un processus de déligitimation » ?

     

    La mémoire de la Shoah autorise la nazification d’Israël. Elle permet de fustiger la mémoire juive de la shoah comme opération d’accaparement égoïste d’un drame « universel » et d’accuser l’Israël souverain (le contraire d’une figure victimaire) d’avoir trahi cette morale victimaire et de tirer profit de la culpabilisation de l’Occident. La « mémoire de la Shoah » permet aussi aux nouveaux antisémites d’interdire aux Juifs de nommer leur antisémitisme de son nom, en prétendant que l’usage de ce terme et de la mémoire de la Shoah visent à imposer le silence aux « légitimes » critiques d’Israël. La question inquiétante qui se pose est celle de savoir quelle sera l’étape suivante de cette destruction symbolique, de cette vilification.

    L’Europe commémore la Shoah, car elle aime célébrer les Juifs morts, pour mieux accabler les vivants.


    L’objectif de ce discours mensonger est de mettre au ban de la vie internationale les Juifs, de détruire leur image, peut-être pour légitimer une violence de plus grande échelle à leur encontre dans un avenir indéterminé ? En règle générale, on déshumanise un ennemi avant de lui porter le coup fatal en toute « légitimité » (et les Palestiniens voudraient que ce soit aussi en toute « légalité » lorsqu’ils instrumentalisent le droit international et les tribunaux pour destituer Israël et le droit des Juifs qui le souhaitent d’être un peuple souverain sur la terre de leurs ancêtres).

     

    Messieurs, l’ONU est une organisation parasitaire et corrompue, qui entre nous, n’a jamais réglé aucun conflit, pire elle s’est tue sur des génocides et des massacres, sans que cela ne choque les grandes âmes dans les sphères des pseudos humanistes !!!!

    Cette assemblée me fait penser à un tribunal d’un pays totalitaire, où l’accusé en l’occurrence Israël est seul contre tous, et où les juges, les avocats de la défense et de l’accusation, le public et les médias sont de la même famille, et cette mascarade n’est là que comme spectacle, pour faire croire qu’il y a un semblant de justice !!!!

     

    Je ne vais rien vous apprendre en vous rappelant que près de 80% des résolutions de cette assemblée concerne Israël, et devinez qui est condamné Israël comme d’habitude, comment voulez qu’il en soit autrement, il n’y a qu’à voir qui sont les votants !!!

    Les pays arabes, soutenus par certains pays d’Afrique et d’Amérique latine, détiennent la majorité automatique à l’assemblée générale et peuvent ainsi faire passer toutes les résolutions qu’ils souhaitent pour avancer leur agenda politique. Comme la résolution 3379 votée en 1975 et finalement abrogée, qui compare le sionisme au racisme. Leur domination s’est également vérifiée lors de la conférence mondiale contre le racisme à Durban en 2001, qui est devenue la conférence raciste et antisémite de l’ONU sur le racisme. Cette conférence passée à la moulinette Orwellienne de l’ONU, est encore une fois programmée non pour mettre fin au racisme, mais pour attiser la haine. Censée dénoncer le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et les autres formes d’intolérance, la rencontre organisée par l’ONU s’est finalement transformée en une véritable manifestation anti-israélienne et antisémite.

    La mainmise des Etats voyous sur les instances de l’ONU n’est pas un phénomène nouveau. Durant la Guerre froide, les Etats de la sphère soviétique et les Etats soi-disant « non-alignés » ont régulièrement obtenu la majorité à l’Assemblée Générale de l’ONU. Aujourd’hui, c’est notamment l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) qui parvient à rassembler les voix.

    L’Alliance des Civilisations, est un organe de l’Onu conçu au départ pour établir des liens entre l’Islam et l’Occident. Il faut dire qu’il a été créé à l’initiative du chef du gouvernement espagnol, l’antisémite José Luis Rodriguez Zapatero et avait notamment pour partenaires l’ancien président iranien Mohammad Khatami et le Sud-Africain Desmond Tutu, Prix Nobel de la Paix. Pour tout résumé 3 ordures de première classe. Il faut croire que tout le monde a peur de l’Islam !!

     

    Israël au-dessus des lois

    C’est une expression qui revient constamment dans la bouche de nos adversaires : Israël se croit au-dessus des lois, mais personne ne précise jamais de quelles lois il s’agit. Pourtant, quand il est question de reprocher à Israël une action précise, la violation présumée du droit porte un nom. Nous savons bien que, quand il y a deux morts palestiniens, nos adversaires appellent cela un génocide. Or, comme cette expression, Israël se croit au-dessus des lois ou son équivalent : Israël viole le droit international, maintes et maintes fois prononcées durant les débats au Conseil des Droits Humains et dans les médias, n’indiquent pas de quelle violation précise il s’agit, il faut donc interpréter ce que nos adversaires entendent par loi ou droit international. Israël a été condamné un nombre incalculable de fois par les résolutions de la Commission des Droits Humains, qui a fonctionné jusqu’en 2006.

    Il n’en reste pas moins que l’accumulation des résolutions, leur discours répétitif finissent, selon le principe de Goebbels, par avoir l’apparence du vrai et polluent, à travers les médias, toute la culture occidentale. C’est SCIEMMENT l’effet recherché.

     

    Encore un exemple, chaque session du conseil des droits de l’homme à Genève, se finalise par une condamnation d’Israël, même si Israël n’est pas à l’ordre du jour.

    Pour en finir avec l’ONU, voici la culture et la science représentée par l’UNESCO, son conseil exécutif a adopté ni plus ni moins que les sites bibliques juifs en Judée et Samarie seraient musulmans, et j’en passe sur toutes les accusations et autres condamnations concernant Gaza et les territoires disputés, qui ne font plus rire personne.

     

    Les ONG portent vraiment mal leur nom, comment peuvent-elles être non gouvernementales alors qu’elles sont, de fait, financées en majeure partie par les gouvernements ? Derrière leur cache-sexe de défense des droits de l’homme, beaucoup ne servent en fait qu’à avancer les buts politiques de certains États. Outre leur exceptionnel pouvoir de communication, les ONG disposent d’un autre atout non négligeable : le droit à l’opacité. Non élues, non contrôlées, elles n’ont de compte à rendre à personne, surtout pas aux citoyens donateurs.

    Humain Rights Watch, une des plus grosses ONG de défense des droits de l’homme au monde, accusée par l’association NGO Monitor d’avoir reçu des donations d’Arabie saoudite.

    « Depuis 1990, les gouvernements européens manipulent la politique israélienne et promeuvent sa diabolisation en finançant un petit groupe d’organisations non gouvernementales ». Intitulé « Le cheval de Troie – L’impact du financement du gouvernement européen sur les ONG israéliennes », le rapport fournit une analyse détaillée des activités de plus de 20 ONG israéliennes qui ont reçu un financement de l’Europe. Le rapport examine le programme politique de ces groupes et la manière dont ils ont influencé la politique israélienne et le débat public, ainsi que leur utilisation du système juridique.

     



  • simazou 3 janvier 2017 13:58

    Bye bye l’ONU suite 3


    Les journalistes : ils sont ceux qui font l’information et la commentent. Et par ce biais, ils font aussi de la politique. À l’heure des médias, rien n’existe sans eux, et tout existe par eux, et quasiment par eux seuls. Il incombe donc de les étudier, eux aussi, comme leurs discours, et le contexte de ce dernier, pour comprendre la politique.

    Par conséquent, les journalistes seraient fondés à confondre « fonction d’opinion et fonction d’information », à refuser au public des informations exactes, et tout bonnement à donner l’image qui leur convient de la réalité.

    Les journalistes ne mentent jamais ; ils ne font que rapporter la vérité que leur disent les menteurs.

    Les médias : vous êtes les complices et les pourfendeurs de la haine des Juifs, et vous n’avez fait que véhiculer les mensonges, tout le monde raconte que les Juifs ont la main mise sur les médias, comment ça se fait qu’aucun médias n’a sifflé mot du massacre de la famille Fogel dont 3 enfants égorgés par les pauvres gentils palestiniens. Et qui parle des malheureux chrétiens massacrés et brûlés vifs dans les églises dans tous les pays musulmans. 

     

    Ravel remarque que l’idéologie est la « principale source de dérangement de l’information, parce qu’elle nécessite un mensonge systématique, global et non pas seulement occasionnel ». Le mot fut incorporé au vocabulaire socialiste par Marx et Engels avec une connotation non seulement critique mais péjorative pour désigner « l’ensemble des notions et des valeurs destinées à justifier la domination d’une classe sociale par une autre ».

    Sur les restes de tout ou partie du manteau marxiste plus ou moins détérioré sont collés des bouts de multiculturalisme, de pseudo-humanisme, de compassionnisme, de droit-de-l’hommisme, et invariablement d’anti-américanisme, accompagné de néo-tiers-mondisme : sympathie pour le « sud » en général et pour l’Islam en particulier.

     

    Israël n’est Israël qu’à travers le regard des antisémites, comme cela a toujours été vis à vis des juifs !!!! Souvenez-vous d’une chose que le judaïsme, ce n’est pas une idéologie, c’est une attitude. Le philosophe anglais Isaiah Berlin faisait observer que “tout le monde feint de chercher la vérité, mais que si on la découvrait, celle-ci ne serait peut-être pas intéressante”. Les mythes fascinent plus que la vérité : ceci serait tolérable si le coût n’était pas aussi élevé. Car, les mythes, s’ils ont des mains, ont les mains sales et ensanglantées.

     

    Y a-t-il un seul pays au monde qu’on vilipende sur la place publique comme on le fait avec Israël ?  De toute évidence, il est permis non seulement de critiquer l’État d’Israël, mais aussi de le condamner systématiquement. Pas un de ses gestes, pas une de ses paroles, pas une de ses actions qui ne fasse l’objet d’une condamnation sans appel. Cette violence à l’égard d’Israël a atteint son paroxysme et se traduit par une remise en question de son droit à l’existence. Il ne s’agit plus de critiquer telle ou telle action, mais de ne plus reconnaître ce pays en tant qu’État, donc de le délégitimer. Aujourd’hui, le monde a un nouveau Juif, un nouveau bouc émissaire, c’est l’État d’Israël.

    Quel est ce cœur unanime de condamnations contre Israël ? Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme le coupable absolu ? Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ? Trop de bonne conscience tue la conscience. Trop, c’est trop !!

     

    La seule raison pour laquelle quelqu’un pourrait te haïr, c’est parce qu’il voudrait être comme toi.

     

    Steiner se demandait : comment peuvent coexister chez une même personne le goût du « plus extrême souci de vérité et celui du plus extrême mensonge ».

     

    L’invocation des droits de l’homme est devenue une arme politique à des fins partisanes et idéologiques. Pas n’importe laquelle : elle manipule les concepts d’humanité, dimension extrêmement sensible quand il est question d’Israël du fait de la mémoire de la Shoah. La chose se vérifie à l’évidence, au constat de la principale accusation de ces ONG : le crime contre l’humanité, le crime de guerre, l’apartheid.

     

    Une foule de sigles aux noms séduisants, mais qui ont tous comme objectif clair de chercher à porter atteinte à l’image d’Israël au niveau international, grâce aux millions des fonds recueillis dans le monde par le NIF (New Israel Fund), une organisation définie jusqu’ici simplement comme «  humanitaire », alors qu’en réalité elle exécute les ordres de « bienfaiteurs » qui sont pour la plupart des fondations américaines, comme la Fondation Ford, la Fondation Soros, la Fondation Carter et, en partie, la Ligue arabe. La vérité c’est qu’on a mis en cause un système de financement pervers, menaçant la sécurité intérieure d’Israël.

     

    Les Palestiniens mobilisent près de 80 % de l’aide humanitaire internationale alors qu’il n’y a aucune pénurie dans les territoires. Et il existe une agence spécialisée à l’ONU pour les seuls Palestiniens, l’UNWRA. Comment justifier ces privilèges alors que des centaines de milliers de personnes meurent de faim un peu partout dans le monde ? Tout se passe comme si les Palestiniens devaient conserver leur statut symbolique de peuple-victime. On reconnaît la stratégie consistant, pour les pays arabes depuis 1948, à préserver et à prolonger indéfiniment le statut de « réfugiés » Palestiniens en ne les intégrant pas. Ce traitement préférentiel des Palestiniens par la communauté internationale a fini par créer un peuple de «  victimes » statutaires et d’assistés, ce qui permet à toutes les mouvances «  antisionistes » de continuer à diaboliser et à condamner Israël, accusé injustement d’être l’unique responsable de la situation.

    D’ailleurs déjà en 1952, le Lt. Général Sir Alexander Galloway, personnalité  connue qui était à l’époque le directeur de l’UNRWA en Jordanie, a fait cette déclaration devant un groupe de visiteurs Américains, hommes d’églises qui s’intéressaient au problème des réfugiés arabes à la suite de la guerre israélo arabe de 1948 : 

      »Il est parfaitement clair que les nations arabes ne veulent pas résoudre le problème des réfugiés arabes. Elles veulent le maintenir comme une plaie ouverte, comme un affront  contre les Nations Unies, et comme une arme contre Israël. Les dirigeants arabes se fichent éperdument de savoir si les réfugiés vivent ou meurent".

     

    La violence est endémique à la société musulmane depuis sa création il y a plus de 1400 ans. Une grande partie des ancêtres des musulmans d’aujourd’hui, soit 1,3 milliard de musulmans, ont été convertis à l’islam sous la contrainte.

    En réalité, il serait difficile de trouver dans le monde musulman un régime dans lequel l’expression « droits de l’homme » pourrait seulement être employée. La différence entre le monde arabe et Israël est une différence de valeurs et de personnalité. C’est la barbarie contre la civilisation, la dictature contre la démocratie, le diable contre Dieu.



  • simazou 3 janvier 2017 13:55

    Bye bye l’ONU suite 2 

    Aux pathologies récurrentes du monde arabe, s’ajoutent d’autres facteurs. Alors que le monde arabe et une bonne part du reste du monde musulman croupissent dans le sous-développement économique, politique et culturel, l’existence d’Israël apparaît comme une insupportable humiliation et est la démonstration de ce qu’est le sous-développement du monde arabe et d’une partie du monde musulman victimes de leur pathologies internes. L’Islam se proclamant la meilleure religion de la terre, la culture arabe reposant sur les notions d’honneur et d’humiliation, il en résulte une rage irrépressible.

    Il y a des gens qui préfèrent croupir dans la dictature, avec en eux, l’espoir de tuer leurs voisins, plutôt que vivre libres et en paix, dès lors que leur voisin incarne des accomplissements qui le feront apparaître en avance sur eux. Il n’est pas étonnant que toutes les dictatures de la planète, tous les régimes imprégnés de fange soient hostiles à Israël. Il n’est pas étonnant non plus que communistes, gauchistes, altermondialistes et verts montrent leur soutien au djihadisme, à l’islamisme et à la cause palestinienne.

    Le peuple juif incarne la quintessence des valeurs que les monstres totalitaires ne peuvent supporter, les valeurs qui ont donné à l’Occident l’essentiel de ses règles éthiques, du respect de l’être humain et du rapport à la transcendance qui peut exister en lui.

     

    On sait que chaque époque se choisit un groupe de malheureux sur qui elle puisse déverser la haine qu’elle a accumulée. Toujours un groupe plus fort vise, soit à cause de sa religion, de la couleur de sa peau, de sa race, de son origine, ou idéal social ou de ses conceptions philosophiques, un groupe plus petit et plus faible sur lequel il se hâte de décharger les forces destructrices qui sommeillent en lui. Les mots d’ordre, les prétextes ont beau changer, les méthodes de calomnie, d’avilissement, de destruction restent les mêmes.

    Charles Maurras (1868-1952) antisémite de l’Académie française écrivait : "Tout paraît impossible, ou affreusement difficile, sans cette providence de l’antisémitisme. Par elle, tout s’arrange, s’aplanit et se simplifie. Si l’on n’était antisémite par volonté patriotique, on le deviendrait par simple sentiment de l’opportunité." Comme disait ma mère tout se vend et s’achète, même son âme !!!

     

    Comme a dit Saul Friedländer : l’antisémitisme rédempteur, la rédemption par l’antisémitisme. Le monde entier souhaite la disparition d’Israël, ainsi l’humanité sera libérée.

     

    Comme s’il n’y avait pas assez de débats, pseudo-tribunaux, articles, émissions de télévision et radio, manifestations, défilés, conférences, programmes éducatifs, associations, blogs etc. en Europe sur le conflit israélo-arabe qui frisent l’obsession, les juifs de gauche mettent l’huile sur le feu pour accéder à une certaine reconnaissance de la part de ces mêmes antisémites qui ne souhaitent qu’une chose la disparition de l’État d’Israël, donc une deuxième Shoah, car ne comptez pas sur les arabes d’être des humanistes, il n’y a qu’à voir les massacres entre eux !!!! 

     

    « 1984 » de George Orwell, une société totalitaire dont on ne peut s’évader, où s’imposent la perversion et l’inversion du langage.

     

    L’antisémitisme, qui prend des formes diverses, peut être politique, raciste, religieux, héréditaire, épidermique, obsessionnel et pathologique, nationaliste ou, par pulsion obscure, inadvertance et paradoxe révélateur, antichrétien. Le Larousse définit l’Antisémite : personne qui hait les Juifs plus qu’il n’est raisonnable. Cet antisémitisme politique, fauteur de pogroms en Europe centrale, a pris naguère en Europe orientale le masque transparent de l’ »antisionisme », étant entendu que tout juif était sioniste par nature, même quand il ne l’était pas par conviction.

     

    On parle du sionisme comme s’il s’agissait d’une personne physique ou morale. Les conspirationnistes invétérés croient vraiment que le sionisme est une organisation capable de mobiliser des hommes et des moyens au service d’une stratégie déterminée par une hiérarchie secrète. Leur profil semble être celui du proverbial instituteur bolchévique plutôt que d’un Savonarol. Leur fanatisme hystérique dépasse toute logique, qui hélas chose courante dans la cohorte des militants pro-palestiniens. Admirons la ruse de langage devenue ruse de guerre : le terrorisme est légitime dès lors que l’on s’attaque à plus fort que soi, même si celui-ci est dans son droit et en état de légitime défense. 

     

    Haïssez, détestez-le Juif tant qu’il est seul. Mais prenez garde (et vous le savez bien !) quand il se rassemble, il retrouve son histoire, ses promesses et son destin ! Et le monde n’est plus comme avant. Il a un phare, en état de marche. Comment un antisémite intelligent, (il y en a), peut-il continuer son stupide combat quand il considère ce que les Juifs ont édifié juste après leur sortie de l’enfer hitlérien ? Je distingue le doute dans cette cervelle corrompue, mais j’y vois aussi une haine d’une telle ampleur qu’elle a englouti toute velléité de retour en arrière. Heureusement pour les juifs, ils sont très bien entraînés à subir les persécutions. Et ils ont les épaules plutôt solides. Ils en auront besoin pour porter tous ces prix Nobel.

     

    Vous êtes des admirateurs de ceux qui ont une fascination pour les massacres, pour le sang répandu et pour l’extermination aveugle. L’échange de milliers de prisonniers palestiniens contre un soldat Israélien démontre la vraie dimension humaniste et universelle qui sépare l’État Hébreu de ses ennemis.

     

    Un journalisme sale d’opinion et subjectif unilatéral sans neutralité qu’impose la déontologie journalistique. Vous parlez de la liberté d’expression et de démocratie, alors qu’en fait vous parlez de la liberté de la haine des Juifs et d’Israël. On ne le répétera jamais assez ! La plupart des journalistes œuvrant sur le conflit proche-oriental orientent leurs lecteurs vers de l’anti-israélisme primaire. Leur mode de pensée est entravé par une indigeste ‘’analyse’’ prête à l’emploi qu’ils ont ingurgité avant de se rendre sur les lieux. Une ‘’analyse’’ manichéenne qui a décidé définitivement que l’Israélien est le mal personnifié. La haine d’Israël s’appuie systématiquement sur les manipulations et les trucages les plus grossiers. L’incitation médiatique à la haine d’Israël est palpable, nous rappelle les années trente en Allemagne. On vise à délégitimer l’État d’Israël et à déshumaniser les Juifs et pour cela, les médias sont gavés de subventions d’états, et de pétrodollars, bonjour l’éthique et la déontologie.

    « Les médias sont conditionnés par la façon traditionnelle de faire de la politique. Les électeurs aussi. Et plus que les électeurs, les militants. Ils aiment les formules, ils aiment les ennemis désignés. Prononcez cinq fois le mot Israël dans un discours : vous provoquez des orgasmes… ».

     

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