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  • slashbin 25 février 2009 19:16

    Les concours type CNRS sont effectivement très discutables, surtout en comparaisant des autres pays. Mais surtout, on sent un problème de copinage assez fréquent, ce qui laisse parfois passez des mauvais chercheurs au profits de bons. Mais supprimer la titularisation ??? Là, ce serait la fin des chercheurs de qualité. Car si c’est pour rester sur un statut précaire toute sa vie,... autant aller dans le privé. La recherche par projets à du bon, mais la titularisation offre de pouvoir étudier des problèmes moins rentables, surtout à court terme. Sans perspectives de CDI, beaucoup de candidats abandonneraient avant même de tenter leur chance. Comme mentionné plus haut, le systèmes anglo-saxon avec un CDD long avant de pouvoir passer en CDI offre une méthode intermédiaire. Le chercheur a le temps de faire ses preuves (car un recrutement n’est jamais une garantie) et une fois en CDI, et il plus libéré pour s’attaquer à des problèmes qui l’intéressent et qui sont lourds. Ce système n’est pas parfait, mais offre tout de même une alternative à considérer.



  • slashbin 17 février 2009 22:07

    Merci pour cet article brillant, qui nous change de bien d’autres (en particulier ceux d’un auteur bien connu de AV, prolifique sur la quantité, mais qui peine à enterre notre cher Darwin) tant par le fond que la forme.

    J’espère pouvoir encore vous lire !



  • slashbin 5 février 2009 18:43

    Mouais... bipédie initiale... Cette approche, que je ne qualifierais pas de théorie car l’analyse manque cruellement de support, me paraît assez bancale. Comme je l’écris plus haut, l’homme n’est pas supposé descendre du singe, mais avoir un ancêtre commun avec le singe. Partant de là, l’idée que le singe descend de l’homme est tout aussi peu, pour ne pas dire encore moins, fondée. D’autre part, on peut sans difficulté exclure tout principe de finalité de la théorie de l’évolution. Or ce principe est cher à beaucoup, donnant une place privilégié à l’homme. Le refuser est admettre que l’homme n’est que le fruit d’un certain hasard (seulement dirigé par les pressions environnementales), pour ne dire un accident de l’évolution. Il y a donc une difficulté philosophique pour certains, mais techniquement, cela ne pose pas de problème. De même, la présence de l’instant ne pose pas de problème dans une optique néo-darwiniste.



  • slashbin 5 février 2009 18:15

    Assez clair. J’ai néanmoins envie de rebondir en ajoutant que la vulgarisation abuse du mot "pour". Telle espèce a évolué pour avoir telle ou telle caractéristique... Dire cela n’est pas correct. Cela induit une notion de finalité, proche du Lamarquisme, et de la finalité, on peut vite tomber dans une certaine forme de créationisme. Petit HS d’ailleurs, beaucoup de créationismes musulmans rejettent aussi l’évolution, contrairement à ce qui a été écrit plus haut (cf les propos de Harun Yahya). Toute espèce évolue en permanence, dans le sens où de petites variations apparaissent à chaque génération, mais celle-ci sont souvent gommées par un remélange des individus aux générations suivantes. Néanmoins, même sans pression environnementale, des sous-espèces, voire de nouvelle espèces peuvent finir par émerger. Une mutation peut demeurer même si elle n’apporte pas un gain immédiat. Le tout est juste que l’individu ait accès à la reproduction. Les pressions environnementales ont par contre un effet catalyseur en privilégiant certaines mutations, qui deviennent avantageuses. Bref, il y a deux phénomènes concourant : diversification et contraintes de survie. Le système marche donc sans principe de sélection naturelle trop fort (ce n’est pas le plus fort qui survit), juste une sélection faible : toute modification qui n’est pas trop pénalisante pourra demeurer. A partir de là, on peut aussi comprendre pourquoi l’évolution ressemble moins à un arbre qu’à un buisson touffu, dans lequel le lien de filiation est assez difficile à trouver parfois, et l’existence de nombreuses espèces cousines (comme l’homme et le singe, dont l’homme ne descend pas, mais avec qui il partage un ancêtre commun).



  • slashbin 4 février 2009 02:24

    Et Dugué, contemplant sa propre image dans un miroir, continue à se prendre pour Dieu.

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