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Soi même

Soi même

Vrai, bon et utile : les trois tamis de Socrate
Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit :
- Écoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.
- Arrête ! interrompit l'homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?
- Trois tamis ? dit l'autre rempli d'étonnement.
- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai ?
- Non, je l'ai entendu raconter et...
- Bien, bien. Mais assurément tu l'as fait passer au travers du deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon ?
Hésitant, l'autre répondit :
- Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire...
- Hum ! dit le sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire...
- Utile ? Pas précisément...
-Eh bien ! dit Socrate, si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier.

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Derniers commentaires



  • Soi même Soi même 13 juillet 2012 15:50

     Bonjour M. Asselineau, merci pour c’est article, bien construit, logique et comme certain le dise inattaquable !

    Mon sujet de mon d’ interrogation n’est pas vraiment les grandes manœuvres Européisme, l’Empire Romain à été un précurseur historique sur les symptôme d’une chute éminente de de notre Monde.
    Déclin économique, éclatement de ses frontières.

    Les mêmes symptômes qui se reproduit actuellement, mon sujet et plus tôt après le coup de tabac comment nous nous organisions après l’Orage Planétaire ?

    Olivier Delamarche : « Aujourd’hui, 80 à 90% du PIB mondial est en arrêt »http://www.agoravox.tv/actualites/economie/article/olivier-delamarche-aujourd-hui-80-35727


  • Soi même Soi même 13 juillet 2012 15:19

    C’est une des questions qui me tracasse le plus, car il est évident que personne en veux de ses déchets.

    Le relégué au fin fond de la Sibérie n’est pas une solution, les dispersés dans les Océan non plus, il reste l’option du dépôt en grande profondeur.

    Au vue du nombres de cubages de déchet généré par cette énergie, je crains que nous allons avoir affaire à une lâcheté généralisé, qui va fuir ses responsabilités !

    Comme actuellement tout est vue sous l’optique comptable de la gestion de notre société, il suffit que toutes notre économie stop pour être face à un danger sans précédent, un danger nucléaire sur toute ses formes.

    Le pire de ce que peut nous arrivé, c’est que l’industrie nucléaire s’enraille faute de moyen financée pour la contrôler.

    C’est qui à quoi nous devons nous attendre dans les prochains temps, si il y a pas de solution pour surmonté cette crisse économique mondiale. Tous s’effondre et le premier danger est bien le nucléaire avec ces centrales et ces déchets !



  • Soi même Soi même 13 juillet 2012 14:45

    L’ennui, c’est que les USA ont rien à foutre de la France, elle la toujours combattue !



  • Soi même Soi même 13 juillet 2012 14:41

    Et oui, on préfère la prise de la bastille,
    < L’importance de la prise de la Bastille a été exaltée par les historiens romantiques, comme Jules Michelet, qui en ont fait un symbole fondateur de la République. Celle-ci n’était défendue que par une poignée d’hommes, mais qui firent près de cent morts parmi les assiégeants. Il y en eut six parmi les assiégés, dont le gouverneur M. de Launay.>

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Prise_de_la_Bastille

     alors que c’est pas cela qu’il s’agit mais
    il était plutôt question du 14 juillet 1790, qui a été la fête de la Fédération, la nation française rassemblée autour du roi Louis XVI.

    On oublie toujours que la révolution à commencé par la convocation des États Généraux en janvier 1789.

    http://revolution.1789.free.fr/page-2.htm

    Et que la Bastille est une péripétie qui se produit entre la convocation des États Généraux en janvier 1789 et la fête de la Fédération, la nation française rassemblée autour du roi Louis XVI en 1790.

    Tous en apparence débutaient sur des bons hospices, si y avait pas eux en réalité un complot <

    La Terreur est le nom par lequel on désigne1 deux périodes de la Révolution française.

    Suite à la chute de la monarchie, le 10 août 1792 et à l’élimination des députés girondins lors des journées d’émeute des 31 mai et 2 juin 1793, les montagnards prennent le pouvoir. Le 5 septembre 1793, la Terreur est « mise à l’ordre du jour, » elle s’achève avec la chute de Robespierre le 26 juillet 1794. >

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Terreur_%28R%C3%A9volution_fran%C3%A7aise%29

    qui s’aborda la révolution qui aurai prit un tous autre court !



  • Soi même Soi même 12 juillet 2012 18:44

    Un grand moment de honte national

    <De son côté, l’Europe a vu la quantité et le niveau des armements implantés sur son sol ou pointés vers elle s’élever. La supériorité conventionnelle soviétique et l’implantation, déjà ancienne, de missiles nucléaires à moyenne portée avaient entrainé le perfectionnement d’avions américains stationnés en Europe, appelés pour cette raison « systèmes avancés ». L’Union soviétique en a pris argument pour installer de nouveaux missiles mobiles à trois têtes ’missiles SS 20’, avec 5000 km de portée et une précision accrue. 5000 km de portée, assez pour atteindre l’Europe, pas assez pour atteindre le continent américain.
    - Les pays membres du commandement militaire intégré de l’OTAN, ont alors répondu par ce que l’on appelle communément la "double décision" qui prévoyait d’entamer une négociation sur les armes nucléaires à moyenne portée sur le continent européen, négociation dont dépendra le niveau de déploiement des nouveaux missiles américains à partir de décembre 1983 ’fusées Pershing II’. Je rappelle ces faits, vous les connaissez, mais nous nous adressons à nos peuples et il convient de connaître le cheminement de ces actes pour tenter d’approcher les solutions d’aujourd’hui.
     Mesdames et messieurs, nos peuples haïssent la guerre, ils en ont trop souffert et les autres peuples d’Europe avec eux. Une idée simple gouverne la pensée de la France : il faut que la guerre demeure impossible et que ceux qui y songeraient en soient dissuadés.
    - Notre analyse et notre conviction, celle de la France, sont que l’arme nucléaire, instrument de dissuasion, qu’on le souhaite ou qu’on le déplore, demeure la garantie de la paix, des lors qu’il existe l’équilibre des forces. Seul cet équilibre, au demeurant, peut conduire à de bonnes relations avec les pays de l’Est, nos voisins et partenaires historiques. Il a été la base saine de ce que l’on a appelé la détente. Il vous a permis de mettre en oeuvre votre « ost-politik ». Il a rendu possible les accords d’Helsinki.
    - Mais le maintien de cet équilibre implique à mes yeux que des régions entières d’Europe ne soient pas dépourvues de parade fâce à des armes nucléaires spécifiquement dirigées contre elles. Quiconque ferait le pari sue le « découplage » entre le continent européen et le continent américain méttrait, selon nous, en cause l’équilibre des forces et donc le maintien de la paix. Je pense et je le dis que ce « découplage » est en soi dangereux et je souhaite ardemment que les négociations de Genève permettent d’écarter un danger qui pèse singulièrement sur les partenaires européens non détenteurs de l’arme nucléaire.
    - C’est pourquoi la détermination commune des membres de l’Alliance atlantique et leur solidarité doivent être clairement confirmées pour que la négociation aboutisse - aboutisse, condition nécessaire à la non installation des armes prévues par la « double décision » de décembre 1979 ’fusées Pershing II’.
    - ... Ce que nous voulons d’abord, mais vous aussi, c’est la paix. La paix n’est possible que par la négociation. Il dépend de ceux qui négocient de préparer les chemins de l’harmonie indispensable. Il suffit que l’un des partenaires, quand ils ne sont pas deux, s’y refuse pour que l’accord ne puisse se faire. Il faut donc que demeurent les conditions de l’équilibre nécessaire dans l’assurance, pour les peuples intéressés, qu’ils ne seront pas sous le poids d’une éventuelle domination extérieure. De cette solidarité, la France est, croyez-moi, consciente lorsqu’elle maintient en République fédérale allemande une part importante de la première armée française dont elle étudie précisément l’accroîssement de la mobilité et de la puissance de feu. Et, à Berlin en particulier, la France confirme qu’elle assume et assumera toutes ses responsabilités. Ainsi concevons-nous la défense de notre territoire et de nos intérêts vitaux, tout en nous affirmant le partenaire loyal de l’Alliance atlantique et l’ami fidèle, connaissant ses obligations, de la République fédérale d’Allemagne.
    Mais que l’on me comprenne bien, et c’est là l’expression de nos situations différentes qui découlent de l’histoire, dont nous ne sommes pas les auteurs. La France, qui ne participe pas et ne participera pas aux discussions de Genève, entend laisser les négociateurs libres de leur conduite. A chacun de discerner ce qu’il y a de bon ou d’insuffisant dans les dernières propositions émises. Intéressée comme vous-mêmes par l’aboutissement des négociations, la France se réfère pour en juger à quelques données simples que je me permettrai de rappeler ici brievement.
    - Primo, on ne peut comparer que ce qui est comparable : types d’armements, puissance de feu, précision, portée. Secundo, entre deux pays qui ont la possibilité de se détruire, si j’ose dire, plusieurs fois, ce qui est le cas des Etats-Unis d’Amérique et de l’Union soviétique, des pays comme le mien, dont la possibilité majeure est d’interdire à un agresseur éventuel d’espérer tirer avantage d’une guerre, la marge est immense : il y a une différence de -nature... J’exprimerai cela plus concrétement en disant que si l’une des deux plus grandes puissances détruisait tous ses missiles à moyennes portée, il lui resterait encore des milliers de fusées, alors que la France y perdrait un élément déterminant de sa capacité dissuasive, et donc la garantie de sa sécurité qui n’existerait plus au-dessous d’un certain seuil. Tercio, la force nucléaire française est et demeurera indépendante. Cette indépendance, avec tout ce qui en découle, n’est pas seulement un principe essentiel de notre souveraineté - c’est sur le Président de la République française, et sur lui seul, que repose la responsabilité de la décision - elle accroît également, je vous demande d’y réfléchir, elle accroît également l’incertitude pour un agresseur éventuel et seulement pour lui. Elle rend du coup plus effective la dissuasion t par la même, je le répète l’impossibilité de la guerre. >

    http://discours.vie-publique.fr/notices/847900500.html

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