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Sophie

Sophie

 Journaliste cynophile, voilà pour le job actuel. Une foule d’autres activités ludiques au compteur, au premier rang desquels, dans mon panthéon personnel, je place l’écriture. Et puis à présent ce souhait, chers condisciples de l’internet et de la blogosphère, de communiquer avec vous. Contrairement à certain(e)s, j’ai le sentiment qu’on ne pense pas assez : une dose de philosophie, de réflexion et d’ironie n’a jamais fait de mal à personne. Si le coeur vous en dit, venez donc Chez Sophie occuper un peu de votre temps de cerveau disponible.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/07/2007
  • Modérateur depuis le 11/09/2007
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Derniers commentaires



  • Sophie Sophie 24 mars 2009 16:46

    Alors tant mieux, mon but est atteint... 



  • Sophie Sophie 24 mars 2009 16:40

    Merci, Marsupilami, et merci pour la précision, mais puisque l’état de la matière dépend des mesures répétées effectuées par l’observateur, en raccourci il n’est pas faux de dire que l’état de la matière dépend de l’observateur.

    Je ne sais pas si on peut dire que la mort est l’inverse de la vie. La mort est le passage de l’existant au rien. Dans notre corps, meurent tous les jours des cellules, ce qui nous permet de continuer à vivre. Mais en tant que propriété émergente du cerveau, la conscience de soi dépend forcément de l’état des cellules de la dite matière. Une fois qu’elles sont mortes, que voudrait-on qu’il subsiste de nous, hors des souvenirs dans la conscience de quelques autres ?...



  • Sophie Sophie 24 mars 2009 13:31

    "Enfouir cette épée de Damoclès dans l’inconscient le plus profond", c’est justement ce qui me semble inutile et néfaste. La souffrance est obscène, la mort d’un jeune être est injuste ; mais l’idée de notre mort doit se concevoir avec un effort de courage. Chacun se débrouille comme il peut, assurément, avec la certitude de sa fin ; et tant que cela ne déborde pas dans le domaine public et ne devienne pas un vecteur de pouvoir, on peut comprendre que croire à une quelconque entité supranaturelle soit un outil contre la peur - même si à titre personnel, je considère la religion comme une aliénation mentale.

    Sans tomber dans un attrait morbide, inviter la pensée de la mort dans son quotidien permet d’en chasser peu ou prou la futilité, et de faire justement plus de cas de la mort et de la souffrance d’autrui.

    Le suicide poussé par une immense douleur, quelqu’elle soit, est totale désolation. Mais le suicide comme choix philosophique est somme toute assez séduisant à un premier abord ; le geste n’est cependant pas exempt de bravade à destination des vivants, et ne peut s’apparenter à un véritable acte de liberté. En mourant, on ne se libère pas ; la liberté, le repos, sont des concepts pour l’esprit et la chair, pas pour la chose que l’on devient.

    Le "point d’assemblage", oui, ni aveuglement ni désespoir, meilleure position existentielle pour produire du sens, c’est tout un art de vivre...



  • Sophie Sophie 24 mars 2009 12:06

    Merci beaucoup, John Lloyds, votre commentaire me touche.



  • Sophie Sophie 17 mars 2009 10:02

    Grand merci, généreux commentateurs. 

    Désormais, lorsque je donne des sous à quelqu’un dans la rue, j’essaie toujours de donner aussi autre chose : un bonjour, un sourire, un mot d’encouragement, un pain au chocolat acheté à la boulangerie du coin. C’est important...

    Au-delà de ça, il est évident que le remède à la misère est politique...

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