Curieux et chercheur de réponses aux grandes questions de l’Humanité. Depuis que j’ai constaté froidement le piteux état de notre monde, que cet état allait en empirant inexorablement et que j’ai cessé de croire que le hasard y était pour quelque chose, j’essaie d’identifier et de dénoncer les mécanismes qui sont responsables de cet état. Profondément optimiste, je suis persuadé que grâce à la prise de conscience et à l’acceptation de notre responsabilité individuelle, suscitées par des raisonnements souvent bannis de notre pensée conformiste rassurante, nous pourrons commencer à choisir un avenir différent, un avenir conforme à l’image de notre rêve le plus beau.
Enfin un échange constructif dans les commentaires sur ce site, ça fait plaisir ! Bravo messieurs
Je me permets d’ajouter ma petite pierre à votre bel édifice. A mon sens, LA vérité c’est que les médias et les politiques nous mentent systématiquement. C’est bien sur cette vérité qu’est basé le déni que l’auteur développe dans l’article.
Ensuite, il y a effectivement LA vérité derrière le 11/09, la guerre en Syrie ou en Lybie ou encore derrière la vaccination obligatoire des populations, mais celle-là est effectivement plus difficile à cerner car multifactorielle.
Je ne crois pas qu’il y ait autre chose de vital que : se nourrir, se loger et se vêtir, le tout dans un état de paix, à tous les niveaux. De « gros investissements infrastructurels » ne ne revêtent pas selon moi de caractère vital. Ou alors il faut me l’expliquer clairement.
Tous ce qui est vital est localisable dans n’importe quelle région de la planète. Il n’est donc pas nécessaire de se battre pour obtenir quoi que ce soit puisqu’il n’y a pas de manque.
Enfin, croire qu’il est nécessaire de déshabiller Paul pour habiller Jacques est une erreur. C’est vrai dans le système capitaliste libéral actuel, mais la coopération est bien plus efficace que la compétition pour atteindre les buts vitaux énoncé plus haut.
Je suis assez d’accord avec vous sur la nécessité de contre-pouvoirs. Permettez-moi de pousser le raisonnement un peu plus loin : a-t-on besoin de pouvoir, et surtout de le déléguer à quelques-uns, pour organiser la vie en collectivité ?
Je pense que non. On peut définir des objectifs suffisamment simples et universels pour ne pas avoir besoin de processus décisionnels trop compliqués, ce qui permettrait à chacun de contribuer au bien commun dans ses gestes quotidiens. Pour des décisions extraordinaires, on peut imaginer une assemblée qui se réunirait uniquement en cas de besoin pour prendre les décisions appropriées.
Ce mode d’organisation présuppose que chaque individu ait fait sa révolution intérieure pour enfin comprendre que son intérêt et celui de l’autre est le même. Là je n’ai pas de solution mais je suis optimiste et croit que ce jour arrivera, naturellement.