sperate

Bonjour,

moi aussi j’ai vu Bienvenue chez les chtis.

Ca m’a fait rire, mais il faut vraiment être bon public. Les blagues étaient légèrement (euphémisme) télephonnées. Je préfère largement Danny Boon en tant que humoriste de scène et là encore je ne parle pas de tous ses spéctacles.

Etant quelqu’un d’un naturel assez émotif j’ai versé moi aussi ma petite larmiche à la fin du film. M’enfin de là à dire que c’est un très bon film ou ne serai-ce qu’un bon film il y a critique constructive à faire ( étant quelqu’un de super constructif aussi je l’aurais fait mais là je n’ai pas le temps désolé ...)

Bref tout ceci pour dire qu’on peut voir le coté humaniste du film et être ému tout en jugeant que le film est un vrai navet spécial 15millions de "beaufs" ..

Et oui j’assume de faire partie d’une france qui se beaufise et de me beaufiser aussi par là même. Tant que je l’accepte et que je sais pourquoi, je ne vois pas pourquoi il faudrait être hypocryte quand-à la crétinité ambiante qui règne sur nos macrocosmes.

Avis aux adèptes de la globalisation néo-populiste : la terre va mal et nous aussi ..

La lecture de vos remarques est très instructive. Néanmoins il est toujours fatiguant de voir la facilité avec laquelle on peut étaler sa colère sur un blog pour véroler son contenu.

Cri d’alarme M.Dugué ? ... On a envie de vivre !! Et ce, sans les optimistes béats qui ne pensesnt qu’a leur petit confort et qui vont bientôt commencer à se plaindre parce-qu’ils n’assumeront plus leurs dépenses de déplacement, alimentaires et de logement. Mettront le tout sur le compte de la droite (il est vrai cependant qu’elle a le mérite d’accélérer la cadence) et iront voter FN aux prochaines élections.

Peuple occidental qui croit que tout lui est dû, ne voit pas que le steak qu’il s’empiffre fait mourrir les mêmes personnes que celles auquelles il envoie son petit pécule pour se donner bonne conscience.

L’optimisme béat c’est l’impuissance avérée, la fin de la lutte contre la machine croissantiste et aliénante. Epanouis toi mon ami dans ce que la machine te propose .. n’invente surtout pas, ou bien si tu inventes crées une entreprise, un concept (le mot à la mode) et commercialises.

L’optimisme béat c’est oublier (ou s’en cacher les yeux) que derière tout ce qu’on est, il y a notre main mise énérgétique pour laquelle on se donne corps et âme tous les jours dans cette monotonie navrante, suffoquante, désepérante. Monotonie, individualisme que l’on tente de nous faire oublier à grands coups de kilojoules en nous transportant à Rabat ou Marakech et retour en un week end. Honte à celui qui n’a pas fait le Maroc ou l’Egypte de nos jours. Et une fois qu’on a tout vu, est-on pour autant changé ? Non. On est toujours le même pion enchaîné et angoissé à l’idée qu’un jour on devra se séparer de la machine.

Pour l’optimiste béat la morale est un luxe auquel il préfère les oeillères bas coût fabriquées par les gens qu’il n’ose voir.

Les temps ont bien changé. Pendant que le fourmi bosse pour la cigale, celle-ci fait la fiesta et s’empiffre de dinde aux marrons (ou de light sweet crude, au choix). La voila la fable des temps modèrnes.

Aussi, vive les "aphorismes sybillins" , j’ai appris deux mots aujourd’hui.

La lecture de vos remarques ou "posts" est très intructive sur le plan littéraire. Néanmoins il est toujours désespérant de voir la facilité avec laquelle on peut étaler sa colère sur un blog et véroler son contenu.

Cri d’alarme M.Dugué ... on a envie de vivre !! Et ce, sans les optimistes béats qui ne pensesnt qu’a leur petit confort et qui vont bientôt commencer à se plaindre parce-qu’ils n’assumeront plus leur dépenses de déplacement, alimentaires et de logement croyant que c’est la faute de la droite (oui c’est vrai qu’elle a le don d’accélérer la cadence).

Peuple occidental qui croit que tout lui est dû, ne voit pas que le steak qu’il s’empiffre fait mourrir les mêmes personnes que celles à qui il envoie son petit pécule pour se donner bonne conscience.

L’optimisme béat c’est l’impuissance avérée, la fin de la lutte contre la machine croissantiste et aliénante.

L’optimisme béat c’est oublier ou se masquer le fait que derière tout ce qu’on est, il y a notre main mise énérgétique pour laquelle on se donne corps et âme tous les jours dans cette monotonie navrante, suffoquante, désepérante, que l’on tente de nous faire oublier a grands coups de kilojoules en nous transportant au Caire en un week end. Et une fois qu’on a tout vu, est-on pour autant changé ? Non. On est toujours le même pion enchaîné et angoissé à l’idée que la télé du voisin est plus grande que la sienne.

Pendant que le fourmi bosse pour la cigale, celle-ci fait la fiesta et s’empiffre de dinde aux marrons (ou de light sweet crude au choix). La voila la fable des temps modèrnes.

Et aussi, vive les "aphorismes sibyllins"  .. j’ai appris deux mots aujourd’hui.