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srobyl

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Je ne demande qu’à être convaincu (en un seul mot) par vos arguments

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  • Premier article le 11/02/2009
  • Modérateur depuis le 10/03/2010
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Derniers commentaires



  • srobyl srobyl 6 février 2013 19:32

    « Par contre, les croyances dites primitives, qui sont à l’inverse des religions monothéistes, génèrent le respect envers toutes les espèces et la vie sauvage ».

    Entièrement d’accord, mais justement, les croyances « primitives » sont observées chez des peuples dont le mode de vie est assez différent du nôtre. Un berger des Pyrénées ou des Alpes n’est pas un cueilleur-chasseur. Le gros problème, c’est la coexistence sur le même territoire d’espèces sauvages prédatrices ET d’animaux d’élevage. Si la plupart des gens, hormis quelques bornés de la gachette, trouvent plutôt intéressant que des prédateurs soient réintroduits, et ce pour le plus grand bien de la vigueur des espèces sauvages qui sont leurs proies, une personne qui vit de l’activité pastorale aura une opinion différente, liée forcément à sa survie économique.
     J’adhère tout à fait à l’opinion exprimée il y a quelques années par François Cavanna à propos des ours tués par des chasseurs : si on aime les ours,(ou les loups) qu’on évite de les réintroduire là où il vont direct au massacre. Il y a trop peu, en France, de zones dont la densité humaine et l’activité sont assez faibles pour assurer la survie des ours ou des loups : il est donc nécessaire de contrôler leur extension territoriale 



  • srobyl srobyl 6 février 2013 14:56

    Bien du vrai dans ce que vous dites, les profs tarés qui traitent leurs élèves comme de la merde, c’était légion, j’ai commu aussi, et le tabagisme en cours et tout et tout...Mais comme le souligne l’auteure de l’article, le métier recouvre des réalités très différentes. Je peux vous dire que les 35 H et plus, je les faisais largement, avec la préaparation matérielle des TP. Donc pas de généralisation hâtive.
    Un gros problème vient du fait que les inspections ne sont ni assez fréquentes, ni vraiment révélatrices, ce qui signifie que le travail en amont des cours n’est pas toujours pris en compte et que certains se disent qu’il n’est pas nécessaire de peaufiner son travail. Un autre problème vient du fait qu’on ne prépare pas correctement à ce métier, tenant encore beaucoup plus compte des savoirs que des qualités humaines, morales et pédagogiques. Profession encore trop ouverte aux gens qui la choisissent « négativement, » faute de mieux, et non par réelle motivation. Mais, quel que soit le mauvais vécu de chacun à l’école, il me paraît malsain de hurler avec les loups, le jour où l’EN disparaîtra, une meute viendra se plaindre qu’il faut maintenant se tourner vers le privé. Bien du plaisir...



  • srobyl srobyl 6 février 2013 12:42

    Bonjour Rosemar
    On va être encore accusé de constituer une « e-salle de prof », mais tant pis.
     Très pertinent votre article. j’ai eu pour ma part (sauf en début de carrière où je n’avais pas bien saisi tous les impératifs de la fonction) l’impression de tenir plusieurs rôles : peut-être pas celui de l’auteur(ce sont les élaborateurs de programmes) mais ceux de metteur en scène, d’acteur, d’accessoiriste (SVT) de critique... et pour un nombre d’heures de « représentation » conséquent et une paye d’intérimaire du spectacle . S’il est déconseillé de « se mettre en scène », c’est bien à la tension suscitée par un métier de scène qu’un prof est fatalement soumis, s’il veut animer ses cours et non en faire des séances de gribouillages monotones. Une partie de la population non enseignante ne prend pas bien la mesure de la complexité de la tâche et les remises en question qui sont souvent nécessaires et s’imagine qu’un prof peut s’installer confortablement à son bureau, prononcer un mot magique, par exemple dire « Colette » ou « Maupassant » et que l’auditoire va se figer, béat d’impatience de découvrir une merveille. L’attention, l’intérêt d’une classe, ce n’est pas si facile à déclencher, et quand on y parvient, le 100% d’envie de travailler n’est jamais garanti ! 
    Je ne regrette pas la fatigue que je me suis donnée car j’ai passé les dix dernières années de ma carrière (je n’aime pas ce mot) très sereinement, et je n’ai même pas attendu, ni vu la retraite arriver. Mais j’ai comme tout le monde vu le vent tourner, le discrédit qu’on jette sur nous et les difficultés croissantes en raison partiellement des élèves qu’on oblige à aller en classe jusqu’à 16 ans (voire plus s’ils n’ont pas de motivation) alors qu’ils seraient mieux en apprentissage.
    J’ai dissuadé un de mes fils de prendre cette voie. Il croyait, comme beaucoup de mal informés informés ,qu’avec trois mois de vacances, c’était un métier de fainéant !!



  • srobyl srobyl 5 février 2013 23:00

    P... ! Y’’en a un qui m’a énervé en tapant sur Georges Brassens, ce formidable bonhomme à la fois desespéré et joyeux ...Il y a peu, je suis retourné à Sète et je suis ressorti de l’espace Georges Brassens l’oeil humide, une fois de plus. 



  • srobyl srobyl 4 février 2013 15:03

    Qu’elle roule à ce qu’on voudra (ou pourra), la bagnole ou les deux roues représente un problème bien plus grave que celui des émissions qu’elle peut provoquer et qui tient à notre représentation mentale, fortement influencée par les médias, la pub, les compétitions et autres raids de pseudo-aventuriers. Dès lors que le moyen de transport est devenu un objet de loisirs, qu’on a hypertrophié au point de rendre le permis plus important que le bac, au point où le vehicule est présenté comme un prolongement de soi-même et non un vulgaire objet permettant d’aller confortablement d’un point A à un point B, on est entré dans une véritable et dangereuse pollution : celle des esprits.

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