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supradine

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  • supradine 8 mars 2018 17:59

    la photo de l’article invite à la modestie les petits humains que nous sommes , destructeurs , copieurs de la nature...) et à l’admiration devant tant de beauté. Une pure merveille cet amour en cage, un joyau, comme tant d’autres qui fleurissent nos jardins et qu’il faut prendre le temps d’observer, de protéger, qu’elles nous guérissent ou pas.



  • supradine 8 mars 2018 17:41
    Continuez Rosemar, persistez, ne serait-ce que pour emm...ceux qui n’ont que le persiflage au bout des doigts ! 
    je ne suis pas certaine que le manque de femmes sur agoravox soit du sexisme, mais plutôt de l’autocensure , un intérêt féminin pour des sujets différents des hommes (sujets qu’ils vont trouver « nunuche », et que donc qu’elles ne publieront pas...par crainte d’être démolies), puisque malheureusement tout ce qui ne touche pas la politique et l’économie n’est pas « sérieux » , viril... du coup les femmes vont sur les blogs ou d’autres sites plus conformes à leur goût. 




  • supradine 8 décembre 2017 18:20
    @juluch
    les betteraves sont d’abord arrachées, mises en tas dans les champs pendant quelques semaines ou mois, pendant ce temps elles perdent un certain pourcentage de sucre chaque jour. Il faut donc travailler le plus vite possible, les camions chargés jusqu’à la gueule se suivent pour amener les betteraves à la sucrerie qui tourne 24 h/24 pendant deux à trois mois. Cette année est une année record de production. 
    Les betteraves sont ensuite lavées, râpées(cela ressemble alors à du céleri rémoulade), puis mises à tremper. Le sucre migre dans l’eau, il est ensuite transformé en sirop, en caramel ,en mélasse, puis blanchi avec je ne sais plus quel produit pas très sympa ( de la soude ?) et arrive tout blanc dans notre cuisine. Toute cette transformation se fait en quelques heures, il y a effectivement peu de produits chimiques ajoutés.



  • supradine 20 septembre 2017 17:44

    Coup de gueule salutaire, à lire, à faire lire . Complètement d’accord avec vous, les jeunes femmes « libres » de nos pays ne semblent pas mesurer le danger à venir...



  • supradine 20 septembre 2017 17:21

    J’ai lu ce livre quand mes enfants l’ont étudié au lycée, il m’a marqué surtout par l’esprit de paix qu’il insuffle. Mon grand père avait fait la guerre de 14-18, Verdun, les Dardanelles, il en parlait très peu, et en était revenu pacifiste (et communiste), pensant sans doute que son sacrifice et sa jeunesse gâchée amèneraient ensuite un monde meilleur . Malheureusement il a connu celle de 40 en tant que cheminot....quel courage a t-il fallu à ces jeunes hommes pour supporter tout cela et repartir vers la vie sans haine.Il avaait eu la croix de guerre en faisant un prisonnier qu’il n’avait pas voulu tuer...un gamin comme lui !

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