J’ai du mal à comprendre le fait que lorsqu’on dit que science et religion ne sont pas imcompatible, on est classé « créationniste ».
N’avez-vous pas dit vous-même que le créationnisme, c’est la lecture littérale de la genèse ? Il me paraît tout de même y avoir une marge suffisante entre ces positions et l’article d’Aurélie.
Une amie, revenue de Shangaï pour les vacances, m’a rapporté que la moitié des sites font bizarrement bugger internet quand on essaye d’y aller (censure ?).
Encore plus drôle, quand on tape « tibet » sur google, on ne trouve rien. Strictement rien. Comme si le mot tibet même n’avait jamais existé.
Je voudrais quand même relever une ânerie (pardonne-moi) dans le commentaire de lord smith. Tu dis vouloir dissocier la taille de l’investissement et le nombre de part.
Mais ça revient concrètement pour certains actionnaires à payer pour rien. Comme un don ou cadeau à l’entreprise.
Naiveté de ces gens qui croient que l’argent tombe du ciel...
Bah quelque part, je trouve rassurant pour la démocratie que ce soit le programme de celui qu’on a élu qui soit appliqué, plutôt que le programme de celui qui a été désigné.
Après vous me direz que je suis sans doute trop ahuri pour comprendre certaines subtilités...
Arrêtez de fantasmer sur l’opus dei. Ils ne disent pas la messe traditionnaliste, mais la nouvelle messe (en français, si l’on veut). Il faudrait pas commencer à voir leur main partout, ça frise le ridicule.
Le latin est légitimé par la Tradition, qui est importante dans la vie de l’Eglise. Cela dit, ça n’est pas une exigence d’exclusivité. Ainsi, l’Eglise accepte de nombreux rites orientaux en langue vernaculaire, avec parfois d’ailleurs la consécration en araméen. Bref le latin est important, mais pas exclusif.