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taihun

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  • taihun 4 avril 2008 00:02

    Les mesures préconisées (1 départ sur 2 remplacés) protent uniquement sur la fonction publique d’état (soit 1,75 millions de fonctionnaires). le nombre d’emplois supprimés serait (chiffre 2007 à 2011) de 192000 soit 10%. (voir le rapport du sénat http://www.senat.fr/rap/r05-411/r05-41134.html) soit environ 5 MdE d’économie. (même pas un 1/2 paquet fiscal).

    Problème à ce niveau de réduction il faudra taper sur l’EdNat et l’armée. Contrairement aux autres pays européens notre population croit de manière significative et il sera difficile de faire passer une réduction de 5 à 10% des profs. On sait aussi que notre système judiciaire est en grave sous-effectifs que la recherche est prioritaire etc.... Quand à la comparaison vaec d’autre système de fonction publique il est particulièrement ardu sachant que dans beaucoup de pays (l’Allemagne et en GB par ex. l’éducation ne fait pas partie de la fonction publique d’état). On voit qu’il est alors beaucoup plus simple de réduire le nombre de fctre en privatisant (externalisant une partie des services (la poste par ex).

    Ceci ne veut pas dire que l’argent du contribuable ne doit pas être géré au mieux mais que le problème de l’effectif est souvent la partie émergée de l’iceberg. On oublie par ex de nous dire que la france est le pays d’europe qui claque le plus d’argent dans la défense (29.5 MdE soit 2,5% du PIB contre 24 MDE et 1,5% du PIB pour l’allemagne, 1,2 pour le Canada etc..). La seule différence de dépense avec l’Allemagne est supérieur au gain potentiel de la réduction du nombre de fonctionnaires.



  • taihun 6 mars 2008 00:29

    En paraphrasant Coluche on pourrait dire qu’Alternative Libérale ça n’a l’air de rien mais c’est rien.

    Ce genre d’interview a à peu près autant d’intérêt que celui d’une candidate du parti du plaisir à Paris.

     



  • taihun 21 décembre 2007 23:32

    Pour info le Charles de Gaulle a couté à peu près 20 Md de francs ( je vous laisse faire le calcul). Quand aux arguties délirantes d’un prof de français qui n’a visiblement jamais foutu les pieds dans un labo mixte ou propre et qui visiblement a bien téter les biberons de l’UMP, elles sont d’une telle qualité que j’hésite entre le spécialiste français de Drieu la Rochelle ou de Maurras. Ca sent le petit prof de fac confit dans son université.



  • taihun 21 décembre 2007 23:24

    Voià un bel article à la Allègre ou à la Courtillot. On part d’un postulat de principe et on essaie ensuite de trouver n’importe quel argument plus ou moins valides pour étayer son argumentation. Votre texte mélange allégrement (si je puis me permettre) deux thèmes qui n’ont que peu de rapport entre eux, un sur l’apport du CNRS aux prix nobels (si tant est que ceux-ci est une réelle signification réelle sur l’état de la sciences dans un pays) et un sur la formation reçue des dits lauréats (auquel le CNRS ne PEUT pas participer directement). Il serait étrange dans un pays qui pratique une sélection uniquement basée sur les maths, que celle-ci, après l’écrémage massif effectué au long du cursus scolaire, soit mauvaise au point que les 30-40 meilleurs recruté à l’ENS Ulm ne deviennent pas des grands scientifiques (1 promo d’Ulm en maths est de cet ordre). On pourrait d’ailleurs s’étonner de la faillite de l’X dans ce domaine et du faible nombre de scientifiques formées dans cette école. Si vous considerez les nobels anglais en sciences la plupart viennent d’Oxford/Cambridge, aux US je pense que le MIT, Caltechh et Berkeley doivent aussi être bien représentés. Votre arguementation n’en est pas une mais est plutôt le constat que la sélection pour l’ENS en sciences marche bien (ne pas oublier aussi l’importance que constitue le réseau des anciens de l’ENS toutes disciplines confondues). Quand à l’argument sur le CNRS, il est conduit à charge et néglige le fait que le CNRS est un EPST qui non seulement emploie des chercheurs mais surtout finance la recherche (quand on connait la pauvreté des crédits de reherche universitaires il est évident que sans ses budgets la recherche universitaire serait quasi-nulle). Presque tous les nobels français (de physique au moins) ont été directeur de labo mixte CNRS/Univ. Que beaucoup de nobels choississent le statut de prof je trouve cela plutôt rassurant et sain. Cela montre surtout leur volonté et leur désir de promouvoir leur domaine de recherche et de former de nouvelles générations de chercheurs. L’enseignement ne faisait pas vraiment (cela change) des charges des chercheurs CNRS et peut expliquer pas mal de choses. PS Je ne suis pas au CNRS même si je travaille dans la recherche.



  • taihun 23 novembre 2007 23:48

    Tous ces bouquins qui sortent sur l’université française font une impasse coupable et monumentale sur la catastrophe que nous sommes en train de préparer en sciences exactes. L nombre d’étudiants dans en sciences « dures » a fondu depuis une dizaine d’années (dans tous les pays développés aussi) et dans certaines universités la fuite a été de l’ordre de 70% au niveau maitrise. Nous n’aurons, si rien n’est fait, bientôt plus assez d’étudiants en maths pour assurer le simple remplacement des profs du secondaire. Dans certaines filières on observe déjà une pénurie d’étudiants au niveau mastere 2 et thèses, alors la rengaine sur l’université qui ne forme pas est obsolète et inutile pour un nombre croissant de secteurs. Le système est d’autant plus en train de se « planter » que la concurences des grandes écoles continue mais qu"elles forment encore moins de chercheurs que par le passé (c’était dèjà faible 6% dans les années 80). Au lieu d’une sélection il faudra bientot faire un plan de relance et surtout attirer plus d’étudiants étrangers (les US le font déjà avec de 40 à 60% de PhD étrangers en sciences). La france a encore un rang et une formation de bonne qualité en sciences (maths physique chimie biologie) la faiblesse des moyens, l’absence de bourses la faiblesse des salaires en recherche, la démission quasi généralisée de l’industrie n’explique pas tout mais montre la nécessité d’un plan d’urgence.


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