@ joe toujours en avance sur son temps et concernant le peak oil :
« ...Car si l’on s’en tient au seul brut conventionnel, l’Agence internationale de l’énergie a estimé dans son World Energy Outlook 2010 que le pic avait été atteint en 2006... »
Bien sur si on rajoute les nouvelles méthodes d’extraction (genre gaz de schistes et autres joyeusetés, on peut le repousse d’une vingtaine d’année mais à quel cout écologique et énergétique)
Sinon je constate que les débats sont toujours aussi animés ici ! Malheureusement il n’y a pas que sur ce blog que ça chauffe.... à Fukushima aussi semble -t-il. Il va falloir redéfinir la définition d’arrêt à froid...
Ne jamais répondre aux arguments est la méthode de Joe
dire que tous discours anti nuke tient de la crétinerie joyeuse confine à sourire quand on voit que cette techno a déjà produit deux catastrophes majeures en 25 ans d’intervalle...
comparer la radiothérapie ou un scan avec une exposition à une contamination nucléaire tient de la mauvaise foi (pas les mêmes radionucléide, pas la même nocivité, pas les mêmes risques de métabolisation, ect...)
Et un accident nucléaire en zone dense reste un problème majeure à gérer. A Fukushima la vie n’a toujours pas repris son cours normal et n’est pas prêt de l’être
Enfin la multiplication des centrales à travers le monde en dehors du fait qu’il n’y aura pas nécessairement tout le combustible nécessaire à moyen terme pour les faire fonctionner, n’est pas rassurant quand on voit le souk du monde pronuke dans nos propres pays « dit » développé (entre incidents, accidents, fuite, qualité des contrôles, sécurité des accès et des enceintes, ect...)
concernant votre explication complète et documentée sur le loi de murphy ainsi que sur la bonne utilisation qu’il convient d’en faire pour se protéger des manoeuvres imbéciles ou des aléas techniques ou climatiques, j’en déduis qu’elle n’a pas été appliquée :
ni à Tchernobyl (manoeuvre stupide)
ni à Fukushima (une vague qui a eu l’outrecuidance d’être plus grosse que ce qu’avaient prévu les ingénieurs !)
Ce qui ne me rassure pas finalement sur le sérieux de nos ingénieurs nuke