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Thoth

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  • Thoth 15 novembre 2008 17:38

    J’ai regardé les début de la video mais j’ai arrêté. Et le Chine qui prétend être civilisée, quelle barbarie ! C’est à souhaiter que ce pays de merde subisse les pires catastrophes ! Mais allez ! L’occident va encore leur lécher le train car leur économie domine le monde. En tout cas, il peut encore leur arriver quoi que ce soit, je ne lèverai pas le petit doigt pour aider ces sadiques, ces bourreaux !



  • Thoth 13 novembre 2008 22:30

    Et si on élisait un président vert, bleu, mauve ou complètement bariolé et que l’on ne nous emmerde plus avec ces histoires de couleur ?



  • Thoth 13 novembre 2008 18:05

    J’ai oublié de préciser qu’il fut blessé vers trois ou quatre heures du matin. Ce n’est qu’au lever du jour, alors qu’il avait perdu énormément de sang, que les brancardiers qui passaient par là le découvrirent. Vu son état lamentable de mourant, ils voulurent continuer leur chemin. Heureusement, un "arabe" de son village (oui, nous sommes des pieds-noirs, tous engagés-volontaires dans les armées, depuis des générations, pour défendre une mère-patrie qui nous a reniés à un certain moment), je disait donc : ce musulman était un ami d’enfance de mon père. Lorsqu’il vit l’attitude des brancardiers, il les mit en joue, les menaçant de les descendre, s’ils ne secouraient pas mon père. C’est ainsi qu’il fut sauvé. Malheureusement, il ignora toujours ce qu’était devenu "cet indigène", ce frère d’armes.



  • Thoth 13 novembre 2008 17:52

    Ach ! Sapotache ! Tous fusillés... avec balles rouillées pour attraper tétanos !



  • Thoth 12 novembre 2008 18:00

    Je me souviens que mon père (paix à son âme), gravement blessé au cours d’une attaque de nuit à Souain, en Août 1915, me racontait qu’il avait assisté à l’exécution d’un camarade qui s’était mutilé parcequ’il n’en pouvait plus. Jamais, il ne m’a parlé avec mépris de cet homme, bien au contraire ! Il en pleurait, chaque fois qu’il y repensait. Les dernières paroles de ce pauvre soldat furent : "Vous direz à ma femme que je meure en héros". Et il l’a fait dignement, refusant d’avoir les yeux bandés. Il est certains que ceux qui l’ont condamné, ne devaient pas souvent marcher dans la merde et dans la boue...

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