Demat ami Poète de la taverne oû coule à flots l’hydromel !
Il me semble que le gallois est aussi une langue celtique, bien vivante elle.
Par ailleurs, encore des jugements de valeurs sur un passé qui n’a concerné qu’un nombre minuscule de personnes...Les résistants ici, comme ailleurs, n’étaient pas très nombreux...
Les Savonarole de notre époque, du haut de leur prône, n’auraient sans doute pas fait mieux. Il n’est que de constater la lâcheté et le conformisme dans le milieu de travail. Les vrais rebelles se comptent sur les doigts de la main, n’est ce pas Poète ?
Le Breton et ses notables ont trop fait allégeance au pouvoir central. Maintenant, c’est trop tard.
Comme période historique, je préfère, pour ma part, la période de la Chouannerie avec la devise « Potius mori quam foedari ». la Bretagne avait, en effet, tout à perdre avec la révolution comme elle à tout à perdre à se fondre dans le grand magma socialo-moralisateur-niveleur. Torr-Ben..casse lui la tête.
On comprend ce qu’on veut comprendre...Bref, juste pour dire que l’adorable brésilienne de Sao Paulo, compagne d’un de mes fils, en séjour 7 mois à Paris a été surprise : 1 de la froideur et de l’égoïsme des habitants repus, 2 du nombre de clebs et du peu d’enfants sauf dans certains arrondissements, 3 de l’agressivité de la gent : çà court, cà court partout chez Auchan, au ciné, à la gym, chez le traiteur, chez mon esthéticien, mon gynéco, mon boulanger, mon charcutier, pour aller au pieu, au boulot après avoir déposé le morveux chez la nounou (parfois on l’oublie dans la bagnole) dans une espèce de frénésie mortifère...et finalement dans un immense vide affectif.
Quand on voit l’orgie de bouffe et de soins pour les clebs dans ce pays, y a moyen de faire quéque chose pour les humanoïdes et leurs petits. Quant aux malthusiens, s’ils trouvent la terre trop peuplée, eh bien qu’ils laissent leur place libre ! Je leur suggère une mort douce : bouffer, boire et baiser jusqu’à en crever... cf. la grande bouffe... prémonitoire !
Hola la taverne ! une riche vie intérieure permet de supporter l’ennui sinon comme tu le dis, dans ce monde d’agités, on compense : la picole et toutes sortes de drogues, sécrétrices ou substituts d’endorphines qui aident à passer le morne temps dans la solitude des villes...En fait, l’ennui est un long exercice auquel il faut s’adonner car tôt ou tard nous y serons confrontés sur notre lit d’agonie encore que la souffrance çà occupe...