Phil Jones, Michael Mann, Anthony Weaver, Thomas Wigley, James Hanson, Maurice Strong...Tous des escrocs, des bullys.
Gaver le public de mensonges afin de les taxer et les contrôler d’avantage (agenda 21, Technocracie) est la seule chose à quoi les politiciens excellent à 100%. Presqu’à chaque fois que le terme carbone est employé, on peut le remplacer par taxe.
Gaver le public de mensonges donnera le momentum nécéssaire aux vrais pollueurs une fois cet écran de fumé expiré et nous aurons perdu la chance de prendre de front les vrais enjeux de pollution.
Ce qui est fascinant, c’est la rigueur avec laquelle ils réussissent à profiter des moyens qu’ils investissent, l’efficacité avec laquelle ils réussissent à rendre secondaires toutes approches factuelles et objectives en utilisant parfaitement les relations publiques.
Ce sont principalement des hauts fonctionnaires, des bureaucrates et des politiciens qui font partis de ce Van Waggon et quelques scientifiques compromis, en quête de revenus.
La fin justifie les moyens, si l’idée ultime est d’instaurer un régime technocratique, on peut reconnaître qu’ils ont su comment s’y prendre. Ils ont su anticiper et combler le vide laissé par la disparition des dogmes, (croyances, religions) chez les populations domestiquées à s’accrocher et être dirrigée par un dogme pour se définir ; le fanatisme environnemental est essentiellement devenu une religion. Pray the Globe ! Pray the earth ! Gaïa est vivante...ça serait drôle si c’était pas si estomaquant.
Même s’ils avaient raison, il leur serait préférable de poursuivre sur la même voie, la désinformation, les relations publiques, le contrôle des peer-reviews, les menaces juridiques etc... Les avocats sont les maîtres de nos sociétés modernes.
C’est certainement pratique et néçéssaire d’être expert en analyse des conflits, en géopolitique, en histoire, en économie, en finance etc. pour se prononcer à en articuler si bien tant de détails et sous-détails qui compliquent la compréhension des intéressés du moment. C’est si bien verbalisé, j’ose à peine écrire que ça ne semble pas si compliqué.
Cependant (pardonnez mon ignorance) il m’apparait de toute évidence que le simple esprit aussi inculte qu’il puisse être, s’il est muni d’un minimum de lucidité, semble mieux pourvu pour comprendre que peu importe l’horreur discutée, tout se ramène indéniablement à la même gangrène généralisée et à la mode : l’arrogance d’individus avares se croyant plus importants que les nations qui les ont élu, que les salariés qui les font prospérer, dont la mégalomanie et la sociopathie les immunisent de toutes formes de responsabilités.
Le pouvoir est riche, comblé d’amitiés forcées, et sans conscience. Il est mort de rire à lire ceux qui voient clair dans leur jeu. C’est comme si les guerriers de clavier s’obstinaient à croire qu’on doit forcément être porteur de potentiel et être doté de bon sens pour se hisser au sommet...c’est tout le contraire et c’est pourquoi le bon raisonnement ne trouvera jamais écho jusqu’aux oreilles de ceux qui en sont dépourvus mais qui tiennent les reines du pouvoir. Ils sont intelligents, certes, mais dépourvus de conscience. Les confronter de manière civilisée ressemble à s’engager à poings nus dans un combat contre un insensé armé d’un AK-47.
On est à l’ère du frappez dans l’tas, moins vous serez évolués, plus ceux qui s’affairent à l’être se tasseront et vous ouvriront le chemin. En ce qui concerne ceux qui se tiennent debout, ils seront si peu nombreux qu’ils seront écrasés par le pouvoir ou par ceux qui le vénèrent.
J’aime bien vous lire M.Duguay, certaines fois plus que d’autres, celle-ci en est une.
À ce que je sache, le fax a été inventé fin 1800, l’armée l’utilisait dans les années 40-50, on nous l’a proposé dans les années 80. Je crois que si un tel plan (BRAIN) est annoncé, non seulement les pistes & objectifs de recherche sont-ils définis mais l’éthique qui en balisera l’usage et la commercialisation aussi. Je suis cynique.
Je me demande : Historiquement, est-ce que les citoyens dans l’ensemble ont bénéficié de l’avancement technologique/scientifique ? Notre vie serait certe radicalement différente sans ces avancements. Ou ont-ils perdu une partie de leur automie, de leurs libertés (au sens large) ? Par exemple, est-ce que l’internet sert mieux le citoyen ou le pouvoir ? Bien que l’internet fut présenté sous des angles positifs, (je ne m’en passerais pas), tout comme l’ordinateur, l’énergie atomique etc, était-il envisagé dès la mise sur pieds de la commercialisation faciliter la vie des citoyens ou faire plus de fric et faciliter l’exercice du contrôle, de la propagande ? Bien que ces impondérables puissent se définir en cours de route, peut-être est-ce les deux.
Dans ce cas, il est certe possible d’encâdrer le progrès afin que cela devienne une richesse bien répartie comme il est possible, par indifférence/naïveté, que certains avares du pouvoir/richesse, highjackent encore une fois l’évolution au détriment de la majorité, qui ironiquement, sert grandement à le financer (taxes,impôts, profit généré par la consommation).
C’est difficile de frêner le progrès sous prétexte qu’on a pas confiance en ceux qui sont/seront en position de le rendre accessible au collectif, c’est comme admettre que l’humain est en mesure de progresser miraculeusement sans être en mesure de partager ce progrès, le proposer comme source de bien. C’est presque dommage. Se méfier du politique dans de telles circonstances est tant qu’à moi réaliste, pour certains ça doit être pessimiste.
Ça revient à avoir confiance en soi ou au berger. SI on a confiance en soi et qu’on se responsabilise, on poussera la recherche et le développement tout en s’affairant à veiller sur sa saine application, on aura le politique à l’oeil. Mais est-ce que le passé/présent nous propose d’être si optimiste ? Sommes-nous trop occuppés à être pauvre et individualiste pour s’affairer ainsi ? Bien que l’avancement soit largement financé par le collectif (taxes/impôts/profit accumulé par l’exercice de consommer), est-ce que le collectif a réussi dans les dernières décénies à s’approprier cet avancement ? à le gêrer ? Ou est-il seulement utile à payer ?
S’il n’y avait pas tant de zones grises dans les réponses à ces questions, peut-être serais-je plus enthousiaste et moins méfiant quant à l’aboutissement d’une telle initiave.