A mon sens, nous nageons en pleine réécriture de l’Histoire quand on découvre que, pas une seule fois Poincaré n’est cité, ni dans l’article, ni dans les commentaires à l’heure de ce post.
Raymond Poincaré, lorrain, belliciste, n’avait qu’un seul objectif, un guerre européenne contre l’Allemagne pour récupérer l’Alsace-Lorraine.
C’est bien lui qui a manipulé le faible Viviani, c’est lui qui était en Russie en juillet 1914 pour encourager le Tsar à la guerre, c’est lui qui a transformé le conflit local entre la Serbie et l’empire austro-hongrois en guerre européenne.
Et c’est même lui qui, par son intransigeance envers l’Allemagne après 1918 (occupation de la Ruhr, hyperinflation) a empêché toute réconciliation entre la France et l’Allemagne.
Lisez Gustave Dupin, Georges Demartial, Alfred Fabre-Luce. Raymond Poincaré est celui qui a directement entraîné la 1ère ET la 2nde Guerre Mondiale. A ce titre, il mérite sa place au Panthéon des plus grands criminels de guerre.
Quant à l’euro, monnaie unique imposée à des économies et des peuples aussi différents que les allemands, les français, les espagnols, les portugais, les italiens ou les grecs, j’attends impatiemment la vision de « Nous Citoyens » sur cette monnaie et son avenir...
Sauf erreur, le monopole à 100% de la création monétaire avec intérêt par les établissements commerciaux est le principal facteur du montant actuel de la dette qui s’élève désormais à 100% du PIB.
Les 50Mds€ d’intérêts versés par an (à fond perdu) ne sont que la conséquence d’un système qui entraîne un « cercle vicieux » et les « marchés financiers » ne sont qu’un intermédiaire dans le système, non ?
Et bien, nous verrons votre programme quand il sortira, parce que pour l’instant, ce que j’ai entendu de Denis Payre ne dépasse pas le cadre d’un ministre du Budget, comme souvent avec les chefs d’entreprises.
Alors n’oubliez pas qu’un programme politique doit traiter des aspects économiques, mais également nationaux, sociaux, sociétaux, et proposer un projet qui inclut tous les français, sans oublier de traiter le dossier explosif de l’immigration.