L’honnêteté, l’intégrité, le courage et la générosité s’acquièrent, elles ne sont pas innées.
Puisque par nature, le plus dur et le plus méchant s’en sort mieux. L’homme a progressé parce qu’il était le plus ma lin et le plus impitoyable. Acceptons ce fait.
en parlant de film, il y a un ou Coluche disserte sur la possibilité que le salaud ai une bien meilleur vie que le gentil. C’est truculent.
Quand aux Etats-Unis d’Amérique, tout est bon pour faire du fric, le gaz de schiste en est un parfait exemple.
Le point de non-retour est peut-être franchit au niveau d’une intoxication de l’eau. Par la simple spirale de conditionnement de l’eau sur terre, et le niveau de pollution des océans, il suffit d’attendre un peu pour voir les sources une à une contaminées.
L’oxygène et l’eau, les deux principales ressources de vie sur terre.
Il faudrait déjà que vous compreniez qu’on est loin dans vos idées d’un mouvement de masse.
La grande majorité de nos concitoyens ne souhaitent pas tout risquer.
Beaucoup sont mine de rien heureux de leur sort, tant mieux d’ailleurs, et en fonction des domaines, de bons salaires n’incitent pas à l’insurrection citoyenne.
Notre pays n’est pas constitué de loqueteux, ce serai une erreur de croire ça.
Donc ceux qui veulent changer pour un monde meilleur, moins énergivore, plus proche des écosystèmes, en harmonie avec les ressources naturelles renouvelables et l"huile de coude du travail de la terre, de la menuiserie, du treillage, etc... sont minoritaire. Ils l’ont toujours été.
Ce que Kerouac et son club de poètes ont initiés à partir des années cinquante a engendré une fausse révolution de la jeunesse bourgeoise vite remise sur les rail, par manque de conviction évidente, de courage et par une puérilité de l’esprit bien critiqué dans le film les Babas cool.