Tout ça disparaîtra comme de la fumée lorsque le pays sera confronté à de sérieuses difficultés et sera obligé de véritablement partir en guerre. A ce moment là, on se rendra compte que toutes ces oies bavardes ne sont en fait qu’un ramassis de poltrons.
Il est assez amusant de noter que le mot « Dieu », dont les chrétiens nous ont paraît il apporté l’essence véritable, est un mot indoeuropéen dont l’usage préexistait, donc, à la rencontre entre ceux qui l’utilisaient (et qui l’ont gardé), et ces mêmes chrétiens avatars du judaïsme.
Si cette « révélation » en avait vraiment été une, je ne vois pas au nom de quoi on aurait déjà eu un mot qui la définissait...
Preuve que tout ceci n’est qu’une habile question de sémantique.