Retraité depuis deux ans, je m'interroge sur les origines de la dette.
Je ne suis pas économiste, mais ex-ingénieur d'études en mécanique et calcul de structures.
"François Chérèque commet surtout une erreur d’analyse en consacrant le
coût du travail et donc le salarié comme principale variable d’ajustement«
Exact, il faut revoir le documentaire »Le grand bazar européen" : /www.youtube.com/watch?v=DNLUONqMQ60">http://www.youtube.com/watch?v=DNLUONqMQ60
Pour réduire le coût du travail, les entreprises délocalisent. Les entreprises qui ne peuvent pas délocaliser importent les travailleurs bas-coût. Exemple : Les producteurs de fraises belges font venir des travailleurs polonais. Mais la Pologne produit des fraises. Qui récolte les fraises en Pologne ? Les travailleurs Ukrainiens ! L’Ukraine produit des fraises. Qui récolte les fraises en Ukraine ? Un autre pays plus à l’est ! Il en résultera »in fine" que nous serons tous enrôlés de force dans des camps de travail à la manière chinoise, GRATUITEMENT.
C’est cela que veut Chérèque ?
Faut pas déconner, on ne peut pas concurrencer le coût du travail chinois.
Les institutions nationales, européennes, mondiales, doivent protéger les peuples. Elles ne le font pas. Au lieu de cela, elles protègent les 1% de riches qui possèdent 99% de la richesse créée par les seuls travailleurs.
L’argent est parti ... dans les poches des spéculateurs. Point barre.
Si l’argent en circulation est de l’argent dette, de l’argent fictif, il n’en reste pas moins qu’il est utilisé comme du vrai argent. La monnaie scripturale a la même valeur que la monnaie fiduciaire dans les échanges entre deux acteurs qui se font confiance.
- depuis 30 ans les investissements sont au plus bas. - depuis 30 ans les marges sont au plus haut. - la BCE régule l’inflation et c’est sa mission, mais elle se fout du chômage.
4000 Milliards d’Euros créés de 2001 à 2009, dont la moitié a soutenu l’économie réelle (seul le travail crée de la richesse). L’autre moitié a rempli les poches des spéculateurs. Dans les crises, il n’y a pas de destruction de richesse, il n’y a qu’un transfert de monnaie. L’argent des pauvres (des peuples) est transvasé légalement (puisque ce les riches qui font les lois) de la poche du pauvre à la poche des riches. C’est ainsi que Georges Soros a gagné des milliards en jouant contre la Livre sterling, et donc contre le peuple. Goldman sachs a joué contre la dette grecque, et donc contre le peuple grec. Lors de la bulle immobilière de 2008 les produits financiers pourris ont détruit des centaines de petites banques (et donc contre le peuple étasunien) pendant que les plus grosses s’en mettaient plein les poches. J’en passe et des meilleurs.
Corollaires : - Pas d’investissement = pas de croissance. Tant que les investisseurs industriels voudront faire autant de bénéfices que les gagnants du système financier, il n’y aura pas de croissance, pas de réduction du chômage, donc pas de reprise économique. Les rendements à deux chiffres sont impossibles à tenir sauf au détriment de l’histoire sociale de notre pays basé sur le programme national de la résistance de 1944. - La super mondialisation nous conduire à l’esclavage pur et simple.
Je viens de regarder sur internet ce que signifie cette remise en cause des informations officielles données suite aux attaques du 11 septembre 2001 sur les tours du World trade center. Je vois aussi les liens avec mon profil : ingénieur en calculs mécaniques.
En effet, après avoir visionné plusieurs vidéos, je reste quelque peu perplexe sur la façon dont les tours se sont écroulées (verticalement et très rapidement à la vitesse de la chute d’un corps sans obstacle). Je peux donner mon explication, sans connaitre les détails de la construction de ces deux tours. On nous dit que ces tours sont constituées d’une âme verticale de très grande rigidité verticale autour de laquelle sont organisés et accrochés les bureaux et espaces de travail. Une telle structure est assimilable à un modèle très simple de la mécanique : la poutre. Une poutre soumise à une force perpendiculaire à son axe fléchit suivant une formule mathématique très simple. Une poutre soumise à une force dans le sens de son axe est contrainte de se déformer, si elle est très courte, elle se comprime sur elle-même, si elle est très longue, elle se courbe (elle flambe). Le flambage est très facile à modéliser. Prenez un triple décimètre en plastique, posez-le verticalement sur votre bureau (la distance la plus longue, 30cm, perpendiculaire à la surface du bureau) et appliquez un effort de haut en bas sur son extrémité supérieure. Vous verrez la règle se courber. Si les tours étaient vraiment rigides, on aurait dû les voir plier comme un arc ou pencher d’un côté. Au lieu de cela, on a vu les étages s’écrouler les uns sur les autres toujours verticalement. Ma déduction est que ces tours n’étaient pas aussi rigides qu’on le dit. Les liaisons entre les structures rigides entre les étages ont cédé trop rapidement pour qu’on puisse dire qu’il y avait une âme centrale rigide. Pour valider telle ou telle opinion, il est nécessaire d’examiner les plans d’architecte de ces différents buildings. C’est tout ce que je peux dire aujourd’hui en fonction de l’état de mes connaissances sur l’évènement du 11 septembre 2001.
Merci de donner votre avis. Vous avez parfaitement compris le sujet. Un lecteur me reproche de faire de l’antiaméricanisme primaire, mais je pense qu’il n’a pas saisi le sens profond de l’article.
Profitons des bienfaits de nos amis en faisant en sorte de rester amis. Des échanges équilibrés ne peuvent être que bénéfiques. J’en suis resté à quelques faits, mais qui sont significatifs, selon moi d’une dérive qui pose problème. On peut demander aux sociologues de se pencher sur la question, en sortir des milliers de pages d’analyse, de synthèses et aussi de caricatures. Pour ma part, je pense que les symptômes que je mets en avant ne sont pas rédhibitoires et sont peut être moins inquiétants que d’autres concernant les religions, les délinquances, l’environnement, pour notre société. Mais ils sont un signe, le signe que nous commençons à ne pas penser par nous-mêmes, et cela m’inquiète.