« Un indicateur semble avoir une valeur prémonitoire : en 1998, José a supplanté Michael en tant que prénom le plus populaire pour les nouveaux-nés en Californie et au Texas. »
« Céleri, croûtons, persil et autres ingrédients améliorent et font varier le goût mais s’intègrent dans ce qui reste, au bout du compte, une bonne soupe à la tomate. Mais la salade du gogocho, décomposée des restes multi-akulti, est à gerber. »
Un article détaillé sur Huntington et son bouquin ’Qui sommes nous ?’
Aucun merdia occidentale n’explique la vraie raison du vote Trump : la fin de l’état nation américain lui-même, voulue par le Capital Total.
J’ai lu son bouquin, le // US, UE=USbis est flagrant, c’est pourquoi un biker américain peut dire à un journaliste du Boobaland « on va venir vous débarasser des arabes ! » Le pan-blanc est le pendant du divide et impera du capital, la régression infra-trans-national va de pair avec la mort des nations (Arendt en parle très bien pour l’Europe de l’Est des années 30)
« céleri, croûtons, persil et autres ingrédients qui améliorent et font varier le goût mais qui s’intègrent dans ce qui reste, au bout du compte, une soupe à la tomate »
Huntington : La soupe épicée à la tomate, contre la salade immangeable des multi-restes gogochos
« Les effets de ces politiques répressives furent durables, puisque
les trois quarts des quotidiens de langue allemande disparurent entre
1910 et 1920. La guerre précipita l’assimilation des communautés
germanophones et le vote de lois locales proclamant l’anglais “langue
officielle” » [Lacorne et Judt, 2002, p. 23].
« La civilisation est le mode le plus élevé de regroupement et le niveau le plus haut d’identité culturelle dont les humains ont besoin pour se distinguer des autres espèces. Elle se définit à la fois par des éléments objectifs, comme la langue, l’histoire, la religion, les coutumes, les institutions, et par des éléments subjectifs d’auto-identification »
‘Capital Total du Caddie multi-akulti’ Samuel Huntington
« Que le dernier Américain à quitter les lieux ait la gentillesse de ranger le drapeau. » autocollant de Miami, bientôt au Boobaland !
Depuis Clinton le sucé, c’est la politique du Québec hispanique des 5
états frontaliers avec le Mexique (90% des enfants de Californie du Sud
sont hispaniques, justifiant l’enseignement en Espagnol, même le chinois
est autorisé ! Mieux que l’arabe de Naïade Vagino Bécassine !)
« La domination cubaine et hispanique de Miami a réduit les
Anglo-saxons, tout comme les Noirs, à l’état de minorités que l’on
pouvait souvent se permettre d’ignorer. Ne pouvant pas communiquer avec
les fonctionnaires des administrations gouvernementales et victimes de
discriminations de la part des commerçants, les Anglo-saxons avaient
trois options. Ils pouvaient accepter leur position d’ « outsiders ».
Ils pouvaient essayer d’adopter les mœurs, les coutumes et la langue des
Hispaniques et de s’intégrer à leur communauté, par le biais de ce que
les chercheurs Alejandro Portes et Alex Stepick ont appelé une «
acculturation renversée ». Où alors, troisième possibilité, ils
pouvaient quitter Miami. C’est ce qu’on fait 140 000 d’entre eux entre
1983 et 1993, en raison du « caractère de plus en plus hispanique de la
ville »
« Un
indicateur semble avoir une valeur prémonitoire : en 1998, José a
supplanté Michael en tant que prénom le plus populaire pour les
nouveaux-nés en Californie et au Texas. »