Et oui ... les Iphone et écrans LCD des colons cafistes, ça ne vient pas du Boobaland ... Mais souchien doit financer son gland remplacement au lieu de payer des robots ...
Flanby ! lèche plus fort les babouches !
FMI :BOOBALAND 9e PUISSANCE ÉCONOMIQUE
et ça descend ... descend ... vers le Mali ...
€ sur-évalué de 6% pour Boobaland
€ sous-évalué de 15% pour Kruppland
C’est très veau gland remplacé dépecé par sa propre caste des intelligents gogochos ...
DIVIDE ET IMPERA ? YES WE CAN,, MULTIETHNIQUE ET IMPERA :
AUX US, JOSÉ EST LE MOHAMED DU CAPITAL
« Un indicateur semble avoir une valeur prémonitoire : en 1998, José a supplanté Michael en tant que prénom le plus populaire pour les nouveaux-nés en Californie et au Texas. »
90% des enfants de Californie du Sud sont hispaniques, espagnol et même le chinois autorisés comme langues d’enseignement (mieux que l’arabe de Naïade Vigon Bécassine). 5 états frontaliers du Mexique seront un Québec hispanique ...
« La domination cubaine et hispanique de Miami a réduit les Anglo-saxons, tout comme les Noirs, à l’état de minorités que l’on pouvait souvent se permettre d’ignorer. Ne pouvant pas communiquer avec les fonctionnaires des administrations gouvernementales et victimes de discriminations de la part des commerçants, les Anglo-saxons avaient trois options. Ils pouvaient accepter leur position d’ « outsiders ». Ils pouvaient essayer d’adopter les mœurs, les coutumes et la langue des Hispaniques et de s’intégrer à leur communauté, par le biais de ce que les chercheurs Alejandro Portes et Alex Stepick ont appelé une « acculturation renversée ». Où alors, troisième possibilité, ils pouvaient quitter Miami. C’est ce qu’on fait 140 000 d’entre eux entre 1983 et 1993, en raison du « caractère de plus en plus hispanique de la ville »
« Un indicateur semble avoir une valeur prémonitoire : en 1998, José a supplanté Michael en tant que prénom le plus populaire pour les nouveaux-nés en Californie et au Texas. »
Mais quel est son valet Chalot ?
« La domination cubaine et hispanique de Miami a réduit les Anglo-saxons, tout comme les Noirs, à l’état de minorités que l’on pouvait souvent se permettre d’ignorer. Ne pouvant pas communiquer avec les fonctionnaires des administrations gouvernementales et victimes de discriminations de la part des commerçants, les Anglo-saxons avaient trois options. Ils pouvaient accepter leur position d’ « outsiders ». Ils pouvaient essayer d’adopter les mœurs, les coutumes et la langue des Hispaniques et de s’intégrer à leur communauté, par le biais de ce que les chercheurs Alejandro Portes et Alex Stepick ont appelé une « acculturation renversée ». Où alors, troisième possibilité, ils pouvaient quitter Miami. C’est ce qu’on fait 140 000 d’entre eux entre 1983 et 1993, en raison du « caractère de plus en plus hispanique de la ville »
« Un indicateur semble avoir une valeur prémonitoire : en 1998, José a supplanté Michael en tant que prénom le plus populaire pour les nouveaux-nés en Californie et au Texas. »