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vieuxcon

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Un autre chemin ; parce que depuis mon enfance mes valeurs n’ont pas été celles de tout le monde. Une nouvelle vie parce que d’autres chances m’ont été données, après la perte d’un amour ; à la suite d’un accident, ou d’un coup de tête.
Parce que, loin des convenances, le respect de l’autre est une règle pour moi, parce qu’il est plus important d’être un phare qu’un grain de sable, je vis une autre vie et je vous la dédie.

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Derniers commentaires



  • vieuxcon vieuxcon 30 novembre 2007 22:01

    Merci Morice ; j’attends la suite avec impatience.

    Je regrette, juste que vous ayez eu à débourser 14,50€. Nous allons en avoir besoin pour nous payer les franchises. Ne faites pas de telle folie. Passé 50 ans si on se réveille un matin sans avoir mal quelque part c’est qu’on est mort. gardez votre argent pour votre médecin.

    Le règne des irresponsables ayant commencé hier soir, méfiez-vous quand même, ce n’est surement pas de leur faute.  smiley



  • vieuxcon vieuxcon 28 novembre 2007 17:13

    artnaif Bien sur il semblerait que ces contrats soient une bonne nouvelle. Donnons un éclairage plus simple aux choses. Par exemple vous fabriquez des yogourts et un yogourt vous coute 1 à produire. la capacité de votre usine est de 100 000 yogourts/an Donc pour gagner un peu votre vie et que vous ayez de quoi manger autre chose que du yogourt vous le vendez 1.20. Et vous vendez 80 000 yogourts. Votre bénéfice apparent est donc de 0.20 * 80.000 soit 16.000/an Un gros commerçant arrive, et vous achète 30% de votre production , à condition que vous lui vendiez 0.80. Vous vous dites que vous gagnerez sur le nombre. Erreur, pour chaque yogourt vendu à ce commerçant vous perdez 0.20. Votre bénéfice apparent devient (0.20*70 000)- (0.20*30 000) soit 8.000. Vous venez de diviser votre bénéfice par 2.

    - Oui mais vous trichez, avant je vendais 80.000 yogourts à 1.20 et maintenant vous n’en compter que 70.000.
    - Effectivement mais l’usine étant taillé que pour 100.000 et le gros client exigeant 30.000 il a bien fallu que je sacrifie ailleurs.

    Alors produisons 110 000 yogourt. D’accord, mais il faut construire une deuxième usine de 100 000 yogourt par ce que c’est la taille qui permet de vendre à 1. Dans ce cas vous voyez que soit on fait une deuxième usine mais le cout de production va considérablement augmenté. Soit on fait comme j’ai fait précédemment. Mais voilà que mes clients précédents à qui je vendait 1.2 on vent du contrat et exigent de revoir le prix. Si je vends 0.8 à tout le monde je suis dans la m.. donc je peux essayer de édcranté un poil moins, mais dans tous les cas je réduis mon bénéfice.

    Pourquoi cette démonstration, et je vous rassure j’ai simplifié au maximum, simplement en réponse à :« 20 milliards d’euros de contrats ; c’ est du travail assuré pour beaucoup d ’ ouvriers dont , à l’ evidence , vous ne faites pas partie »

    Non. Une vente à perte n’est jamais un bien, que vous soyez ouvriers ou commercial. C’est bien de votre avenir et du mien qu’il s’agit. C’est bien de milliers d’emplois qu’il s’agit, et qui ne pourront être rénumérés très rapidement. Car n’oubliez qu’en cas de faillite, ce n’est pas le salaire des ouvriers qui est prioritaire.



  • vieuxcon vieuxcon 28 novembre 2007 14:57

    C’est une façon intéressante, et un retour de bâton mérité, que cette façon de présenter les choses. Notre président, construit sa suffisance sur l’image, et voilà que l’image nous renvoie un ravi dans une crèche...

    Notre président signe des contrats, ais-je pu lire. Oui mais voilà, si j’avais rapporté de tels contrats, au temps ou j’en signais, j’eus été immédiatement écarté de la vente.

    Pourquoi ? C’est encore une fois dans les journaux Suisses que j’en apprend un peu plus sur le contrat Aréva. Mirifique contrat qui va donné du travail à 400 ouvriers pendant 100 ans dites vous ? Bradé deux réacteurs coutant chacun entre 4 et 5 millions d’euro à produire, au prix de 8 millions les deux, c’est au plus, tout juste couvrir les couts, au pire endetter une boite. Et avec 8 millions d’euro je vous garanti qu’il y de quoi faire travailler plus de 400 français.

    Deuxième contrat : Airbus. Là je pense que M Louis Gallois doit regretter d’avoir été du voyage. Jusqu’au bout son représentant à refusé de signé, et ce n’est que sur l’insistance de sa suffisance auprès de M Gallois que le paraphe fut apposé. Car les commerciaux d’airbus ne sont pas des représentants d’opérette. Ils savent que leur signature engage l’avenir de la société qu’ils représentent. Et accepter du transfert de technologie, pour des contrats au ras des pâquerettes, voir à perte, ça n’est pas dans les habitudes de la maison. Mais comme on le voit, notre suffisance c’est laissé ravir par les dirigeants chinois. Je rapelle la définition de « Lou Ravi » qui est un santon de la crèche de Noël.

    Il lève les bras au ciel en signe d’émerveillement devant le miracle de la nativité. C’est le langage du corps bien connu des méditerranéens, pas besoin de parler pour exprimer ce que l’on ressent, le corps « prend » la parole. La joie du ravi est démonstrative et communicative, il prête à rire avec ses bras en l’air et sa tête d’étonné. Le ravi est un personnage attachant, on dit qu’il est un « simple d’esprit ». Autrefois on disait que chaque village avait son « idiot du village », son fada (qui signifie littéralement « possédé par les fées »).(source wipipédia)

    Et voilà, cette image résume à elle seule la visite chinoise, avec en prime « la ravido ».

    C’est attendrissant, mais économiquement dans la droite ligne de ce qui est fait depuis 6 mois.

    Heureux les pauvres d’esprits, le royaume des cieux est à eux



  • vieuxcon vieuxcon 28 novembre 2007 14:42

    Très bon article. Que certains continuent à y voir de la propagande est désolant. Car comme vous l’écrivez : la chute à commencée. Mais commencée seulement. De grands analystes américains s’attendent même à une chute plus importante en 2008, la crise des subprimes entrainant d’autres pans de l’économie. Bien sur ce sont des oiseaux de mauvaises augures. mais je ne crois guère que 2008 verra un redressement spectaculaire de l’économie américaine. Je sais que quand l’an dernier je signalais que les américains vivaient à crédit sur le dos des européens, il m’était répondu je cite : « Ne faites pas de la force des états unis leur faiblesse. » Hélas j’aurai aimé avoir eu tord



  • vieuxcon vieuxcon 28 novembre 2007 14:12

    C’est une façon intéressante, et un retour de bâton mérité, que cette façon de présenter les choses. Notre président, construit sa suffisance sur l’image, et voilà que l’image nous renvoie un ravi dans une crèche...

    Notre président signe des contrats, ais-je pu lire. Oui mais voilà, si j’avais rapporté de tels contrats, au temps ou j’en signais, j’eus été immédiatement écarté de la vente.

    Pourquoi ? C’est encore une fois dans les journaux Suisses que j’en apprend un peu plus sur le contrat Aréva. Mirifique contrat qui va donné du travail à 400 ouvriers pendant 100 ans dites vous ? Bradé dues réacteur coutant chacun entre 4 et 5 millions d’euro à produire, au prix de 8 millions les deux, c’est au plus tout juste couvrir les couts, au pire endetter une boite. Et avec 8 millions d’euro je vous garanti qu’il y de quoi faire travailler plus de 400 français. Deuxième contrat : Airbus. Là je pense que M Louis Gallois doit regretter d’avoir été du voyage. Jusqu’au bout son représentant à refusé de signé, et ce n’est que sur l’insistance de sa suffisance auprès de M Gallois que le paraphe fut apposé. Car les commerciaux d’airbus ne sont pas des représentants d’opérette. Ils savent que leur signature engage l’avenir de la société qu’ils représentent. Et accepter du transfert de technologie, pour des contrats au ras des pâquerettes, voir à perte, ça n’est pas dans les habitudes de la maison. Mais comme on le voit, notre suffisance c’est laissé ravir par les dirigeants chinois. Je rapelle la définition de « Lou Ravi » qui est un santon de la crèche de Noël.

    Il lève les bras au ciel en signe d’émerveillement devant le miracle de la nativité. C’est le langage du corps bien connu des méditerranéens, pas besoin de parler pour exprimer ce que l’on ressent, le corps « prend » la parole. La joie du ravi est démonstrative et communicative, il prête à rire avec ses bras en l’air et sa tête d’étonné. Le ravi est un personnage attachant, on dit qu’il est un « simple d’esprit ». Autrefois on disait que chaque village avait son « idiot du village », son fada (qui signifie littéralement « possédé par les fées »).(source wipipédia)

    Et voilà, votre image résume la visite chinoise, avec en prime « la ravido ».

    C’est attendrissant, mais économiquement dans la droite ligne de ce qui est fait depuis 6 mois.

    Heureux les pauvres d’esprits, le royaume des cieux est à eux

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