Les vaches sont sacrées, on y touche pas malheureux, elles peuvent faire tout le gaz qu’elles veulent, et même si ça pouvait réchauffait le climat, il ferait moins froid. On se pèle les genoux.
Yoan a raison, rien ne vaut la souplesse. Trop de salariés rigides croupissent au chômage.
Les français n’ont rien compris. Il faut les libérer du carcan du code du travail. Au feu les contrats et les lois.
Le patron siffle le salarié quand il a son carnet de commande plein, après il le renvoie planter des choux.
Le mieux serait même que le salarié, docile comme un toutou, soit près du téléphone à attendre qu’il l’appelle pour un petit dépannage d’une heure à quelques jours.
Après, les salariés peuvent même camper devant la boîte du patron pour être sûrs d’être choisis pour avoir un petit boulot.