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vitassio jeremy

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  • vitassio jeremy 22 avril 2014 14:43

    Oui bon, il ne s’agit que de la disparition d’un avion dans un océan qui a vu tellement de navires disparaitre. A bord une bande de bipèdes uniquement préoccupés par leurs problèmes personnels. Pas de quoi fouetter un chat !
    @morice depuis le 11 sept, plus rien ne devrait nous surprendre, et pourtant !



  • vitassio jeremy 22 avril 2014 14:30

    N’etant ni juif, ni sioniste et vivant dans un monde étrange où rien ne correspond plus à sa définition dans le dictionnaire, je ne suis pas certain que le repli sur soi, avec la bombe nucléaire pour se défendre contre tous, n’est pas devenu la solution obligatoire dans un monde devenu dangereux.
    Peut-être Israël est le modèle de l’Etat futur ? Je pense aussi à Singapour et dans une moindre mesure à Monaco. Les juifs auraient bâti le premier État, définitivement anti-mondialiste.
    A méditer *



  • vitassio jeremy 21 avril 2014 16:52

    Vassaliser les BRICS pour asseoir la domination de la Thalassocratie anglo-saxonne. Je ne vois pas d’autre objectif actuellement .



  • vitassio jeremy 21 avril 2014 16:48

    Oui, c’est quand j’ai lu que l’Europe devrait se joindre à ce fond, que j’ai eu un gros doute. En effet quel intérêt de faire entrer une institution occidentale dans un fond qui veut s’éloigner de l’influence occidentale ! Évidemment les BRICS devraient aussi ne plus libellés leurs échanges en dollars, pas plus qu’en € . Pour le coup !
    La bonne santé des projets des BRICS est un gage de bonne santé de notre combat contre le néo-libéralisme chez nous.



  • vitassio jeremy 20 avril 2014 14:38

    C’est en effet une bonne lecture, qui en dit long sur les arrière-pensées américaines. Brezinsky et son monde post-américain, un monde centralisé démocratiquement et qui n’aurait connu que le règne d’une seule puissance globale : Les USA.
    A la lecture du résumé de son bouquin, on réussit à identifier certains pôles de puissance qu’il suffirait de contenir dans un jeu où ils joueraient toujours la carte proposée par les américains. Certains autres acteurs naissants comme l’Amérique du sud, sont assez superbement ignorés. En celà Brezinsky semble un homme du passé, accroché à un mythe fondateur, la mission des USA sur cette planète. On voit mal en fait une puissance si éloignée continuer à dominer un monde qui se complexifie chaque jour. Mais une lecture indispensable pour comprendre ce qu’il se passe dans la tête d’un dirigeant américain de premier plan.


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