non très chère, il ne manque qu’un tout petit détail, et c’est normal (au vu de l’historique) :
la Politique...
Lacan avait coutume de dire : « Avant comme après les révolutions, c’est toujours le bordel... » (sous-entendant : donc très organisé)
Alors... la politique ?... en faire ? Il suffit déjà de se poser les bonnes questions et le tour est presque joué ; ainsi, contrairement à ce que vous dites justement, ce qui se passe serait parfaitement descriptible :
- pourquoi ils se rassemblent, - à la demande de qui, - qui a payé les bus, - à qui il s’adressent, - sur quelles télés sont-ils retransmis, - quel pourcentage de femmes voire d’enfants, - que disent-ils au juste pour justifier leurs demandes, - pourquoi ce timing, - où et comment ont-ils disposé les caméras, - sur quels critères ont-ils choisi leurs tribuns, - qu’en pense au juste la rue, les médias, les blogs... - quels sont leurs points faibles évidents, - sur quoi se basent leurs points forts, - comment faut-il s’organiser pour y répondre, - sur quels terrains d’abord porter réponses, - qu’en est-il des facteurs internationaux, - etc., etc., etc.
il est encore des milliersde questions quand on veut « faire », et surtout sortir de l’attitude spectatrice.
bon courage et bonne chance sur ce chemin où le « choc » ne sert à rien - quand le ring se joue « à l’usure ».