• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Voxien2011

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 60 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • Voxien2011 11 juin 2012 10:44

    Bonjour,

    Les élites mondialiste temporisent, la crise n’est que matérialisation des effets de l’expansion capitaliste. Les institutions internationales et les pays industrialisés sont au service de l’accumulation sans fin. Les mécanismes d’accumulation capitalistiques seront étendus et généralisés par les institutions internationales (état mondial ?) pour poursuivre l’enrichissement de la bourgeoisie mondiale et pour imposer la domination totale.

    Le capitalisme a besoin d’expansion (croissance ?) permanente sinon c’est l’effondrement ; c’est comme le cycliste, s’il arrête de pédaler il tombe.

    Le capitalisme s’étend lorsqu’il pousse à la contraction des salaires, des retraites, des services publiques ; lorsqu’il écrase les droits des travailleurs et des citoyens mais aussi lorsqu’il met la main sur les bien communs, ce qui est entrain de se préparer à une échelle planétaire au nom de la croissance mondiale et au nom de la rationalisation de la Vie.

    Aujourd’hui ce système piloté par les élites mondialistes veut reprendre du souffle, il s’ouvre par l’économie verte (son bébé) une opportunité précieuse.

    Le capitalisme grâce à la marchandisation tous azimut du cycle de la Vie augmentera les profits, relancera l’économie et la croissance et s’étendra en causant encore beaucoup plus de dégâts pour l’environnement, les peuples et l’humanité.

    -------------------------

    L’ONU et les pays industrialisés veulent sauver le CAPITALISME et les profitsExtrait d’un texte :
    "En outre, les promoteurs de cette « économie verte » affirment vouloir dissocier la croissance économique de la détérioration de l’environnement. Au nom de la conservation de la biodiversité, de la purification de l’eau (filtrage), de la pollinisation des plantes, de la protection des forêts et de la régulation du climat (stockage du carbone), ils considèrent comme essentiel de donner un prix aux fonctions écologiques qu’assurent les plantes, les animaux et les écosystèmes et de les transformer en « services » compartimentés, monétarisés et échangeables sur les marchés. Cela suppose la création de nouveaux droits de propriété sur les biens naturels et l’instauration de nouveaux marchés et instruments financiers (appelés « financements innovants »), supposés assurer la régulation des écosystèmes.

    Cette « économie verte » est affichée comme une « gestion durable » de la nature et de la planète. Mais elle se résume en réalité à une vision de la nature comme capital à gérer de la manière la plus efficiente et comme un patrimoine à faire fructifier, ce qui présente de nombreux dangers pour les peuples et l’environnement. En pleine crise financière, cette « économie verte » n’est pas seulement une opération de greenwashing1, mais une volonté d’étendre le modèle économique néolibéral capitaliste à de nouveaux domaines. C’est une nouvelle étape dans la marchandisation et financiarisation de la vie en incluant la nature et ses fonctions dans le cycle du capital. Les populations locales subiront de plein fouet les impacts sociaux et environnementaux de cette nouvelle offensive d’appropriation des biens communs naturels. Leur « économie verte » abandonne, à ces logiques économiques d’exploitation du « capital naturel », tout objectif social, de création d’emplois et de choix d’investissement dans les services publics et l’accès aux biens communs.« 

    Liens :

    http://www.france.attac.org/articles/la-nature-est-un-bien-commun-non-leur-economie-verte

    http://www.amisdelaterre.org/La-nature-est-un-bien-commun-pas.html

    http://seaus.free.fr/spip.php?article939

    Autre extrait :

     »Une phase nou­velle du capi­ta­lisme

    Le capi­ta­lisme subit des cri­ses cycli­ques, dont il ne se relève qu’après avoir trouvé une nou­velle source d’expan­sion et/ou d’aug­men­ta­tion de la pro­duc­ti­vité. La phase for­diste, appuyée sur une con­som­ma­tion de masse garan­tis­sant des débou­chés, avait per­mis une forte hausse de la pro­duc­ti­vité par des inno­va­tions tech­no­lo­gi­ques, des aug­men­ta­tions de la crois­sance et de l’accu­mu­la­tion du capi­tal. La phase actuelle néo­li­bé­rale com­men­cée dans les années 1980 n’a pas trouvé le moyen de sur­mon­ter la crise, mais a réussi à aug­men­ter le taux de pro­fits en attri­buant les nou­vel­les riches­ses aux action­nai­res, en fai­sant pres­sion sur la masse sala­riale par la con­cur­rence mon­diale des tra­vailleurs, en impo­sant le retour par­tiel sur le mar­ché de ser­vi­ces publics, de la pro­tec­tion sociale dans la santé et les retrai­tes.

    Les libé­raux pen­sent et veu­lent entrer dans une nou­velle phase d’accu­mu­la­tion et de crois­sance du capi­ta­lisme, éten­dre le champ du mar­ché en trans­for­mant la nature en un capi­tal à gérer, en pri­va­ti­sant les biens com­muns et les ser­vi­ces qu’ils ren­dent, en met­tant en place des droits de pro­priété nou­veaux sur les biens natu­rels et leurs ser­vi­ces pour rem­pla­cer la ges­tion col­lec­tive qu’ils jugent inef­fi­cace. Le capi­ta­lisme veut aussi éten­dre le mar­ché en trans­for­mant les ser­vi­ces éco­sys­té­mi­ques en mar­chan­di­ses : il ne veut plus seu­le­ment s’appro­prier les res­sour­ces comme il le fait pour l’acti­vité minière, mais aussi les flux, les ser­vi­ces éco­sys­té­mi­ques ren­dus par les éco­sys­tè­mes.

    Le prin­cipe du ca­pi­ta­lisme re­pose sur la con­cur­rence en­tre les in­di­vi­dus, ré­gis uni­que­ment par la main in­vi­si­ble du mar­ché qui les oriente vers la meilleure dé­ci­sion. Il af­firme que la pro­duc­tion des biens est d’au­tant plus ef­fi­cace que les in­di­vi­dus sont « libres », sans les con­train­tes de la fis­ca­li­té, sans rè­gles du tra­vail, sans dé­ci­sions éco­no­mi­ques de l’État…

    L’éco­no­mie « verte » donne un prix à cha­que élé­ment de la na­ture et de ses ser­vi­ces et fait con­fiance au mar­ché pour que cha­que in­di­vi­du prenne le meilleur choix en équi­li­brant ca­pi­tal, tra­vail et en­vi­ron­ne­ment. Elle pousse à la crois­sance, sans se po­ser la ques­tion du type de crois­sance, elle fait con­fiance au mar­ché pour mieux gé­rer la na­ture (elle ac­cuse les col­lec­ti­vi­tés de le faire mal), elle trans­met la pro­prié­té à ceux qui sa­vent faire, elle ac­corde la pré­émi­nence aux ins­ti­tu­tions fi­nan­ciè­res qui mul­ti­plient les rap­ports en fa­veur de cette éco­no­mie « verte », elle es­père un dé­cou­plage en­tre la crois­sance éco­no­mi­que et l’uti­li­sa­tion des ma­tiè­res pre­miè­res né­ces­sai­res à la pro­duc­tion."



  • Voxien2011 30 mars 2012 12:33

    Bonjour

    Ce que déclare Olivier Besancenot :

    « Avec le Front de Gauche, et moi je vais mettre les pieds dans le plat, il y a une dynamique, c’est clair »

    « Moi je ne la vois même pas d’un mauvais œil, je vous le dis franchement  »

    l’article : http://www.francesoir.fr/actualite/politique/presidentielle-besancenot-heureux-de-la-dynamique-de-melenchon-203613.html



  • Voxien2011 26 mars 2012 18:29

    correction : il faut qu’il finisse par avoir peur de lui même



  • Voxien2011 26 mars 2012 18:28

    Un autre sujet à discuter peut être : L’homme, lui même, étant une expression de la nature, cette lutte pour le contrôle de la nature inclus donc l’être vivant dans sa globalité (OGM, Homme augmenté, ..etc.).

    Pour faire accepter l’homme augmenté il faut libérer l’homme insatisfait et aux désirs illimités. Il faut que l’homme finisse par ne plus se faire confiance à lui même, il faut qu’il commence à se soupçonner en personne, il faut qu’il finisse part avoir de lui même comme il a peur de la nature.

    La confiance sociale souffre, il ne reste plus que la confiance individuelle qui est facile à éliminer.

    L’artificialisation (comprise la déshumanisation) est le projet directeur scientifique implicite du progrès technique.

    Comme dit par epicure, l’homme (l’individu), dans l’hubris et l’insatisfaction permanente, se rendra compte de son impuissance parce qu’il n’arrive pas à maitriser ses pulsions, ses envies et ses désirs. Ceci est du sans doute au fait qu’il commence à ignorer qu’il a les capacité de s’auto-limiter. La cause en est que la société de consommation et du gaspillage fait de la sollicitation permanente.



  • Voxien2011 19 mars 2012 18:03

    Bonjour

    J’entends la peur de la révolution qui parle. Inutile d’avoir peur, il appelle à une insurrection citoyenne par les urnes.

    Le peuple de toute manière se réveillera un jour violemment si on continu à l’humilier et l’appauvrir, si on continue à lui confisquer sa souveraineté ; la révolution possiblement violente aura lieu. La période 2012-2020, je ne doute pas, marquera le 21ime siècle, elle laissera une empreinte. L’oligarchie avec son capitalisme se sont octroyés tous les pouvoirs (politique, médiatique, économique et financier), ils finiront par asservir le peuple et le déposséder de sa liberté et de ses biens (ndlr Thomas Jefferson).

    Les technocrates, les principales élites de gauche et de droite continueront sans doute à collaborer/se soumettre à la bourgeoisie et le capitalisme. Le peuple soit commence à gagner un petite à petit du pouvoir avec le front de gauche, soit il explosera comme cela s’est passé dans le passé ou comme ça se passe dans pays musulmans en ce moment.

    Le front de gauche c’est le front du peuple, celui qui lutte tous les jours contre les injustices, contre l’oppression, contre les inégalités, contre le totalitarisme des entreprises, contre l’humiliation, ...etc. Le peuple aujourd’hui, démunit de tout pouvoir, n’a de choix que de subir la dictature des multinationales, des entreprises, des politiques d’austérités dictées par l’oligarchie financière et exécutées par les élites politiques.

    La fuite en avant ne servira à rien, la réalité c’est de travailler et de réfléchir avec le peuple pour résoudre les problèmes du peuple et non pas les problèmes des riches, des banquiers et des financiers. La réalité c’est de permettre au peuple de vivre librement et dignement.

    Le peuple ne demande pas la charité de l’état ou des riches. Il veut être libéré par la loi de la puissance des entreprises et des banques ; être libéré des monopoles qui écrasent, qui effacent, qui éliminent, qui excluent, qui dominent. Il veut que l’argent ne soit pas déterminant pour l’accès aux biens fondamentaux. Il veut limiter le pouvoir de l’argent, le pouvoir des élites et des politiques, le pouvoir de la technique et de la science pour qu’il soit pas oppressé, opprimés et soumis à ces choses.

    Chaque fois que la liberté et la dignité du peuple est bafoué, l’instinct le pousse à les défendre au prix de sa vie s’il faut. L’histoire nous la montré. La fuite en avant n’est pas la solution !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv