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Walter SALENS

Walter SALENS

Bonjour, handicapé par un accident du travail en mai 1989 et libre économiquement grace aux assurances cadre, je me suis intéressé à un seul aspect de cette situation : emploi et handicap. J’ai ainsi découvert CAT et Atelier Protégé, dans le cadre de deux importantes associations. Comme "homme d’entreprise", j’y ai aussi constaté des pratiques étonnantes et peu honorables. J’ai ainsi décidé comme "dernière aventure professionnelle" de créer une entreprise privée (sarl) avec l’agrément "atelier protégé". Hors du monde associatif et sur mes fonds. Fin 2006, j’ai confié la gérance à ma fille. A 66 ans maintenant, à la retraite, je désire continuer à oeuvrer pour l’emploi des handicapés, de façon concrète et sans me perdre dans des commentaires "politiques" sur les différents points de la loi février 2005. Queqlques exemples : sur Handy-cv.com j’ai répondu à des témoignages de TH, exprimant leur désarroi et ce avec des conseils pratiques. J’écris aux acteurs "officiels" quand j’estime qu’ils restent cantonnés à un traitement trop administratif des questions des TH. (MDPH et autres). Je désire donc témoigner de mon expérience et de mes constats.

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  • Premier article le 19/09/2007
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Derniers commentaires



  • Walter SALENS Walter SALENS 10 octobre 2007 17:57

    Le TouT-Paris existe depuis toujours et tous les politiques montrent leur importance du moment au travers de « festivités diverses ». Par contre, je suis davantage scandalisé par des émissions comme « Faites entrer l’accusé ». Scandalisé par le fait que des juges d’instruction, enquêteurs ea. soient sollicités pour donner, non pas des faits, mais des opinions, leurs pensées « profondes » etc. Sauf erreur de ma part, je pense que vous y avez participé au moins une fois. Le jury populaire, en assises, n’est pas autorisé à parler de son vécu. Et les personnes citées plus haut, le seraient ??Je me pose toujours la question : le condamné en question, vivant et en prison a-t-il donné son accord ? Le respect pour les victimes et pour le condamné et sa famille ne semble plus exister. Par ailleurs, je me souviens d’une loi interdisant à des condamnés de tirer profit de leurs actes par des livres etc. Mais un journaliste peut tirer profit de l’ensemble des personnes et des faits ? En finale, quel est l’intérêt de ces émissions sur des faits divers récents, sans intérêt historique ? Tous les médias consacrent déjà trop de temps et papiers aux faits divers négatifs. Enfin, l’homme depuis toujours est ce qu’il est.

    Je préfère écrire des articles concernant l’emploi des handicapés et sur la nouvelle loi. Je n’écris plus aux ministres ou leur cabinet : ils ne répondent jamais ! Preuves à votre disposition. Bonsoir



  • Walter SALENS Walter SALENS 24 septembre 2007 11:24

    A CALACH : Petit retour en arrière : quand la COTO, dans le cadre de la reconnaissance TH + orientation professionnelle, indiquait ces catégories (A B ou C), la signification était simplement : léger - moyen - grave, mais ne donnait lieu à aucun pourcentage ou à une allocation quelconque.Il en va de même maintenant quand la CDA se prononce. Les pourcentages d’invalidité sont du ressort de la Sécurité Sociale uniquement. Dans ce domaine,il y a par ex. l’accident du travail ou la maladie professionnelle où ils fixent un TIPP (Taux d’invalidité permanente partielle), donnant lieu à un petit capital quand ce TIPP est égal ou inférieur à 10% ou à une rente accident de travail (à vie et non imposable)pour ce taux supérieur à 10%. Et, en toute logique, toujours basé sur les revenus antérieurs à partir de la consolidation. En cas d’arrêt maladie « privé » et pour un salarié, la SECU paiera une indemnité journalière pendant une certaine période. Quand cette période devient longue(fonction de la pathologie et laissé à la discrétion des CPAM), ils prononcerons une invalidité par catégories que je ne connais pas très bien ;l’indeminité journalière sera alors remplacé par une autre allocation. Pour revenir à votre question directe : la personne reconnue « handicapée » avec l’orientation milieu ordinaire, peut postuler pour un emploi en EA ou toute autre entreprise. Pesons nos mots : je n’écris pas : « droit à un emploi ». Il s’agit d’emploi et d’embauche et l’EA procède à l’embauche ou non, suivant l’emploi à pourvoir et forcément, compte tenu de la compatibilité avec l’handicap et la valeur du candidat. Bref, comme dans toute entreprise. Beaucoup trop de TH (mal informés et ce n’est n’est pas de leur faute) pensent que l’EA est obligé de les embaucher. Pour être complet, les ESAT (CAT)procèdent en fonction des places (médico-sociales) qui leur sont allouées paar le Ministère de la Santé, avec d’ailleurs des listes d’attente assez importantes. Malgré le fait, qu’à chaque nouveau gouvernement, il y ait des promesses (tenues ou non) d’autoriser un nombre de places supérieur. Je continuerai à répondre aux questions ou commentaires ; néanmoins parfois un contact direct par mail peut être plus simple. Bonne semaine Walter Salens



  • Walter SALENS Walter SALENS 20 septembre 2007 07:54

    Bonjour, tout d’abord l’EA DOIT EMPLOYER AU MOINS 80% d’handicapés à la production. Chaque emploi reçoit « une aide au poste », égale à 80% du Smic non chargé. Elle est destinée à compenser la productivité propre aux salariés, ainsi que le besoin d’encadrement et d’organisation spécifique. A noter que l’entreprise classique(non adaptée) peut aussi bénéficier de l’aide, dans ce cas par l’AGEFIPH. Tout les détails sont dans le texte de la loi de février 2005, dispo sur les sites du gouvernement ou en se connectant sur l’UNEA (Union nationale des EA) www.unea-asso.com Si vs désirez un contact direct avec le soussigné, n’hésitez-pas : [email protected]

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