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Xavxav

Je suis développeur Web. Je travaille essentiellement en langage Java et PHP. J'ai eu plusieurs expériences dans des SSII et des web agencies, où j'ai travaillé avec des outils de traitement numérique d'image et les systèmes d'exploitation Window, Linux et Mac OS.
 
Passionné de musique, j'écris des chansons à mes heures perdues et j'adore découvrir de nouveaux artistes.

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  • Premier article le 12/07/2010
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Derniers commentaires



  • Xavxav 15 novembre 2007 17:45

    Je partage votre point de vue sur la description de la situation. Cependant, il serait intéressant d’expliquer pourquoi l’université est si éloignée de l’environnement économique et les filières choisies par les étudiants si éloignés du marché du travail. Est-ce qu’un simple manque de moyen ? Je pense qu’il faudrait creuser un peu plus cette question avant d’espérer trouver des solutions pertinentes.



  • Xavxav 13 octobre 2007 09:52

    Imhotep,

    Tu as raison de souligner qu’il n’est pas facile d’instituer une ambiance de travail constructive.

    Cependant, je ne suis pas tout à fait d’accord avec ton analyse. Tu attribue la faiblesse de notre management à la taille des sociétés et de leur forme nébuleuse.

    Mais alors comment expliquer que dans certaine pays étrangers (un commentateur parlais de l’Angleterre, je crois), où l’environnement économique est comparable, on sache récompenser l’effort ?

    De plus, les problèmes de motivation, malheureusement, on les observe dans les micro-entreprises comme dans les grandes. Avec des patrons détestables, comme des patrons sympas.



  • Xavxav 12 octobre 2007 22:11

    Brif,

    Les salariés Français ne serais pas assez motivés ? Selon toi, « Le problème est que les salariés appellent travail le fait d’être là et de s’occuper vaguement des problèmes liés à leur fonction ou décrit dans leur contrat de travail. Mais aucun esprit de résultat ne vient valider le salaire en fin de mois ou de semestre (bonus semestriel). »

    Alors dans ce cas là, comment expliqueriez vous que la productivité horaire en France est meilleure que dans d’autres pays ?

    Ce que j’observe de mon expérience de salarié, c’est que les efforts sont rarement récompensés, que ce soit en prime ou promotion. Après tout, l’ANPE est pleine de profils intéressants, n’est ce pas ? Alors pourquoi se ruiner à mieux rémunérer ses collaborateurs ? Et pourtant, dans les entreprises où j’ai travaillé, je suis considéré comme « un bon élément ».

    Quant à se soucier des problèmes liés à sa fonction. Mais essayez donc de résoudre les problèmes liés à votre fonction ! Vous allez rapidement vous heurter à une incroyable résistance au changement ! Vous allez vous attirer les foudres de votre collègues et de vos supérieurs, qui se sentirons menacés dans leur légitimité.

    Par contre, ceux qui font du lèche à leurs patrons, qui les voient le week end chez eux ou dans une garden partie, ceux-là, ils ont toutes leurs chances d’avoir leur carotte, quelque soit leur implication et leur compétence.

    Quand on observe des mécanismes comme ça, on se demande quel est l’intérêt de travailler plus, surtout si ce n’est pour rien gagner en plus. Et puis peu à peu, la motivation baisse. Finalement, la seule issue favorable, c’est de trouver ailleurs un poste mieux rémunéré et de poser sa dém’.



  • Xavxav 12 octobre 2007 21:32

    Je trouve que cet article passe sous silence plusieurs éléments qui méritent d’être considérés.

    1) Une économie pas suffisamment tournée vers l’innovation. Peut-être que notre productivité est bonne. Mais si on propose les mêmes produits que nos concurrents Chinois, on ne fait pas le poids.

    2) Un problème de financement de l’innovation. Tous les chefs d’entreprises qui sont orientés vers des secteurs à haute technologie vous le diront. Ils peinent à trouver des capitaux ou à obtenir des prêts.

    3) Le manque de prise de risque de la part de nos chefs d’entreprise. Que ce soit au moment de la chute du rideau de fer, du développement d’Internet, de l’ouverture en Chine, les entreprises françaises laissent à chaque fois leurs concurrents étrangers prendre l’initiative. Elles ne vont pas assez chercher les relais de croissance où ils se trouvent.

    4) Le déséquilibre chronique sur marché du travail entre l’offre et la demande. Il y a ainsi des secteurs (bâtiment, informatique, restauration) qui peinent à recruter, alors que certaines disciplines sans débouchés sont plébiscitées par les étudiants.

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