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Yannick Rossignol

Yannick Rossignol

Historien de formation, j’ai publié en 2004 mes travaux universitaires sur les insurgés varois de 1851 chez Serre éditeur. Après avoir travaillé comme journaliste pour la presse écrite régionale, je cherche à présent à vivre de ma plume tout en oeuvrant, par la production d’articles documentés, à donner à tous ceux qui le souhaitent des éléments utiles à la formation d’une opinion éclairée.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/05/2007
  • Modérateur depuis le 08/11/2008
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Derniers commentaires



  • Yannick Rossignol Yannick Rossignol 12 septembre 2009 22:20

    Ce qui est navrant c’est que l’essentiel, c’est-à-dire le programme politique, est encore relégué au second rang à cause des ambitions personnelles de quelques uns ou de quelques unes. Que ce soit Martine Aubry ou Ségolène Royal que l’on placera à la tête du parti ne changera rien à l’affaire. N’offrant aucune véritable alternative politique au projet de privatisation globale du domaine public de la Droite, aucun sympathisant de gauche ne peut s’identifier à ce parti dont le seul avenir qui semble devoir se dessiner pour lui est une ouverture vers le centre... Les éléphants du PS continuent ainsi à nous parler de chimères telle que la « croissance économique » qui doit créer des emplois, et non du partage des richesses qui répondrait pourtant aux exigences d’équité sociale et de préservation des ressources naturelles. C’est vrai, comme aime à le répéter le très ambitieux Manuel Valls, une nouvelle génération doit prendre les commandes du parti. Sauf que si ce dernier s’y voit déjà, il serait bon de laisser la place à des gens qui pensent le monde de façon différente, avec une réelle intention de rupture avec le modèle économique dominant, dans une stratégie résolument offensive de reconquête de l’espace public sur le privé. Presque de la science fiction en l’état actuel des choses au parti...



  • Yannick Rossignol Yannick Rossignol 11 septembre 2009 13:34

    Un dérapage de plus ? Une maladresse ? Non, malheureusement. On ne peut pas parler de « dérapage » lorsque des propos trahissent vraisemblablement une pensée que l’on s’efforce de masquer aux caméras à longueur de temps par un vocabulaire soigné et une allure de premier de la classe. Ainsi, bien davantage que les mots, ce sont les idées que ces derniers sous-tendent qui sont de nature à nous inquiéter. Mais il est pour moi effarant que cela surprenne encore des gens dans notre pays... Faut-il être aveugle tout de même sur les réalités des choix politiques de nos gouvernements !



  • Yannick Rossignol Yannick Rossignol 9 novembre 2008 11:11

    Le coût d’une station d’épuration utilisant les filtres plantés de roseaux est de l’ordre du million d’euros, ce qui est également le cas d’une station classique. Pour plus de renseignements, il faut voir le site de la société Epur Nature qui est basée à Caumont sur Durance (84) : http://www.epurnature.com



  • Yannick Rossignol Yannick Rossignol 8 novembre 2008 16:12

    La capacité de filtration de la station "verte" de Villes sur Auzon est de 2 200 EH (Equivalent Habitant). C’est la plus grande du Vaucluse dans son genre. Pour l’instant, ce type de station semble pouvoir filtrer jusqu’à 5 000 EH sans aucun problème. Au-delà, cela paraît moins évident mais des études son en cours pour développer sa capacité et l’adapter à des communes plus importante.



  • Yannick Rossignol Yannick Rossignol 4 novembre 2008 11:28

    J’ai visité une station dépuration utilisant des filtres plantés de roseaux à Villes sur Auzon (Vaucluse). Pas d’odeurs, presque pas de boues d’épuration, un entretien dix fois inférieur à celui d’une station classique du fait qu’elle ne nécessite qu’un désherbage, taillage des roseaux et contrôle régulier de l’automate qui gère la station, et une intégration paysagère remarquable. Seules contraintes : il faut 4 à 5 mètres carrés par habitant si l’on envisage la surface que doivent couvrir les roseaux et la voirie, et le fait que les sociétés privées qui ont en charge son entretien et sa gestion n’ont pas grand chose à facturer... d’où leurs réserves sur ce type d’installation.


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