Dire que l’indépendance de la Bretagne a pris fin seulement en 1532 est franchement forcer le trait. Dès le milieu du XIIe siècle, la Bretagne a été assujettie puis intégrée à l’Empire Plantagenêt. En effet, le Duc Conan IV fut placé en 1154 sur le trône de Bretagne par Henri II (d’Angleterre, de Normandie, du Maine, d’Anjouet de Touraine), et le successeur désigné de Richard Coeur-de-Lion à la tête de l’Empire était Arthur de Bretagne... petit-fils du même Henri II.
Un peu plus tard, en 1212, une fois l’Empire Plantagenêt décomposé, le Philippe-Auguste imposa à la duchesse Alix de Bretagne son époux, le cousin dudit Philippe, afin de s’assurer de la fidélité du duché à la France, et montrant une nouvelle fois l’énorme influence qu’ont eu les voisins de la Bretagne sur celle-ci.
Mmmm... Les dinosaures se sont éteints il y a environ 65 millions d’années, pas 2 milliards. Je ne sais même pas si il y a 2 milliards d’années, il y avait des organismes pluricellulaires.
Le libéralisme, c’est la maximisation des libertés. Dans le domaine économique, la liberté la plus grande se traduit par une extension des domaines où règne une concurrence pure et parfaite. Un système non régulé amenant naturellement vers des situations oligopolistiques, il faut un régulateur, en l’occurence l’État. Le problème vient qu’en France, libéralisme est souvent utilisé avec le sens de laissez-faire.
C’est vrai que le système proposé par Besancenot est la seule et l’unique sortie du capitalisme possible... Ce que vous faite est un faux dilemme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_dilemme), rhétorique typiquement sarkozienne (la honte). J. Quatremer a même dit que Besancenot excellait dans la critique du système capitaliste ; il est donc problable qu’il le rejoigne sur pas mal de points.
Si les listes du scrutin avaient été semi-ouvertes (les électeurs choississent avec leur vote l’ordonnancement de la liste), ce système aurait été le parfait marche-pied vers la suppression des conseils généraux et une vraie simplification de la carte administrative française.